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LE PRESIDENT DU TGI ROGER MONDONNEIX AURAIT IL VIOLE LA LOI ?

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Billet de blog 24 janvier 2014

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LA BROUETTE DES REVENDICATIONS

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Jean-Louis Guimberteau pousse une nouvelle fois sa brouette pour défendre
les droits bafoués des enfants du divorce. Il était devant la mairie mercredi

Parti de Bordeaux le 13 janvier, je
marche chaque jour silencieusement
de 9 heures à 18 heures, sur
unparcours reconnu»a expliqué ce Parisien
âgé de 61 ans qui « brouette »
ses revendications pour faire modifier
les textes législatifs relatifs aux
enfants victimes du divorce.
« Je vais cheminer ainsi pendant 39
jours, soit environ 1 070 km, avec le
soutien de l’Association nationale des
victimes des erreurs et dysfonctionnement
judiciaires (ANVED) » a ajouté le
retraité d’EDF qui achèvera son périple
le 26 février à Paris.
Une résidence secondaire
dans la commune
Jean-Louis Guimberteau n’est pas
un inconnu pour les Sauzéens, il a
une résidence secondaire dans la
commune où il vient souvent en
vacances.
Mercredi, accompagné par un de ses
amis, Michel Robichon, il a été reçu
par deux adjoints.
L’homme ne renoncera jamais à un
combat entamé en mai 2008. « J’ai
déjà fait deux grèves de la faim, la première
en passant huit jours sur le toit de
la bâtisse dont je revendique l’héritage
et la seconde en restant l’hiver 2009
63 jours recroquevillé sous des couvertures,
dans ma voiture, en bravant le
froid. Je ne ferai plus de grève de la
faim, mais tant qu’il me restera un brin
de force, je continuerai à défendre la
cause des enfants de parents divorcés ».
Jean-Louis Guimberteau, dont les parents
ont divorcé alors qu’il n’avait
que cinq ans, considère avoir été
spolié de l’héritage de son père,
une bâtisse en pierre et 4,3 hectares
de vignes en appellation
Lussac-Saint-Emilion en Gironde (valeur
selon expertise 272 000 €).
La justice civile l’a définitivement débouté
de ses prétentions sur cet héritage,
et c’est la fille de la dernière
compagne de son père qui est à la
tête de la propriété viticole.

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