violences féminines

Les statistiques ne font pas la loi !.  Il n'est pas nécessaire d'avoir épousé une championne de boxe pour être humilié, injurié devant les enfants, menacé physiquement .  Tous les hommes ne st pas des violents et certains par respect d'eux-mêmes et des enfants ne répondent pas par les coups ...ce qui  les ferait d'ailleurs condamner immédiatement.  Et ils se taisent, devinez pourquoi !.   Regardons un peu autour de nous, ds notre vie professionnelle, familiale, ds notre entourage et ayons l'honnêteté de reconnaitre que certaines femmes savent pousser  au-delà de l'acceptable l'avantage que leur donnent une opinion publique sensibilisée aux violences faites aux femmes et une législation qui les protège .   Je fais partie d'une génération de femmes qui s'est battue pour la cause des femmes : pour l'accès à la contraception, à l'avortement, pour la pénalisation du viol, pour le respect  des droits des femmes au travail et au sein de la famille, pour leur indépendance financière et affective... Je suis de plus en plus perplexe devant l'usage que font certaines jeunes femmes de ces acquis qu'elles ont trouvés  ds leur berceau et dont elles usent et abusent parfois avec cynisme, adoptant ainsi des comportements masculins décriés : paternité imposée à un compagnon qui ne voulait pas d'enfant, emprise et mépris envers les hommes qu'elles veulent à la fois virils et soumis, guérilla destructrice des liens père-enfant en cas de divorce.. .Il parait que la famille se porte bien en France et que le mariage fait recette ....autant que les divorces d'ailleurs.  Ayant expérimenté un mariage de longue durée avec un certain plaisir et la maternité avec certaines désillusions en ce qui concerne la transmission de valeurs d'ouverture et de respect réciproque je serais tentée de conclure qu'être célibataire sans enfant est une option acceptable....