Pierro Juillot

Technicien dessinateur/ Chômeur. Dit aussi Pierro Sanslalune.

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Billet de blog 28 octobre 2013

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Introspection du "Hollandisme"..., ou introspective forcée d'une société soit-disant droitisée...?

Pierro Juillot

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

L'heure politique et médiatique semble être à l'introspection personnelle ou sociale...? Ou..., tout du moins..., est-elle à l'introspective d'un chef d’État, ou d'un électorat décomposé...? Elle se veut être celle que "nous", le peuple de "gauche", de la gauche droitisée et de la gauche de la gauche devrions faire, tout du moins écouter, voir donner à penser, à l'échelle d'un espace-temps indéfinissable..., et à la lecture d'interprétations d'intervenants-es étant proches d'un homme d’État au plein pouvoir. Elle est livrée dans cet article "L'impossible définition du "Hollandisme"" écrit par Lénaïg Bredoux et Joseph Confavreux. Et Cette heure est donc oscillante, fluctuante entre le passé d'un homme, d'un État, d'une société, d'un électorat, dans l'historique de son idéologie partisane ayant obtenu suffisamment notre confiance pour qu'on l'élise, incluse dans la mouvance d'un corps sociale dit "socialiste" retrouvant le pouvoir, celui de l’alternance de cette 5ène République monarchique, dans un contexte économique et social d'exception, et y ayant été absent depuis longtemps. Et cette heure se veut faire savoir et connaître ce qu'un président manquant de substance idéologique..., de définition d'un cap..., a ou aurait dans le ventre...!

Rien n'est plus difficile que ce genre d’exercice un tantinet "psychanalytique", à tel point qu'on peut se demander si celui ci est vraiment "utile". D'autant plus inutile il en devient tellement les facteurs et vecteurs tant de la définition de l'un sont obscurcis, laissés en suspension comme en suspense, floutés par fait exprès, qu'il existe alors de fait encore plus de facteurs et vecteurs influencés et donc influençant la lecture d'un corps social dit "socialiste", d'un électorat dit droitisée, d'une société en miette... Sa difficulté croisse d'autant qu'elle est alors menée, cette introspection humaine, celle d'une iconographie royale, sur l'autre, l'introspective sociétale, qui ne peut qu'être qu'une approche anthropologique presque, et se fait sur une échelle de temps tellement courte qu'elle manque cruellement de recul et d'éléments pour l'analyse. Et quand en plus elle est aussi "dirigée", pour ne pas dire diligentée, par des intervenants-es interviewés-es s'exprimant sur la notoriété d'un homme "sacralisé" par le sceptre des pleins pouvoirs d'une monarchie inachevée, se partageant l'auréole d'une couronne de laurier et de plume banche symbolisant une paix bien artificielle, l'on peut alors douter de sa sincérité tellement tant des non-dits que des artifices en floutent son aura.. N'y a t-il pas ou plus de guerre économique à mener..., quand on se rappelle qu'elle aurait été déclaré comme étant gagné par les maîtres de la finance..., contre les classes ouvrières, salariales et les pauvres...? Dirigées elle est donc cette communication et introspective/introspection, sur leurs seules visions d'une société qu'ils veulent "droitisée", d'un électorat a-partisan, nous laissant a penser à un pur plan de communication et donc de manipulation de masse, orchestré au millimètre près..., pour entretenir le floutage de la continuité de l'écriture d'un nouveau "roman national"...!

Cette écriture de l'Histoire nationale n'est pas nouvelle, quand elle est la propre et stricte preuve d'une volonté obscure, telle une "main invisible", de vouloir légitimer la domination d'un pouvoir quasi divin sur des sujets, qui devraient être encore plus asservis. Cette hiérarchisation du pouvoir d'une société n'est que la quintessence d'un rapport de dominants, dominés, basé sur la richesse tant financière que patrimoniale, tant culturel qu'éducative, tant informative que secrète, quand historiquement le droit du "sang noble" n'en légitimait pas en plus la servilité des pauvres par la confiscation de tous ces éléments de base de la citoyenneté. C'est autant un rapport de force déséquilibré qu'une révolution, et plus tard une lutte des classes, ayant chercher une voix démocratique, a tenté de ré-équilibrer..., qu'aujourd'hui comme hier ce déséquilibre que les dominants entretiennent dans un État de "nature", transfigure et balafre en profondeur à nouveau notre société, le pouvoir démocratique du peuple, et le rôle idéologique des rapports de forces entre les différents courants politiques. 

Mais si l'on veut essayer quand même, de s'entêter à définir ce que le "Hollandisme" peut être..., et peut...,  voir..., va apporter à ce corps social, cet État, cet électorat "socialiste"..., il convient selon mon modeste esprit..., dans cet espace-temps mouvant, d'en définir un (espace-temps) plus stable. Il peut se fixer sur un cadre autant extra-national que notre appartenance à l'Europe, à la "mondialisation" constitue un élément déterminant bien plus probant qui explique et la division de notre société, et l'autoritarisme grandissant du pouvoir de l’État et de l'Europe a-démocratique tout deux, et la prédominance croissante des marchés financiers dans ces deux corps institutionnels. En cela, on explique mieux aussi la volonté cachée d'un "Hollandisme" de vouloir éradiquer le "socialisme", sa générosité de nature..., qui demande alors d'avoir un État fort..., une démocratie établie sur une large base sociale et réunie sous la préoccupation prioritaire de s'occuper d'abord des plus faibles plus nombreux, qui par l'émancipation de ses citoyens-es permet plus de leur redonner leur pouvoir par la transversalité et de renforcer d'autres contre-pouvoirs horizontaux. Cela les marchés financiers les grands patrons et les petits les prenant en exemple et aujourd'hui les politiques du bipartisme formant ce corpus homogène sous un seul trait, la dette, n'en veulent absolument pas. Et ce tout se cristallise dans l’apparition d'une nouvelle religion..., celle de l'impératif de rembourser la sacro-sainte dette publique, non auditionnée parce qu'ainsi..., cela permet d'en déresponsabiliser les politiques ayant gouverné, les banques ayant financé et œuvré en coulisse de manière malhonnête. Et par la titrisation de cette dette, liée à celles des pays voisins et des peuples frères, mais aussi à des titres et actions bancaires entrepreneuriaux pas très sûr, pas très honnêtes, voir à des pertes bancaires ayant déjà été remboursé après le crack financier de 2007/8 par la leur socialisation, après avoir joué au casino, cette nouvelle religion instiguant sa crainte auprès des peuples, comme le font toutes les religions, veut nous faire renflouer les déficits publiques au prix de sacrifices inégalés jusqu'à ce jour... Cela est l'instant présent, comme c'est aussi une conséquence. Mais cela est à cause de son histoire qui n'est pas vraiment écrite en ces termes.

De l'autre coté, en même temps que que ce présent enfume les esprits..., le passé lui n'est pas encore totalement ré-écrie...! Mais pour combien de temps encore...?

Cela étant posé en tant que base de la définition du brouillard présidentiel du "Hollandisme", il est alors utile d'en situer son historique. Celui ci a commencé embrumer les consciences partisanes à partir du moment ou ce sont les "socialistes", ces gouvernants-es de l'époque, qui ont eux-elles même décidé de l'entrée de notre pays, de notre société et ses tensions sociales et luttes ouvrières, dans une Europe a-polique. Plus qu'a-politique, ces même "socialistes", ces dirigeants tout du moins..., ont accepté de nous lier et enchaîner au desiderata des marché financiers, en sacrifiant le seul pouvoir qu'ils pouvaient encore lui opposer, si tant est qu'à l'époque la lutte des classes avait un sens et un rôle social indispensable dans une société, pour eux-elles. Ce pouvoir n'était rien d'autre que de battre monnaie, que la possession de pan entier de secteur industriel et financier nationalisé. Et de ratifications de traités en signatures de constitution, de privatisations colossales d'une parti des services publiques à d'autres plus sournoises et rampantes..., allant même jusqu'à renier le vote des citoyens-es en ratifiant un traité ayant pourtant été refusé massivement lors d'un référendum, et majoritairement au sein même des "socialistes" législteurs-trices et autres responsables, comme de la population..., ils-elles ont signer l’arrêt de mort d'une idéologie politique.

C'est ainsi que l’actionnariat, la rente, le dividende, la course au rendement immédiat fit son entrée dans la vie de travailleurs-euses, de citoyens-es individualisés-es et abandonnées-es par ce parti dans une "mondialisation" financière. C'est ainsi que les renoncements successifs de ce parti accompagnant traditionnellement les luttes des classes, se projetant à long terme, ont jeté devant leur solitude immédiate, des salariés-es qui par millions, amoureux de leurs métiers, ce sont vus-es dénigrés et méprisés, lorsque de leurs luttes esseulées, ils-elles n'ont reçu que mépris en se faisant traiter d'archaïque refusant le progrès, par ces même "socialistes" "mondialisés-es" et "mondainisés-es". Et justifié par les thèses ambiguës d'une "libéralisation" (mai 1968 par exemple) de l'individu pour en émanciper son essence..., le pendant de la financiarisation des productions de richesse a gangrené et ces politiciens-es dépolitisés-es, et petit à petit..., des individualités à la culture "socialiste", qui par l'accession cloisonnée à des postes à responsabilité, la casse de illusion d'un ascenseur social, sont tombées addict du profit élevé à cour-terme. concomitamment la prédominance et le poids des médias privés et commerciaux ont accompagné avec appétit cette écriture du "roman national" de l'histoire politique du pays. Et sans voir, par fait exprès ou non...,  la perversité de cette transformation et défiguration de la société civile et publique aussi (pour les privatisations rampantes, les emplois précaires dans les fonctions publiques et territoriales) avec l'avalent et l'appuient des mensonges des politiques "socialistes" de toutes ces époques, des médias et autres expertises truquées, tant au niveau nationale, qu'européen... Le mal c'est répandu au sein de la société. Il s'est traduit par l'appauvrissement s'accroissant inexorablement encore de la classe populaire, celle des modestes, celle des ouvriers-ères, salariés-es à bas salaires, etc..., la casse de leur droit, ceux des plus exposés-es au chômage de masse, des méthode de management du personnel d'exclusion, de mise sous pression et en concurrence permanente des employés-es (voir les suicides au travail) étant devenu et la variable d'ajustement de "leur" (rentiers-ères, créanciers-ères, politiques, patronats) rendement financier élevé, et la garanti d'une monnaie et de prix stables, relativement élevés, pour leur seul pouvoir d'achat égoïste.

Les dates et la mécanique et méthodologie expliquant comment intégrer la responsabilité du "Hollandisme" dans cette perceptive historique sont expliquées à merveille par un des militants du parti "socialiste", depuis 1989, qui scientifique spécialisé dans le domaine politique et social de l’Institut universitaire européen de Florence, est mieux à même à expliquer la chronologie des faits, vue de l’intérieur. Il se nomme Philippe Marlière est son billet de blog est à découvrir ici...:  http://www.contretemps.eu/interventions/philippe-marliere-pourquoi-je-quitte-parti-socialiste

Je remercie aussi nicolas 974 qui m'a permis de découvrir cet article que je me permets à mon tour de partager...!

 Quand à ma maigre contribution ici..., elle se veut rendre aussi l'impression d'un ancien militant et déçu du "socialisme"..., qui même si l'expérience est récente comme elle fut brève..., cherche à apporter avec modestie quelques éléments de réponse à la définition du "Hollandisme" selon une interprétation personnelle.

C'est ainsi que je décrirais, sur cette page blanche restant à compléter, cette vision obscure du "Hollandisme", en cet instant, et en fonction tant d'un passé d'un homme politique "sacralisé" qu'en fonction de ses responsabilités actuelles, tant en fonction de l'évolution d'une société, d'un électorat, que par rapport à ses responsabilités d'Hommes et d'une famille politique dans leurs paroles reniées et actions passées et présentes... Et sans chercher à ré-écrire l'histoire, comme d'autres, mais à en raconter une bride, dans un aspect, un angle d'approche certes personnalisé, mais qui se veut être dans l'intérêt général..., je finirais ainsi. C'est des extraits de commentaires laissés sur l'article cité en introduction..., qui à mon sens ont toute leur place dans ce billet.

 L'introspection du "Hollandisme" est le post "socialisme".

"Le "Hollandisme c'est la mise à mort du "socialisme", celui de la société Française..., quand celui du parti politique, il en a tué les pères/paires, il les a achevé bien avant. Mais c'est aussi celui de l'idéologie que notre "socialisme" a essaimé à travers le monde... Et cette mort passe par le "pragmatisme" du recentrage totalitaire de la gouvernance "dictatoriale" des règles de la 5 "R"épublique monarchique, en réactivité à des mouvements sociaux d'ampleurs, et faite dans l'anticipation de l'abandon des classes modestes et moyennes et leurs luttes qui n'existent que par une représentativité d'apparat et un dialogue social de façade (voir comment les assoc de chômeurs-euses précaires ont été reçu et considéré lors des derniers sommets sociaux). C'est même le dernier souffle qui relie le politique "socialiste" au corps social réel...

Sur la stèle de sa tombe est déjà préfacée, en guise d’épitaphe, la sacralisation de l'ennemi l'ayant vaincu... Soit la redéfinition du rôle du Conseil constitutionnel, de la Cour des comptes,  en cours suprême, et les nouveaux statuts des pouvoirs exécutifs des pays européens, a-démocratiques (puisque non élus-es pour certains-es ministres, commissaires, etc), antisociaux (seul la valeur de l'euro compte sur la base du dumping social et fiscale généralisé), que sont les derniers traités Européens mettant ainsi à l'abri de tous les regards légitimes des peuples et des poursuites éventuels que ces peuples pourraient demander, des décidons des ministres des budgets et autres dirigeants des pays membres, les membres de la Commissions européennes, de la BCE etc...

Et c'est la complaisance d'un centrisme technocratique abandonnant aussi l'idée même de la notion du rôle du politique, lien essentiel du peuple par rapport à leur gouvernant et leur manière de gouverner, qui signe cette épitaphe... Cette complaisance à des visages, des identités physiques et morales, dont le "Hollandisme" veut taire le nom. C'est le capitalisme spéculatif outrancier, immorale, ses actionnaires et rentiers-ères (dépendants-es, addict même de rendement financiers à cours termes exorbitant et immoraux, enchaînés-es aux dettes publiques par leur titrisation) les médias commerciaux et spécialiste de l'intox de masse, et le patronat des multinationales et autres grands groupes du CAC40, comme d'un autre genre de patronat défendant ces premiers."


L'introspective d'une société soit-disant droitisée est à faire que dans le cadre d'hypothèses, comme celle ci par exemple..:

"Il est une autre absence dans cet article et analyse de ce qu'est l'évanescence, la déliquescence même de l'idéal du "socialisme" quand seul le spectre de l’ultralibéralisme devient de plus en plus prégnant, en en vampirisant au niveau sociétal et social la moindre parcelle des dernières gouttes de son énergie vitale, généreuse, dans la diffusion de ce "Hollandisme"...

Et c'est dans la gestion technocratique de nos vies, de l'économie, s’inscrivant dans un programme politique laissé dans le flou par fait exprès (réalisant que certains engagements et dans un désordre aberrant), et dans une méthode, une technique  dite du "ballon d’essai", appuyée par une gouvernance faite par les sondages d'opinions, sur l'émotion s'exprimant sur des faits d'actualités divers, sensibles, mais toujours que minoritaires, rares. Mais à contrario de son prédécesseur, ce président se floutant par intention, s'appuie sur les sondages des médias commerciaux d'intox et autres, quand le dernier va passer devant le juge pour avoir magouillé avec des intérêts privés, sans respecter les règles de marché public, avec l'argent public.

Un exemple peut être pris dans le renoncement, son non respecter même, ayant donné les pleins pouvoirs à ce monarque quand il s’assoie maintenant sur ce contrat tacite. Le cas de la Fusion de l'IR et de la CSG et le plus emblématique et illustratif a ce sujet...! Si cette réforme en profondeur de la fiscalité, qui aurait aussi entraîné celle de l'impôt sur les sociétés par le biais de la CSG, avait été mené des le début du quinquennat et avait été appliqué au plus vite en en respectant son objectif, soit de remettre dans de la progressivité dans l'impôt..., et ses hausses, il n'y aurait certainement pas aujourd'hui et depuis cet été même, ce soit-disant "raz le bol  fiscal" généralisé (qui ne peut être un vrai "raz le bol" que pour les classes moyennes inf et les classes modestes qui payent des déficits issus d'un crack financier dont ils-elles ne sont en rien responsables), ces refus de l'éco-taxe, ses pigeons fut un temps, ces soit-disant "tondus", ces riches footballeurs voulant faire grève, etc....

Mais c'est vrai aussi que tous cela, ces difficultés et tensions sociales seraient alors apparu en même temps en début de mandat... Certains-es vont y répondre mais les marchés auraient augmenté les taux d'emprunt d’État. Pour autant, de mettre tout cela sur le table des le début avec la cote de popularité que ce gouvernement, ce législatif avaient juste après les élections, soit le peuple de gauche les appuyant dans la rue, cela aurait aussi peser plus fermement dans les négociations fiscales en France et Européennes ensuite, quand au fameux traité du TSCG et sa relance évaporée, et aurait aussi fermé le caquet à beaucoup de volatile et autres rapaces. Cela aurait ainsi reformer un corps social de gauche décomposé et divisé depuis tant de temps. Quand aux soit-disant hausse des taux d'intérêt d'emprunt..., un audit de la dette de la dette publique aurait certainement aussi fermé les caquets de ces marchés.

Mais pourquoi alors cet engagement de réforme fiscale a été abandonné et lui a été préféré de mener en grand chantier des le début ou presque du quinquennat "le mariage pour tous" qui lui, a divisé encore plus la gauche, et aussi la société et renforcé l'électorat radicale du fhaine...?

La réponse se trouve dans la manière de se comporter qu'à ce gouvernement et ce législatif majoritaire, en surfant et réagissant à chaud, avec de plus en plus de totalitarisme, au coup par coup, avec un pas devant et deux derrières, suivant les forces en opposition, dans leurs actes, qui ne font que réconforter le patronat - l'ANI, les retraites, etc - , que conforter la droitisation de l'ump, son explosion, et renvoie les déçus du "socialisme" et de la vrai gauche peut audible vers le parti du fhaine, et l'abstentionnisme. Et c'est sur des thèmes d'actualités sur-médiatisés (celles fiscales, sociétales avec l'affaire "Léonarda", sociale avec le travail du dimanche, etc, sondés à l'emporte pièce et à chaud) puis en jouant un pas de deux avec d'un coté le patronat, tout en critiquant, mais juste en façade qu'une chaîne d'intox en continu, quand l'autre est tout autant méprisable, et de l'autre coté avec la vrai gauche, et EELV., que ce gouvernement et ce "Hollandisme" compte occuper l'espace, ré-écrire notre histoire sociale, notre modèle social, le temps de la durée de son mandat "

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