Jouer aux dès n'est plus du hasard
vous êtes nichés sur un surréalisme peinard
androgyne , jusqu'à la mise a mort,,,, de votre avatar
jouer, c'est arrêter le temps , une lâcheté, un évite couard
les yeux sur les dés , rivés ;ce ne serait pas le travail ?
La dérive de cette société ,annonçant que cela déraille
on se planquera derrière les dès ou on obéira a une canaille
je suis pas là, worker- closed ,Homme-n'y-présent où qu'il aille
pour fonder une famille , il faut deux bonnes situations et du bien
cette géostationnarité de surf double-way-voeux-paix n'est qu'un lien
comment peut-on trouver jouissance dans le couple de si loin
par tout temps Clar-Isse les voiles ! c'est vain
le travail ne nous quitte plus , même chez le bénévole
donner en comptant au guichet pour une soirée folk
donner en s'affichant, rentrer dans rang d'une farandole
donner pour compenser ce travail qui attise les folles
suivre le jet de dès comme si ça allait mieux se dérouler
sourd a l'exclusivité que veut l'enfant jusqu'à s'en des-coeurs-tikets
sourd a la lumière chat-toi-ayant et minet-râle,ténue en mince filet
sourd au valeur-re-paysan qui sait que l'hégémonie par l'anarchie sera foulée
suivre le dérivé,le cartésianisme c'est le jeu de la règle :il faut lacher le sinueux !
être sourd à son propre tempo, se fier au binaire musical insidieux
être sourd au break, qui fait que le travail nous habite 24 heures au mieux
être sourd a l'amour qui se veut ni lubrique, ni l'amen à Dieu
que cesse ce travail -jeu excessif
laisse place a l'oeuvre jouissif
oeuvrer a deux pour réussir sans être définitif
se le jouer égoistement soudés a plusieurs, mieux qu'au mono-poly