Gauche(s) : Le droit à mourir dans l’indignité, une revendication peut-être ?
La(les) gauche(s) non-communiste agonise(nt). Entre « socialistes pragmatiques » qui ont sauté le pas en 2017, "résidus socialistes mous" et illuminati insoumis sous influence qui ont craqué bien avant, le pétainisme génétique des uns allié au romantisme révolutionnaire béat des autres auront suffi à faire basculer la volonté de changement du mode d’organisation sociale en une défense de la social-démocratie animée par un libéralisme de gauche qui en est l’oxymore.
Quand l’occident considère que les USA sont de gauche lorsque un "démocrate" est élu… il y a du souci à se faire…
L’américanisation de l’Europe est patente, plus personne ne fait de politique au sens noble du mot, la vie sociale s’organise en un match permanent démocrate/républicain, pseudo-gauche/vraie droite… plus du tout en une radicale volonté de changement déterminant.
A force de faire dans l’anxiogène et le branché-tendance la gauche occidentale non-communiste a confondu politique et sociologie.
Il est peut être temps de (re)parler politique pour changer « les choses » parce que pour l’heure on voit mal ce qui dans le paysage pourrait contrarier le patronat, l’épanouissement du capitalisme et les appétits étatiques surement pas de pseudo combats "sociétaux" survendus.
La gauche zombie peut commencer à se tordre les mains en pleurant cela n’atténuera pas sa responsabilité... sa désertion a un prix, fort.