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Billet de blog 17 janvier 2013

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C'est beau le respect de la vie!

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

L'article n'est pas récent, je le découvre à peine.   Mais on peut raisonnablement penser que le souci des autres - à commencer par les plus vulnérables, les enfants- n'est toujours pas la priorité des autorités japonaises.

Comme la catastrophe -en dépit du fait que l'on n'en parle pas chez nous-  est loin d'être de l'histoire ancienne, il n'y aura pas lieu de s'étonner d'ici à une vingtaine d'années si le nombre de cas de cancers a augmenté.  Et d'autres maladies moins effrayantes pour le public mais bien réelles aussi.

Pauvres Japonais! 

Du poisson de Fukushima pour les enfants du Cambodge

5 avril 2012  |   Rédigé par: Loris Mattis  

C’est un «cadeau» des Nations unies. Des conserves contenant du poisson pêché dans les eaux des provinces proches de Fukushima vont être prochainement envoyées au Cambodge.Le Programme alimentaire mondial des nations unies, le PAM, veut certainement faire d’une pierre deux coups. D’un côté il offre de la nourriture aux enfants des pays pauvres et d’un autre il contribue à «sauver» le secteur de la pêche en pleine sinistrose au Japon en lui achetant des produits que personne ne veut.

En effet, les enfants des écoles primaires au Cambodge et de quatre autres pays en voie de développement vont très prochainement recevoir des conserves de poissons en provenance des préfectures proches de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima suite au tremblement de terre et au tsunami du 11 mars 2011.

C’est ce que rapporte le site globalresearch.ca dans un article intitulé : «Du poisson contaminé de Fukushima recyclé en nourriture humanitaire». Pour l’instant seul le Cambodge a été officiellement cité. On ignore encore le nom des autres pays destinataires.

Au ministère japonais des Affaires étrangères cité par le site, on assure que des mesures «strictes» permettront d’assurer que les sardines et maquereaux mis en boîte ne présentent pas de dangers pour leurs consommateurs. Or, au Japon, des groupes s’opposent à cette mesure car ils estiment que des risques de contamination subsistent suite aux tonnes d’eau irradiée déversées dans l’océan immédiatement après la catastrophe.

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