Voici que le cheval de Troie moderne du capitalisme ultralibéral, offert par la "virtualité" d'un but soit-disant spectaculaire...(?), rentre en scène, et fait son "show", sur un fond de son et lumière honteux, immorale (une grève des riches on aura tout vu...?), d'enfants trop gâtés et pleurnichant, comme d'autres "pigeons" en leur temps, pour en avoir toujours plus.
Et comme à l'accoutumé..., ce gouvernement libéral à tendance ultra (voir sa course à l'électorat "modéré" du FHAINE), soit va céder devant les criards..., ces chieurs et chieuses..., soit va faire mine d'accorder un compromis..., une "Léonarda" coupée en deux quoi. Sauf que...
A aucun moment il envisage de les laisser se rouler dans leur pisse et leur fange..., tout gamins capricieux qu'ils sont..., jusqu'à s'humilier eux-elles devant leurs publics, médusés..., anesthésiés par les médias commerciaux victimisant ses fortunés (voir les chaînes commerciales d'intox continue, le discours de M. Moscovoci ce matin sur l'une d'elle face à un journaleux), même tout simplement, tout seul devant leurs ridicules jérémiades quand on examine déjà que, tant les joueurs ne payent quasiment aucun impôt (voir certains fraudes, "évasions", etc, fiscales (1), alors que leurs clubs payent presque tout pour eux) que tant certains grands clubs, avec des investisseurs étrangers, n'en payent pas plus (2)...
Et le public, comme un certain homme politique plutôt habituellement dans la lutte contre ces attaques d'esclavagistes que sont ces ultralibéraux, ce public pris en otage tout en étant "séduit", pour parti (c'est la "culture" du syndrome de stockholm largement utilisée par cet ennemi)..., s’apitoyant devant et son propre manque (pas de match à voir...(?), pas/plus de "frissons"...(?), qui par transfert de la psyché d'un "sur-moi" rêvé..., vers une idolâtrie superficielle de héros aussi multiples que sont les goûts de cette foule de "fans" disparate, est virtualisée, entremêlé dans un ressenti..., qui tel un shoote à court-terme, à travers un petit écran ou dans des gradins, enchaîne l'inconscient du public à son "soi" conscient...)..., tel un drogué..., de son et lumière commercial puis de pugilats artificiels, "light"..., sous la valeur d'un sport bien dévoyée..., et d'une machinerie machiavélique des médias de messe, des politiques même, d'experts en nombrilisme..., va avoir à trancher entre soit se désintoxiquer d'un coup d'un seul tant de l'artifice de cet "opium du peuple" qu'est devenu et le foot, et d'autres sports, puis de ce média télévisuel, avec sa clic..., soit soutenir la pire des armes de destruction massive que les ultralibéraux ont construit, cette arme à décérébrer..., qu'il, le public, affectionne maintenant en masse... Dure dilemme en perceptive pour tous et..., toutes aussi peut-être...?
Billet de blog 24 octobre 2013
Un cheval historique..., joue au foot et pari gros.
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