Et voilà une lettre d’investisseur d’un cynisme pour le plus grand profit de la main invisible du marché. L’analyse de la pénurie est juste mais la démarche pour profiter de la rareté est plus qu’une ânerie c’est un crime contre la société humaine. Et sur la fin il semble y avoir un aveu de délit d’initié à la limite du tolérable.
les 5 dernières minutes ?
Le barrage des Trois Gorges en Chine est le plus grand barrage du monde. Le réservoir attenant peut contenir jusqu'à 45 km3 d'eau. Imaginons un instant que le réservoir soit plein. Imaginez maintenant qu'une minuscule fissure apparaisse dans le barrage des Trois Gorges. Dans les premiers temps, cela n'aura pas beaucoup d'effet : une goutte d'eau suintera très lentement. Et puis une minute plus tard, deux gouttes s'échapperont. La minute suivante, quatre gouttes sortiront de la fissure et ainsi de suite. Si cette fuite continue de doubler de taille à chaque minute combien de temps pensez-vous qu'il faudrait pour vider entièrement les 45 km3 d'eau du réservoir ? Quand je pose cette question autour de moi on me répond généralement un mois. Parfois moins d'une semaine. Mais la réponse est étonnante. Le réservoir pourrait s'assécher en seulement 57 minutes. C'est moins d'une heure pour couvrir toute la superficie de la France sous 8 cm d'eau. Mais aussi ahurissant que cela puisse paraître tout sepasse dans les cinq dernières minutes. Croyez-le ou pas, c'est dans ce laps de temps que 97% de l'écoulement a lieu ! En d'autres termes : si vous étiez en train de vous prélasser les bras en croix au milieu du réservoir des Trois Gorges lorsqu'il commençait à fuir. Il vous faudrait 52 minutes pour vous en rendre compte. Parce que seulement 3% de l'eau se serait échappée à ce moment-là. Pourtant, seulement cinq minutes plus tard, vous vous retrouveriez posé sur votre séant, incrédule, au beau milieu du lac vide ! Cet effet 5 dernières minutes est au cœur de la crise imminente dont je vais vous parler maintenant. Et il aura un impact sur 99% des personnes sur Terre. Puisqu'il s'agit d'une pénurie mondiale de matières premières. Pourtant, personne n'en parle et les rares qui se risquent à aborder le problème ne sont pas écoutés ! Pourquoi ? Tout simplement parce que la crise économique et financière retient actuellement l'attention des médias et de la classe politique. Pourtant, j'étudie depuis le début de ma carrière la façon dont le monde utilise les ressources et les matières premières à disposition sur Terre. Et je peux dire une chose avec conviction totale : Certaines matières pour l'instant peu chères sont en train de s'épuiser à un rythme exponentiel, comme l'eau du barrage des Trois Gorges, dans mon illustration. Cela signifie que l'épuisement accélère à mesure que le temps passe. Tout comme près de 97% du volume du réservoir des Trois Gorges disparaîtrait au cours des cinq dernières minutes. Mais cela signifie surtout que nous sommes à l'aube d'une forte augmentation du prix de ces ressources naturelles et qu'investir sur les matières les plus touchées par la pénurie pourrait s'avérer potentiellement très rémunérateur ! Dans ce message, je vous révèlerai des pistes concrètes d'investissementet si vous voulez aller plus loin, je pourrai même vous guider pas-à-pas vers les opportunités. Je vous dirai tout mais avant toute chose, permettez-moi de vous parler de la situation dans laquelle se trouve aujourd'hui le secteur des matières premières. Après une hausse moyenne de 35% en 2011, le rapport prévoit une poursuite de la hausse en 2012. La principale raison invoquée est la montée en puissance des pays émergents moins touchés par la crise que les pays de l'Union européenne qui ont d'énormes besoins en matières premières. Retenez qu'à elle seule, la Chine pèse déjà pour deux tiers des importations mondiales ! La seule incertitude, c'est le ralentissement économique de la Chine. Arrivera-t-elle à soutenir les cours des matières ou allons-nous observer pour la première fois en 10 ans une chute substantielle des prix ? En ce qui me concerne, je suis très optimiste quant à la reprise économique chinoise.A l'heure où j'écris ces lignes, je suis précisément en Chine pour me rendre compte par moi-même de la vigueur de l'économie du pays. Et je n'ai pas attendu très longtemps pour constater une différence de taille entre les marchés de l'Atlantique et du Pacifique. La Chine, à la différence de nos économies endettées, possède encore les moyens financiers de relancer son économie. Non pas en lestant encore un peu plus le bilan de sa banque centrale par des monceaux de dettes irrécouvrables, mais en investissant dans des dépenses productives, comme les infrastructures. C'est le sens de la libéralisation du marché financier que vient d'opérer Pékin. Certes la Chine a connu un ralentissement avec la crise, mais ses fondamentaux sont toujours là : Le pays dispose d'énormes réserves de change de 3 200 milliard de dollars. La dette de l'Etat n'atteint que 43% du PIB contre plus de 89,3% chez nous. Une croissance au plus bas depuis trois ans de plus de 7,5%. Pour moi, la Chine a les moyens de ses ambitions. Les mesures de relance prendront effet en 2012 et le secteur des matières premières pourrait bénéficier de l'appétit chinois pour quelques années encore ! Si nous nous arrêtions à ce constat, nous pourrions nous dire que certaines matières premières, comme l'or, le pétrole ou les ressources du secteur de la construction sont de bons paris pour l'avenir. Mais il y a un autre phénomène derrière tout cela, bien plus profond et qui pourrait bien surpasser toutes les anticipations de hausse des prix des matières dans les années à venir. Parce que tout ceci concerne la demande et ma préoccupation principale, dont j'aimerais vous parler aujourd'hui, se situe plutôt du côté de l'offre. Voyons cela de plus près ! Entrons dans le vif du sujet : nos ressources naturelles les plus nécessaires ne sont pas illimitées ! Actuellement, nous sommes juste à l'entrée du coude où commence la ligne de l'épuisement. Bientôt, cette demande va quasiment partir à la verticale, vers un point de non-retour. Avec la raréfaction des matières premières essentielles à notre vie moderne, nous allons passer de l'illusion de l'abondance à la pénurie et cela conduira à une hausse fulgurante des prix. Vous pourrez l'observer sur les prix de l'électronique à écran tactile des batteries pour les voitures hybrides des pots catalytiques. Si l'on prend un peu de hauteur, on se rend compte que cet effet 5 dernières minutes n'est pas un cas isolé, qui ne concerne qu'une seule catégorie de matières premières. Malheureusement. L'or, par exemple ou encore l'argent, le sel, les épices, les diamants, le pétrole brut, le bois toutes ces choses, entre autres, sont de plus en plus chères parce que leur offre est de plus en plus limitée. Et le cycle est sur le point de recommencer. Pour le moment, ça ne semble pas trop dramatique surtout quand toute notre attention est portée sur la crise financière mais ce qu'il faut savoir, c'est que les prix augmenteront bien avant que la pénurie soit déclarée. D'ailleurs, les cours sont déjà ultra-tendus par la demande exponentielle des pays émergents. La reprise économique de la Chine ne fera qu'amplifier le mouvement et la spéculation fera le reste. Le potentiel est énorme pour qui saura se positionner sur les bonnes valeurs et les bénéfices d'une telle anticipation pourraient potentiellement tomber rapidement. Labonne nouvelle, c'est que pour en profiter, vous n'aurez pratiquement rien à faire. Pas besoin d'éplucher les quelques sites Internet dédiés aux matières premières ni la presse financière spécialisée en suivant mes conseils, vous bénéficierez d'une stratégie ultra-rigoureuse. Elle devrait vous permettre de viser des plus-values à répétition sur toutes les opportunités que l'effet 5 dernières minutes fera émerger, mois après mois. Rappelez-vous : pratiquement toutes les matières indispensables à la vie moderne seront bientôt extrêmement coûteuses. Il faut se préparer à des profits considérables pour les investisseurs qui savent comment jouer cette opportunité. Je parle de chose comme : L'argent métal et les terres rares nécessaires pour fabriquer des téléviseurs à écran plat, téléphones cellulaires, ordinateurs et autres écrans tactiles électroniques personnels. Le molybdène, le chrome, le manganèse, le zinc et le nickel sans oublier l'acier pour produire des ponts, immeubles et matériels de forage. Les métaux industriels de base comme le cuivre et l'aluminium pour réaliser le câblage et les composants dont on a besoin pour fabriquer les avions et les blocs moteurs. La potasse et les phosphates dont dépendent les agriculteurs pour nourrir plus de sept milliards de personnes. Rien qu'avec ce que vous avez sous les yeux, vous pourriez déjà imaginer faire de coquets profits, pour peu que vous sachiez à l'avance sur quelles valeurs investir. Pour la bonne et simple raison que toutes ces matières sont de plus en plus difficiles à extraire des sous-sols en quantité suffisante pour nos besoins actuels et futurs.
Je me présente : je suis Rédacteur en Chef d'une lettre d'investissement orientée à 100% sur les ressources naturelles. Je suis donc aux premières loges pour observer la fulgurance de l'effet 5 dernières minutes. Prenez comme exemple le palladium. Je cite ce métal mais j'aurais pu vous parler d'or, d'argent, d'uranium, de cuivre, de plomb, de zinc, d'huile, de la farine de maïs, du gaz, de sucre, etc. Le palladium est un métal précieux, très cher à extraire. Il n'existe qu'une poignée de mines dans le monde capable d'en produire à moindre coût. Voici la répartition mondiale de la production de palladium dans le monde, pour vous donner une idée de ce qui va suivre. Retenez que les principaux producteurs sont la Russie et l'Afrique du Sud. A l'heure actuelle, voici ce à quoi s'attendent les analystes pour 2012 et les années à venir : Augmentation de la demande de palladium. Rohit Savant, analyste chez CPM Group, projette une demande de cinq millions d'onces pour les catalyseurs et 1,3 million pour l'électronique. Pour HSBC, la demande du secteur automobile, propulsé par la relance économique, se montera à six millions d'onces. Je ne veux pas vous accabler de chiffres alors retenons l'essentiel pour ce qui est de la demande de palladium : elle a augmenté de 40% en deux ans et pourrait continuer sur ce chemin propulsée par la demande haussière des pays émergents. Baisse de la production en Afrique du Sud. L'offre du second producteur mondial de palladium pourrait connaître une baisse importante du fait de lourds problèmes de sécurité dans ses mines les plus importantes. Impala Platinium, par exemple, a perdu l'équivalent de 100 000 onces à cause de grèves. Dans ces cas, la production est tout simplement stoppée. Baisse de la production en Russie. Le plus gros producteur de palladium de la planète pourrait bien lui aussi annoncer une baisse conséquente de l'offre dès 2012. HSBC et Barclays anticipent un déficit. La première a annoncé que 500 000 onces avaient été vendues en 2011 à partir des stocks russes, mais que seuls 300 000 devraient être vendus cette année 2012. Là encore, inutile d'aller trop en avant sur les chiffres. Retenez simplement que la taille réelle du stock de l'Etat russe a longtemps été un secret. Mais selon Barclays, l'offre des réserves russes pourrait chuter de 60% en 2012. Pour dire les choses autrement, sachez que Norilsk Nickel, le plus gros producteur de nickel et de palladium du monde, prévoit que Moscou pourrait exporter pour l'année 2012 et 2013, 150 000 onces de palladium, contre 1,5 million exportés en 2007 : 10 fois moins ! Sachant tout de ces choses, je me dis que l'effet 5 dernières minutes du palladium a déjà commencé, au niveau mondial. C'est pourquoi je surveille le palladium de très près. Je pourrai ainsi recommander le temps venu aux lecteursune valeur palladium que j'aurai sélectionnée selon des critères ultra-spécifiques. Ce n'est pas seulement le cas pour le platine et le palladium. Beaucoup des matières que je surveille actuellement sont sur le point d'opérer un virage à la verticale, comme dans le graphique je vous ai montré. L'or, l'argent, l'uranium, le rhodium, le cuivre, le rhénium, le plomb, l'yttrium, le nickel, le zinc, l'huile, la farine de maïs, le gaz, le sucre, la potasse, le phosphate, le ciment et plus encore L'effet 5 dernières minutes est sur le point de les prendre tous à la gorge. "Soyez conscient que je fais partie d'une poignée de personnes en France avec les contacts, les connaissances de l'industrie et les compétences analytiques" pour : Vous aider à vous positionner sur un potentiel de flux d'argent monumental que pourrait générer l'effet 5 dernières minutes.