Certains-es utilisateurs-trices du réseaux social de Facebook, en France, au Brésil, aux États Unis, aux Québec, Aux Antilles, en Italie et peut être ailleurs connaîtraient des difficultés pour publier, commenter ou encore "Liker" leurs préférences..., à voir ici et là... Cela c'est produit aujourd'hui à partir de 13h40 et perdure depuis sans qu'on ai d'explication des raisons officielles, ni massages préventifs en amont, ni excuses officielles ou officieuses (?). Cette info reprise actuellement uniquement par le Huffington Post laisse pantois ces utilisateurs-trices et la perplexité gagne leur rang.
C'est bien connu que ce genre de "buzz/bug" a une fâcheuse tendance à alimenter d'abord les théoriques les plus "complotistes" comme à minimiser voir dénaturer toutes tentatives de relativiser la portée de cette information et ce fait. Pour autant alors qu'en ce jours l'on apprend concomitamment que l'ambassadeur des États Unis est convoqué au Quai d'Orsay à la suite des révélation du journal le Monde concernant une affaire d’espionnage tant industrielle (Wanadoo et Alcatel-Lucent) que de particulier ayant eu des comptes chez les fournisseurs d’accès susvisés, avec des personnalités politiques, et d'autres ciblées par ces écoutes et surveillances, l'affaire PRISM (ici et là) étant le vecteur et le révélateur d'une gestion politique Française, Européenne plus qu’ambiguë, l'on ne peut raisonnablement s’empêcher d'y voir une étrange coïncidence... Voir ici et là.
Peut-on aller jusqu'à penser que cette affaire de "buzz/bug" de Facebook pourrait être un moyen de pression, une preuve d'un pouvoir de nuisance, et/ou autre, dans ces "négociations"..., ces "explications"..., se menant actuellement entre le ministère des Affaires étrangères Français et l'ambassadeur Américain...? D'autant plus quand ce pouvoir Français et Européen font montre l'un et l'autre de tant de division et de faiblesse. Certains avantages se provoquent, comme la chance vous diraient certains-es, en poussant à bout l'adversaire, à la faute, l'erreur fatale. Il n'en demeure pas moins qu'il est des coïncidences frappantes si l'on peut dire..., qui en pleine "crise" sociale et sociétale, politique, et économique..., qui ont tant raison de nous mettre en état d'alerte..., que leurs raisons en restant secrètes n'en font que renforcer nos suspicions tout azimuts et inquiétudes présentes et futures...! Notons en plus que des négociations sur l'ouverture d'une réflexion sur la gouvernance du Net, dominée par les Etats Unis et leur logiciels commerciaux et leur philosophie libertaires et calquées sur un modèle économique ultralibérale, doit se dérouler prochainement, le 22 octobre, à Bali en Indonésie. Sur font de future "croissance" - bénéfices privés - numérique et quasi virtuelle..., basée sur les données privées stockées sur le Web, c'est leur protection impérative qui est en jeu et qui divise encore plus des divisions déjà existantes.
Pour certaines puissances il serait donc question de pousser des avantages, par les manières les plus contestables, illégales (voir par encore illégale puisque pas de lois) quitte à provoquer le pire, le quiproquos, l'accident/l'incident diplomatique...?