Pour affronter 2017 les yeux ouverts (sans parti pris)
Une interrogation à laquelle chacun d'entre nous peut être confronté au gré de l'actualité, des crises, des tragédies qui émaillent notre quotidien. Que nous racontent les « grands médias » ?
Puis le poids des élections présidentielles de 2017, véritable filtre susceptible de déformer bien des points de vue, des prises de position.
Alors ? Évacuer l'influence des médias « mainstream ». Les peindre sous leur vrai jour.
Comment faire ? Très simplement pour les familiers du Web (et, grâce à ce texte, pour ceux qui ne sont pas familiers du Web). Y chercher et trouver des informations qui courent et que chacun peut attraper.
Puis établir un constat. Des constats.
Les médias sont une construction, un outil, les « grands médias » sont majoritairement un instrument actuellement aux mains des oligarques qui imposent leur loi et leurs intérêts contre vents et marée, en dépit du suffrage universel. Le Service public d'information n'est pas en reste.
Pour ce faire, un monde médiatique dont les vedettes sont cousues d'or nous convainc jour après jour que les malheurs du temps sont « naturels » et ne sauraient être évités sous peine de provoquer un enfer terrestre. Or, voilà précisément ce qui nous est proposé : l'enfer pour la majorité d'entre nous.
Rassurons-nous, le paradis veille sur nos oligarques de tout poil. Vous crevez de n'avoir plus de revenus ? Voyez combien de Ferrari ou de Bentley se vendent à des prix astronomiques. Que les curieux fassent un tour à Monaco pour prendre la mesure de ce que signifie la crise pour les possédants. Qui dénonce vraiment ce scandale, fut-ce au nom des droits de l'homme ?
Il est temps que les citoyens s'emparent de leur destin et réinstaurent un équilibre entre le capital et le travail.
Ce manuscrit pour démystifier. Et proposer un regard dépourvu des à-priori qui submergent le monde médiatique, prisonnier (souvent volontaire) des puissances d'argent et de leurs séides eux mêmes membres de la corporation fermée des « grands journalistes ».
Voilà une contribution désintéressée à la lutte contre la « doxa », ou encore dirait-on plus simplement, contre la propagande qui nous submerge. Preuves à l'appui. « Jusqu'à preuve du contraire ». Amusez-vous, attristez-vous, pensez et prenez en main nos affaires.
2017 ? Aussi une affaire de désir citoyen. Bon sang, chers amis, aux armes ! (sans cartouches bien entendu).
L'auteur a ses convictions, vous avez les vôtres. De quoi échanger. Bonne promenade pédagogique au pays des faux semblants et des réalités virtuelles.
Alain Pucciarelli