BIENTÔT 2017 !
LES FEMINISTES INTEGRISTES QUI NOUS TIENNENT LIEU DE MINISTRES REDOUBLENT D'EFFORTS POUR : «TRANSFORMER LA SOCIETE » (dixit Mme TOURAINE) AVANT L'ECHEANCE.
LEUR PROGRAMME MORTIFERE :
– élever les enfants hors sol, nier la mauvaise santé mentale des adultes mal traités dans leur enfance,
– Inciter à l'irresponsabilité face à la vie sexuelle et la procréation, notamment en promouvant, pour tous et dès la puberté, le libertinage et l'I.V.G.
- remplacer le conjoint masculin par d'éventuels « partenaires » évanescents et impermanents,
- étendre à l'infini les »droits et les conquêtes » des intégristes (dixit Mme TOURAINE), pris sur le territoire des femmes normales et sur celui des enfants et des hommes.
– déconsidérer la famille.
LEURS OUTILS :
- Usage de l'imposture, de la diffamation, du mensonge, de la calomnie, du racisme, de la discrimination/stigmatisation,
Beaucoup trop, c'est trop !
Allons-nous laisser ces intégristes porter atteinte à la santé mentale et physique de toute une génération (et des générations suivantes) ?
EXPLICATIONS :
– ELEVER LES ENFANTS HORS SOL, NIER LA MALTRAITANCE ORDINAIRE ET LA MAUVAISE SANTE MENTALE INDUITE.
La branche extrémiste du féminisme s'est imposée dès les années cinquante en écrasant et écartant les féministes honnêtes (lire « Pilule, sexe, ADN « d'Evelyne SULLEROT, pages 100 à 111) .
Nous retrouvons ce même mouvement aujourd'hui sous les traits de nos ministres, toujours aussi violentes, partisanes, irrespectueuses, dangereuses. Leur mission est d'achever l'ouvrage commencé par les pionnières en supprimant tout ce qui est contraire à leur doctrine.
Ces ministres intégristes, pourtant responsables de la famille, des enfants et de la santé, ne reconnaîtront jamais les mauvaises conditions qui sont infligées à tous les enfants et qui portent atteinte à leur santé mentale, et physique par répercussion. Elles n'admettront pas davantage le fait que ces atteintes psychiques produisent le terreau duquel émergent les maltraitants de la génération suivante, dont ceux responsables de deux morts d'enfants PAR JOUR. Elles n'admettront pas que la mauvaise santé psychique (et physique par répercussion) de trop nombreux adultes pendant toute leur vie provienne de leur mal traitance lorsqu'ils étaient enfants. Elles refusent de voir les immenses souffrances et les graves désordres sociaux qui résultent des maltraitances des enfants.
Nos ministres ne reconnaîtront jamais les maltraitances ordinaires, culturelles, habituelles.
Pourquoi ?
Parce que reconnaître ces mauvaises conditions, admettre la mal traitance des enfants
obligerait à en rechercher les causes.
Recherche qui conduirait tout droit au déficit de présence des parents auprès des enfants et mettrait en cause la libération de la femme.
La « ibération de la femme » parce que la plupart des femmes, féministes ou non, se considère comme le parent principal, voire le seul parent véritable. La grande majorité des femmes se sent donc attaquée par le constat d'abandon des enfants et a tendance à être solidaire des intégristes sur ce point.
Pour les intégristes, la « libération de la femme » ne doit souffrir d'aucune contrainte.. Or, nous savons tous que les enfants représentent la plus lourde des contraintes courantes, après l'obligation professionnelle toutefois. Sauf que le dogme attribue au travail extérieur le qualificatif de « libérateur », sous-entendu, « qui permet de se libérer du conjoint ».
Le choix du sacrifice des enfants pour éviter « l'aliénation » des mères est fait depuis l'origine du féminisme intégriste et ne sera évidemment pas remis en cause par nos ministres qui s'emploient au contraire à parfaire l'ouvrage.
Beaucoup plus zélées dans cette voie que celles qui les ont précédées elles travaillent d'arrache-pied à bétonner les acquis et à étendre les conquêtes. Pour maintenir un champ indéfini à ces conquêtes elles affirment indéfiniment que toutes les femmes sont persécutées : « harcèlement, viols, violences conjugales, féminicides ». (discours de Pascale BOITARD ministre des droits des femmes le 25.11.15 questions au gouvernement).
Qui harcèle, viole, bat, tue toutes les femmes d'après ces viragos :
Les hommes bien sûr. Sus à ces monstres !
Et voilà le masculin réduit au silence, sauf mea-culpa. D'une pierre deux coups, elles se sont débarrassées à la fois des enfants et des hommes.
Il y a effectivement des violences conjugales, des viols, des inégalités, des injustices.
La communauté humaine serait-elle incapable de les rechercher, ? d'en juger objectivement l'importance sans truquer les chiffres , sans faire de fausses statistiques, sans biaiser le langage ? C'est le contraire qui est vrai. L'efficacité dans la lutte contre les violences spécifiques faites aux femmes passe par la prise en compte de toutes les violences contre tous les humains sans discrimination selon le sexe ou l'âge des victimes. Toutefois il existe un ordre naturel : les enfants d'abord, puis les femmes et enfin les hommes, comme c'était le cas au temps dit du patriarcat. Ce qui m'amène à poser cette question : lors du naufrage du Titanic 75 % des femmes ont été sauvées contre 25 % des hommes, qu'en serait-il aujourd'hui ?
Quant aux violences intra-familiales, qu'il faut combattre beaucoup plus énergiquement, on est très loin d'en avoir fait le compte.Je rappelle seulement ici l'étude de l'OMS qui, à la question « qui maltraite les enfants » répond de la façon suivante :
- La mère biologique…………………………………...61 %
- le père biologique…………………………………….38 %
- le beau-père partenaire de la mère……………… 9 %
- la belle-mère partenaire du père………………….. 3 %
- la famille d'accueil……………………………………..1 %
- autres membres de la famille………………………..7 %
Ces chiffres sont à interpréter en fonction du temps passé auprès des enfants. D'autre part il faut ajouter à cette liste la mal traitance institutionnelle et sociale qui est particulièrement étendue et pernicieuse (et plus taboue encore que les violences familiales contre les enfants et les hommes).
La manœuvre est simple : les féministes intégristes imposent l'idée que l'unique urgence est de s'occuper des femmes, puisque la maltraitance des enfants résulte « de la violence conjugale » (du père sur la mère évidemment).
Ainsi, Mmes TOURAINE et ROSSIGNOL, comme l'avait fait avant elles Mme BERTINOTTI lorsqu'elle était ministre de la famille, peuvent réduire à néant toutes les initiatives qui dénoncent les maltraitances des enfants et qui proposent d'agir vigoureusement pour y mettre fin.
C'est ainsi que Mme ROSSIGNOL désamorce la dernière proposition de loi dite « de protection de l'enfance » en limitant d'autorité la portée de ce projet de loi aux 284.000 mineurs et 21.500 jeunes majeurs pris en charge par l'aide sociale à l'enfance (ASE).
Elle interdit ainsi de s'intéresser à la vie de tous les autres enfants et rend inopérantes les initiatives extra-gouvernementales pressantes de ces dernières années qui ont poussé vigoureusement le gouvernement à se manifester contre ces maltraitances.
Nos ministres ont intitulé vicieusement ce projet de loi « protection de l'enfance » dans le but de faire croire que le problème de la maltraitance était vu et traité dans son ensemble. L'imposture est bien caractérisée.
En réalité c'est donc seulement 305.500 (284.000 + 21.500) enfants, adolescents et jeunes majeurs que Mmes TOURAINE et ROSSIGNOL pourtant chargées du bien-être et de la santé physique et mentale de tous les enfants de France, acceptent de prendre en charge, et peut-être de mieux traiter.
Mme ROSSIGNOL ministre de la famille et de l'enfance (l'enfant ne serait donc pas inclus dans la famille?) confirme sa détermination à laisser les choses en l'état par un discours du 14.10.14 lors de l'anniversaire de l'ONED :
« En matière de protection de l'enfance nous n'avons aujourd'hui pas besoin d'une révolution mais d'évolutions de fond. La voie réglementaire et notre volonté commune sont déjà des leviers puissants pour assurer une meilleure protection de l'enfance ».
et devant l''Assemblée nationale le 14 .04.15 :
« la protection de l'enfance ce sont avant tout des professionnels et des élus qui s'engagent pour accompagner au quotidien les 284.000 enfants pris en charge par l'aide sociale à l'enfance ».
Les conditions inadéquates et souvent délétères dans lesquelles vivent actuellement tous les enfants (à de très rares exceptions près) ne seront pas examinées et leur situation ne changera donc pas. Sauf en pire puisque, notamment, l'élevage par des tiers salariés est au programme intégriste avec séparation de plus en plus précoce des bébés et jeunes enfants d'avec leurs parents. Or on sait qu'une séparation trop précoce est gravement préjudiciable à la construction du cerveau et à la formation de la personnalité psycho-affective. Une littérature importante existe sur ce sujet. Elle est systématiquement ignorée.
La constance de nos intégristes dans cette ligne de conduite est remarquable. Pour m'en tenir aux faits les plus récents je cite Madame BERTINOTTI alors ministre de la famille qui, par son discours au colloque organisé par le docteur Anne TURSZ et le sénateur André VALLINI le13 juin 2013 au Sénat a soigneusement maintenu le sujet dans les limites de la maltraitance grave justiciable de l'ASE, évitant tous sujets susceptibles d'entraîner au-delà vers les causes premières de toutes les maltraitances, dont évidemment, celles dites « ordinaires » inhérentes à nos modes de vie et aux dérives de notre culture et de nos mentalités.
Madame VALLAUD-BELKACEM , quant à elle, a, au même colloque et tout au long de son discours, parlé, non de la maltraitance des enfants et des moyens de l'éradiquer, mais de « la violence conjugale » qui serait, as-t-elle dit, le véritable et seul problème, la seule maltraitance subie par les enfants.
Madame TOURAINE s'est particulièrement distinguée devant la chaire UNESCO où elle a attribué, elle aussi, la totalité des troubles de santé des enfants, adolescents et adultes aux violences conjugales, c'est à dire, selon la doctrine, à la brutalité et criminalité des hommes/pères s'acharnant sur les mères dans l'antre du foyer familial, où, paraît-il, l'homme serait dominant.
Mme TOURAINE utilise encore ici, sans restriction : mensonge, calomnie, diffamation. C'est aussi du racisme puisque ces propos correspondent à la définition même du racisme : la discrimination/stigmatisation d'un groupe (ici les hommes) pour des raisons dont ceux-ci ne sont pas responsable (leur sexe).
Grâce à la vigilance de nos intégristes toutes les tentatives de lutte contre toutes les maltraitances subies par les enfants, d'où qu'elles viennent, ont été, jusqu'à ce jour, torpillées.
Aussi longtemps que des féministes intégristes seront nommées aux postes de responsabilité en matière de famille et de protection de l'enfance, il en sera de même.
Elles ne prendront jamais en compte les études, statistique et constatations qui nous disent que :
- Près de la moitié des enfants, compris ceux en garde partagée, souffrent, et souvent toute leur vie, d'avoir perdu partiellement ou totalement l'un de leurs parents du fait des séparations.
Conflits, antagonisme, rancoeur, défiance réciproque etc. des parents, atteignent aussi les enfants de couples qui ne se séparent pas mais qui vivent selon les préceptes des féministes intégristes,
- 8 % des Français de 15 à 75 ans (3 millions) ont vécu une dépression pendant les 12 mois précédents (INPES). Mais 50 % environ des dépressions majeures ne seraient pas traitées et donc, par conséquent, connues, de sorte que le nombre exact pourrait être d'environ 16 %.
30 % des Européens souffrent de troubles neuropsychiatriques graves. Ce nombre monte à
75 % si l'on prend en compte tous les troubles moins graves (l'étude qui a rapporté ce fait a disparu apparemment de la littérature mise à la disposition du public. Merci a qui pourrait la retrouver).
– De 10 à 19 ans la dépression est la première maladie des ados (rapport O.M.S. du 14 mai 2.014),
– 36,3 % des enfants de 6 à 18 ans (43 % des 15/18 ans) se déclarent en souffrance psychologique (majorée dans les familles monoparentale et recomposées),
32,2 % ont pensé au suicide,
11 % des 15/18 ans ont fait une tentative de suicide,
41,4 % de ces 15/18 ans ont déjà été en état d'ivresse alcoolique, 31,9 % d'entre eux ont consommé de la drogue (rapport UNICEF France à l'issue de sa « consultation 2014 des 6/18 ans), rapport OMS du 14 mai 2014, billet Rraymond SAMUEL sur Google« les mots pour ne pas dire »).
- 37 suicides d'enfants de moins de quatorze ans ont été enregistrés en 2009, dernière année où le nombre de ces suicides a été communiqué par les Pouvoirs publics. Ceux-ci ont sans doute cessé le suivi,
- En 2014 une femme sur cinq et un homme sur treize disent avoir subi des violences sexuelles dans leur enfance (rapport oms)
- 454 SDF sont morts dans la rue en 2013 dont beaucoup étaient d'anciens enfants maltraités, devenus SDF de ce fait,
- 730 enfants environ (deux par jour ! ) meurent chaque année de maltraitance,
- 121 femmes et 25 hommes ont été tués par leur conjoint ou ex conjoint en 2013 (ministères de l'intérieur et des droits des femmes),
- 11.398 suicides (31,23 par jour ! ) ont eu lieu en France en 2.011,
- plus de 220.000 IVG (602,27 par jour ! ) sont pratiquées chaque année,
- Les jeunes jihadistes Français sont pour la plupart en quête de valeurs, d'idéaux, de lien social, de fraternité dont ils ont été privés (Simone SOULAS, Centre contre les manipulations mentales -N° décembre/janvier/février du magazine Cercle psy).
- les parents s'occupent de leurs enfants en moyenne moins d'une heure par jour ; ils ont de vraies conversations avec eux pendant cinq minutes et quarante deux secondes par jour (CIEM),
- un tiers des adolescents pratiquerait maintenant l'automutilation. Ce qui représente une augmentation de 300 % en une génération (Ludovic GICQUEL – magazine 'Cercle psy de décembre/janvier/février),
- Etc.
(Il faudrait ajouter à cette liste les maladies somatiques, psycho-somatiques et, auto-immunes également induites par les souffrances subies dans l'enfance, et par la pollution chimique) .
Voilà la preuve de l'existence du terreau qui produit les maltraitants familiaux et autres (dans le contexte de la maltraitance institutionnelle).
.
Quelles réactions du gouvernement ?
Au lieu de prendre d'urgence les mesures, nombreuses et de grande envergure qui s'imposent devant cette situation catastrophique inacceptable, que proposent nos ministres ?
Seules les mesurettes qui ne risquent pas de gêner le contrôle social qu'elles exercent souverainement.
Le continent de la maltraitance est soigneusement interdit d'examen.
INCITER A L'IRRESPONSABILITE, PROMOUVOIR LIBERTINAGE ET IVG, REMPLACER LE CONJOINT/PERE PAR UN « PARTENAIRE » PROVISOIRE.
- Discours de Mme TOURAINE le 27.08.15 à l'université d'été de l' Assemnlée des femmes :
« La laïcité c'est ce qui permet aux femmes d'être soignées en toutes circonstances, sans l'aval de leur mari ».
- («en toutes circonstances» , c'est une façon de ne pas nommer l'adultère qui est évidemment incluse dans ces circonstances. - - - - « sans l'aval de leur mari» implique le déni du couple et de la famille.
- « être soignée» dans ce contexte anti-conjoint évoque évidemment le sida, les MST et l'IVG, conséquences d'un vagabondage sexuel féminin. La démarche est logique. C'est bien cependant un aveu explicite du rejet du couple et de la famille. Mme TOURAIINE promeut une société d'individus inaptes à la vie de famille, sans attaches, sans empathie ni altruisme, uniquement occupés à satisfaire leurs envies personnelles. C'est le champ grand ouvert pour provoquer la maltraitance des plus faibles et les pires dérives sociétales).
Discours de Mme TOURAINE le 28.09.15, lancement de la campagne « pour la promotion de l'IVG :
« cela montre que 40 ans après la loi VEIL l'accès à l'IVG ne va pas encore de soi pour tout le monde » (il n'est pas seulement question d'accès à l'IVG dans cette campagne mais surtout de promotion, de banalisation, et de dissimulation de la réalité.
La loi Veil avait pris le soin de ne pas cacher le caractère douloureux de l'IVG. Mme TOURAINE en fait une conquête sociale, un droit à exercer absolument. Elle fait ainsi la promotion de l'irresponsabilité individuelle . En accord avec la propagande antérieure elle promeut l'IVG comme étant la solution, pas du tout un problème - .
Pour beaucoup de personnes encore soucieuses d'hygiène de vie, d'humanité, de conscience, cette licence d'avorter mensongère adressée à toutes la population ne va pas de soi en effet et n'ira jamais de soi.
Mme TOURAINE remplace intentionnellement les mots « dépénalisation de l'IVG » par « droit à disposer de leur corps ». Elle veut ainsi imposer l'idée que la femme enceinte est seule impliquée : « je fais ce que je veux de mon corps ». Alors que que le corps de cette femme est habité par une autre vie que la sienne et que cette autre vie est issue d'un autre pour moitié. De quel droit Mme TOURAINE passe-t-elle sous silence ces deux évidences ? Il est temps de dénoncer cet énorme et volontaire mensonge par omission),
« Luttons contre le discours moralisateur et culpabilisateur qui risque de décourager les femmes d'avoir recours à une IVG (Nous sommes prévenus : encourager ouvertement les femmes à faire une IVG, c'est bien ; risquer de les décourager, c'est mal. Combattre violemment par tous les moyens y compris par la loi et le délit d'opinion ceux qui, en disant la vérité risquent de « décourager », c'est pour elle un devoir civique. Tout comme cacher la réalité lorsque celle-ci fait apparaître le danger représenté par cette promotion. L' accès à l'l'IVG est promu, mais aussi, indiscutablement, l'e recours à l'IVG lui-même, en accord avec la propagande antérieure.
Beaucoup de personnes et notamment les jeunes filles dès la puberté, retiendront de cette promotion de l'IVG par la ministre de la santé la seule idée que c'est normal pour une femme d'être enceinte, d'avorter, d'être à nouveau enceinte, de ré-avorter et recommencer, c'est exercer un droit a dit la ministre, et cela fait autorité
Mme TOURAINE fait ainsi oublier la responsabilité individuelle, incite les jeunes à la débauche et les entraîne vers des épreuves très dures. Rappelons que cet ensemble d'actes est puni par la loi et qu'ici les circonstances sont très largement aggravantes.
Je crois qu'au contraire le rôle du ministre de la santé est de prendre toutes les dispositions utiles pour faire prévaloir la nécessité de maîtriser sa vie sexuelle en raison des risques évidents inhérents à une sexualité débridée : l'adultère et ses conséquences, les M.S.T., la pédophilie/pédocriminalité, les viols, la prostitution, l'addiction, les grossesses des mineures et des femmes seules),
« Le temps de la pression, de la menace et de l'intimidation est révolu » (C'est un comble ! Ce temps n'est pas révolu pour nos ministres intégristes qui en usent sans aucune modération).
« Le site gouvernemental internet IVG a été créé pour permettre aux femmes d'avoir facilement accès à une information neutre et objective sur l'avortement. Des professionnels de la santé répondent sur les délais, les méthodes ou encore les étapes du parcours… les femmes défendent leur droit à l'IVG contre les caricatures et les préjugés » (mensonge éhonté, notamment par omission. Le site passe sous silence la souffrance des femmes mais aussi des hommes devant cet acte irréversible qui supprime une vie. Mme TOURAINE ose prétendre que l'IVG ne pose de questions que pour les délais, les méthodes, ou encore les étapes du parcours.
Nos intégristes veulent faire croire que l'avortement ne pose aucun problème humain . C'est un incroyable mépris pour les femmes (et hommes) qui sont touchés au plus profond d'eux-mêmes par ce douloureux sujet, soit qu'ils se soient résolus à un avortement, -souvent à la suite de la campagne de banalisation officielle, relayée par le Planning familial, soit qu'ils s'y soient refusés par conscience personnelle. Ces derniers subissent l'offense qui est faite à leur statut de parents. C''est d'ailleurs l'e statut de parent dans son ensemble qui est avili, c'est le regard des adultes sur l'enfance que l'intégrisme se propose de dégrader totalement, sans égard pour les conséquences).
« Nombre de numéros d'écoute n'informent pas, ils intoxiquent» (c'est le monde à l'envers !-il s'agit des numéros de téléphone non gouvernementaux-),
« La promotion de l'avortement est une grande cause » (Les « grandes causes sont des causes nobles. déclarer l'IVG une noble cause, c'est indiscutablement vouloir encourager toutes les femmes à avorter, imitant ainsi cette militante dénoncée par Evelyne SULLEROT, qui brandissait une pancarte dans une manif. : « je veux avorter » ! Cette assimilation à une grande cause est inacceptable, autant eu égard à celles qui souffrent d'avoir avorté qu'à celles (et ceux) qui n'ont pas cédé à la pression, qui élèvent leur enfant et qui sont ainsi discréditées, désavouées (comme l'une de mes petites-filles dont la photo se trouve ci-dessous)
J'espère que beaucoup de ces femmes ainsi violentées dans leurs sentiments les plus intimes et les plus nobles feront savoir ce
qu'elles pensent à Mme TOURAINE ),
- Conférence de presse du 28.09.15 :
« En tant que ministre de la santé, en tant que ministre des droits des femmes, en tant que femme et féministe je veille à promouvoir le droit à l'avortement » (Mme TOURAINE prend partout ailleurs la précaution de dire « promotion de l'accès à l'IVG . Ici, elle s'est laissée emporter).
- Intervention à l'université d'été de l'assemblée des femmes 2015 :
« les militantes féministes et progressistes que nous sommes... » (Ne devraient en aucun cas être ministres).
« ...je ne parle pas seulement d'égalité entre les femmes et les hommes, je parle de droits, de conquêtes. » (Mme TOURAINE reconnaît ouvertement que l'égalité femmes/hommes n'est qu'un prétexte et que le véritable but des féministes intégristes c'est de faire des conquêtes sans aucune limitation et bien sûr autant que le permettra la passivité des gens de bonne volonté),
« parce que les réactionnaires, les intégristes et les obscurantistes de tous bords prospèrent », (encore le délit d'opinion, le mensonge, l'insulte et la diffamation),
« tant que les violences sexistes existeront ». (il faudrait évidemment combattre énergiquement TOUTES les violences sexistes, y compris, notamment, celles que produisent Mme TOURAINE et consort ici et ailleurs sans vergogne).
« nos actes sont là et ils sont nombreux,
« nomination de femmes à des responsabilités. Dans le domaine social je m'y emploie résolument. » (donc, à compétence égale Mme TOURAINE nomme une femme parce qu'elle est femme. Je ne dénigre pas systématiquement la discrimination positive à l'égard des femmes. L'idée était dominante et naturelle au temps du patriarcat, mais elle est refusée maintenant par ces mêmes intégristes. Il faudrait que madame TOURAINE choisisse entre la pratique de la discrimination positive ou se mise à l'index,
D'autre part, il est évident qu'il est très imprudent de laisser à des intégristes la possibilité de procéder à des nominations),
« généralisation, parité dans les ordres professionnels, dans les mutuelles, dans les autorités administratives, et demain dans toutes les agences sanitaires », (Mme TOURAINE réserve la parité pour les services où les hommes sont majoritaires, jamais dans le cas inverse. C'est le cas pour le cabinet du ministère de la famille qui compte un seul homme pour 13 femmes -alors que la parentalité est l'exemple même de la parité. Ces intégristes sont parvenues à faire croire que l'égalité leur est refusée tout en les violant elles-mêmes chaque fois qu'elles peuvent le faire à leur avantage.
Et d'autre part, Mme TOURAINE agit comme si toutes les femmes avaient le désir fou d'être nommées et promues. Elle devrait plutôt se préoccuper de créer les conditions qui permettraient aux parents de choisir, pour l'un des deux , ou mieux, en alternance, la vie professionnelle ou la vie domestique et privée,)
« garantie des impayés de pensions alimentaires, les mères peuvent compter sur le versement d'une pension (Tout à fait d'accord , mais à condition que soit établie l'égalité des deux parents au préalable) ;
« Sanctions dans les entreprises pour femmes victimes d'inégalités salariales (pas de sanction si les inégalités frappent des hommes) ? Mme TOURAINE est donc ministre des femmes seulement). Qui donc est ministre des hommes?),
« recours facilité à l'ordonnance de protection et bientôt au déploiement du Téléphone Grand Danger. Les femmes victimes de violences sont mieux protégées (Tout à fait d'accord pour traquer sans relâche les violences contre les enfants, contre les femmes , et contre les hommes.
Est-ce juste et non discriminatoire de nier les violences que subissent les hommes de la part de leur conjointe ? Ces violences sont moins physiques que celles des hommes sur les femmes mais sans doute plus nombreuses : cela va de la situation quasi universelle de l'homme qui habite chez sa femme ou même chez un tyran domestique -il n'a pas de chez lui, jusqu'à celle où l'accès aux enfants lui est systématiquement barré. L'homme est toujours potentiellement un parent nié, exclu, dévalorisé auprès des enfants, même si beaucoup de mères résistent encore à la banalisation de ces situations),
« notre environnement est saturé par le sexisme (par le sexisme masculin ET féminin), mais moins que ne le dit l'intégrisme qui en rajoute pour améliorer son fond de commerce ),
« nous allons mettre en œuvre le plan de lutte contre les violences sexuelles et le harcèlement sexiste dans les transports. (tout à fait d'accord pour traquer et condamner les comportements inadmissibles des délinquants et autres irrespectueux),
« second chantier : celui de l'égalité professionnelle » (l'imposture est que l'égalité n'est recherchée que dans les secteurs où le masculin est dominant, jamais dans le cas inverse.)
« troisième chantier : faire aboutir rapidement l'examen de la proposition de loi visant à lutter contre le système prostitutionnel » (l'action des féministes intégristes vise à « libérer » les femmes de l'interdépendance femmes/hommes. Mais les spécificités de l'espèce humaine font que la collaboration entre chaque sexe est beaucoup plus nécessaire que pour les autres mammifères L'élevage des enfants en effet, requiert l'attention continue des parents pendant plusieurs années et soutenue pendant une vingtaine d'autres années. De sorte que la politique sociale de Mme TOURAINE qui promeut la scission entre femmes et hommes et vise à empêcher cette collaboration, entraînera toujours plus de solitude, donc de difficultés financières pour un plus grand nombre de femmes, dont un plus grand nombre d'entre elles se tournera vers la prostitution -comme la mère des demi-frères KOUACHI- ),
« quatrième chantier : porter notre combat à l'international – sensibiliser à l'action genre/climat et valoriser les actions des femmes actrices de la lutte contre le réchauffement climatique. (que veut-elle dire : que les actions des femmes actrices de la lutte contre le réchauffement climatique sont minimisées actuellement et habituellement parce que produites par des femmes ? ou bien qu'elle va faire pour ces femmes de la discrimination positive?),
« notre ambition est de construire une société dans laquelle les violences auront laissé la place au respect, dans laquelle les discriminations auront laissé place à l'égalité. Pour cela nous le savons, il faut agir sur tous les fronts, agir tout le temps, agir sans relâche, sans répit, sans trêve.
(Dans le monde que Mme TOURAINE nous fabrique c'est l'égoïsme qui domine, et le manque d'empathie. Aucun respect n'est prévu entre les conjoints. Quant aux enfants ils ne semblent pas exister. Il est vrai que Mme TOURAINE a trouvé une méthode radicale : elle a entrepris de supprimer les hommes et les enfants),
« avec Pascale BOITARD nous investirons des chantiers nouveaux pour les droits des femmes .(
« Vous et moi, militantes politiques, progressistes et féministes croyons à l'action qui transforme les mentalités et la société toute entière. Ensemble nous continuerons à porter ce combat » Nous voyons bien que ces va-t'en-guerre transforment les mentalités au seul bénéfice, d'ailleurs illusoire, des femmes féministes intégristes. Le monde qu'elles créent est un monde invivable pour les autres, et aussi pour elles à terme.
Que ceux qui sont exclus de leur programme : les femmes normales, les hommes et les enfants, rejettent cette idéologie totalitaire et mortifère aux relents de jihad) ,
- Discours en 2015 à l'occasion de la discussion de la nouvelle loi « santé » :
« nous développerons la prévention dès le plus jeune âge, avec un parcours éducatif en santé de la maternelle au lycée, l'interdiction de fumer en voiture en présence d'un mineur, la généralisation du paquet de cigarettes neutre, la création d'un délit d'incitation à la consommation abusive d'alcool, un meilleur dépistage des infections sexuellement transmissibles et la mise en place d'un étiquetage nutritionnel clair et lisible des aliments. Nous ouvrirons des salles de consommation à moindre risque pour accompagner les toxicomanes les plus marginalisés vers le sevrage, nous renforcerons la prévention des risques, y compris en prison » (la diffusion des connaissances, notamment relatives à la santé, est absolument nécessaire. Cependant elle ne sera pas assurée par ces mesurettes ridicules qui ne correspondent aucunement à la situation et aux besoins. Nous savons par ailleurs ce que cache cette prévention »dès le plus jeune âge » qu'il ne faut en aucun cas laisser à la disposition de ces extrémistes très mal intentionnées),
- Discours de promotion de l'IVG le 15.10.15 :
Mme TOURAINE ouvre un champ nouveau, « la santé environnementale » et annonce :
« Une meilleure information au public en matière de pollution de l'air, et aux droits des femmes avec le renforcement de l'accès à l'IVG » (c'est tout ?),
- Discours de Mme TOURAINE devant la chaire UNESCO sur les sujets « santé sexuelle et droits humains, et « enfants face aux violences conjugales » :
« études OMS et INED montrent très clairement que les violences conjugales multiplient le risque de fausse couche, sont responsables de 28 fois plus de risques de faire une tentative de suicide (Exact, au moins pour le suicide. Mais il y a une très grande probabilité, en l'absence de statistiques sûres, que plus d'hommes que de femmes se suicident pour des raisons de violences conjugales, étant donné, tout particulièrement, le nombre de pères séparés de leurs enfants), exposent davantage au sida selon une étude mondiale publiée dans PLOS ONE (un supplément de cas de sida dans un couple ne peut s'expliquer que par des relations extra-conjugales. Que Mme TOURAI NE recommande implicitement.
Quant aux auteurs des violences sur les enfants il faut se reporter à l'étude de l'OMS citée ci-dessus. La répartition est la suivante : la mère biologique 61 %, le père biologique, 38 %, le beau-père partenaire de la mère, 9 %, la belle-mère partenaire du père, 3 %, la famille d'accueil 1 %, les autres membres de la famille, 7 %. Ce qui n'empêche pas nos intégristes d'affirmer que la séparation massive à l'initiative des femmes provient de la violence conjugale (des hommes bien sûr) à laquelle les femmes veulent échapper. Encore une fois la « violence conjugale » n'est pas explicitée, de façon à laisser croire que les violences ne peuvent provenir que des hommes -tous ou presque- , jamais des femmes).
- Discours de Mme TOURAINE en octobre 2015 :
« En 2013, sont morts « par les violences de leur conjoint ou ex-conjoint « : 146 personnes dont :
- 121 femmes,
- 25 hommes.
Soit 20 % de tous les homicides,
(Ces statistiques sont établies par le ministère de l'intérieur et par celui des droits des femmes. L'intervention de ce dernier ministère oblige à considérer ces chiffres avec attention.
Il faut s'entendre : si l'on compte les homicides directs, sans autre considération, ces chiffres sont apparemment exacts. Mais si on les examine à partir de l'énoncé utilisé : « sont morts par les violences de leur conjoint ou ex-conjoint», ce n'est pas exact. Près de chez moi j'ai eu connaissance de deux drames, l'un est la pendaison d'un homme , un ami, sujet aux violences de sa conjointe. Dans ce cas, malgré l'énoncé il ne figure pas parmi les « morts par les violences de leur conjoint ou ex-conjoint« mais devrait y figurer, comme beaucoup d'autres suicidés d'ailleurs, sans aucun doute. Dans le second cas, il s'agit du meurtre d'une femme. L'auteur, son mari, s'est aussitôt suicidé. Ici les violences conjugales ont provoqué deux morts , l'une par homicide l'autre par suicide, mais une seule figure dans les statistiques),
- Interview de Mme TOURAINE au Figaro.fr-Madame, le 20.09.15 :
« Un enfant c'est une affaire de couple.
À mettre en comparaison avec ces autres déclarations de la même Mme TOURAINE :
« mon corps m'appartient, j'en fais ce que je veux» ; « mon corps, mon choix, mon droit »,
« un Français sur dix pense encore qu'une femme a besoin de l'accord de son partenaire pour avorter » (discours du 28.09.15). (je vous laisse apprécier),
Dans un monde normal, qui ne serait pas celui de Mme TOURAINE, on militerait pour plus de solidarité, plus d'implication du conjoint, plus de partage, plus de sollicitude, pour permettre un meilleur fonctionnement de la famille, avec tout ce que cela implique de prévention de diverses pathologies et dérives. Mais le projet de Mme TOURAINE et consorts n'est pas celui-là. Madame TOURAINE et consorts sont des fossoyeuses de la famille. Leur projet c'est indiscutablement de créer un monde où les femmes seraient « libérées » des hommes et des enfants.
Autres faits
- Imposture, c'est le montage réalisé lors de la constitution du gouvernement par la création d'un ensemble de ministères et organismes dirigés par le même groupe d'intégristes : un Haut Conseil à l'Egalité Femme/Homme, un autre Haut conseil à l'égalité professionnelle, chargés de faire des études, des rapports et des propositions à un ministère Des Droits des Femmes (les droits des femmes intégristes évidemment) qui transmettent leurs rapports et propositions au ministère de la Santé (dirigé par une très brillante intégriste) et au gouvernement.
Les propositions qui sont transmises sont ainsi supposées avoir été étudiées par des organismes qualifiés alors qu'elles n'ont pas quitté le même tonneau.
- Elles ont créé une image épouvantable et outrageusement fausse de l'époque du patriarcat. Malheureusement, les personnes qui ont vécu cette époque sont maintenant trop rares et trop âgées pour être entendues et permettre ainsi de dénoncer la supercherie (le code Napoléon a duré, en effet, beaucoup trop longtemps. Mais je peux attester que dans le peuple ce code était inconnu et ne gênait pas du tout l'expression du dominant dans le couple. Le code se traduisait simplement quasi toujours par l'apposition de la mention obligatoire -assez infamante pour les femmes, je le reconnaît sans résistance- sur les actes par le notaire).
- A travers les juges aux affaires familiales, très majoritairement de sexe féminin, généralement féministes, avec des tendances intégristes bien sûr, baignant dans un climat massif anti-pères, elles ont pratiqué en toute impunité pendant plusieurs décennies la « chasse à l'homme » en vertu du principe bien établi de l'homme coupable de tout et de la femme coupable de rien, vertueuse par nature et toujours mère douce et dévouée. (lire Evelyne SULLEROT : Quels pères ? Quels fils ? Pages 133 et suivantes),
- Elles ont affirmé que les enfants ne souffraient pas de la séparation de leurs parents « ils préfèrent des parents séparés à des parents qui s'engueulent ». Choisissez, chers enfants, entre la peste et le choléra...Elles se sont bien gardées de dire que des parents responsables pouvaient se comporter, et se comportaient, de façon à n'avoir pas de raison sérieuse de s'engueuler.
- Elles ont inventé l'idée que les bébés et jeunes enfants ne seraient pas socialisés s'ils n'étaient pas mis en collectivité dès le berceau, promouvant ainsi la catastrophe qu'est la séparation trop précoce.
- elles ont fait croire que les pleurs des enfants au moment de leur dépôt en collectivité avaient pour seule cause l'angoisse de la mère (elles ne citent jamais les pères),
- Elles ont avili le rôle de parent et la vie domestique/privée et qualifié le travail à l'extérieur de « vie active » ou « vie sociale » (Caroline ELIACHEFF a publié un livre dans lequel elle a écrit : l »es femmes ne peuvent plus, ne veulent plus sacrifier leur vie sociale à l'éducation de leurs enfants ». Et il est interdit de dire que des parents qui ne peuvent plus et ne veulent plus s'occuper de leurs enfants ne sont pas des parents. Il est interdit de dire que ces enfants sont des orphelins).
- Elles n'ont pas manqué de dire et répéter qu'une Maman malheureuse à la maison transmettrait sa souffrance à ses enfants et que la Maman heureuse au travail rendrait, bien sûr, ses enfants heureux. Sans dire, évidemment, qu'il y avait au moins autant de risques d'être malheureuse au travail qu'en restant à la maison.
A noter qu'il semble évident, de plus, que la vie privée, en moyenne, offre plus de possibilités d'être heureux que la vie professionnelle. Encore faut-il réhabiliter la vie privée.
- Elles ont copieusement menti par omission . En matière d'IVG comme indiqué ci-dessus et à propos de la « violence conjugale » données uniquement comme brutalités des conjoints sur leurs conjointes, sur fond de « féminicides » ou de « machisme qui tue tous les jours ».
- Elles ont aussi répandu l'idée que les enfants privés (!) de crèche ou autre mode de garde (qui ne seraient donc pas socialisés) ne s'adapteraient pas en maternelle, et que s'il n'allaient pas à la maternelle seraient moins bon que les autres à la grande école.
Efficacité garantie !
Un enfant « habitué » à la crèche c'est un enfant rendu docile, qualité primordiale pour les adultes, par le fait d'avoir dû accepter tout ce qui lui a été imposé. C'est un enfant déjà formaté qui a cessé plus ou moins de se développer normalement selon sa nature. Il a perdu définitivement une partie de sa personnalité. Il a appris à obéir et à suivre le troupeau parce qu'il n'a pas eu le choix.
Ce non choix pour l'enfant c'était la méthode éducative de cette spécialiste/formatrice issue de l'Education nationale que nous avions consultée, ma femme et moi, pour nous éclairer au sujet de la scolarité de notre enfant. Elle avait conclu l'entretien en nous disant : « il faut lui donner la certitude qu'il n'a pas de recours, que les choses ne peuvent pas être autres que celles que vous lui imposez , lui en faire ressentir l'inexorabilité. Nous sommes partis en courant...
Ces conceptions sont très largement majoritaires. Peu d'enfants y échappent. Aucun enfant n'en réchappe de façon à être totalement indemne. Pourtant, certains résistent plutôt bien mais, lorsqu'ils deviennent parents, ils appliquent la méthode à leurs propres enfants qui, à leur tour, n'en réchappent pas.
Pour la plupart les enfants plus ou moins atteints restent anonymes, perdus dans la masse et, bien qu'atteints, seront jugés « normaux » par référence à l'état du plus grand nombre maintenant admis comme normal.
D''autres deviennent « pénibles », hyperactifs ou« patate chaude », c'est à dire de la matière première récurrente pour les psys, et des candidats pour peupler les I.M.C., puis les hôpitaux, les centres fermés et les prisons , avec passage en Syrie pour un nombre de plus en plus grand. Quelques-uns peuplent aussi prématurément les cimetières, par suicide, accident de la route, overdose etc.
CONCLUSION :
C'est à nous d'agir :
Prenons conscience du fait que voter à droite en 2017, puis à gauche en 2022, comme on l'a fait pendant 35 ans n'apportera pas de solution.
Sachons que, même si l'image de l'enfant et de la famille a été vigoureusement attaquée au cours de la présente législature du fait de la présence des intégristes au gouvernement, nous étions sur cette trajectoire depuis les années 50, que les gouvernements soient de droite ou de gauche.
Espérons que des appuis et des moyens seront offerts aux femmes, qui dans leur immense majorité ne sont pas des féministes intégristes mais trop souvent des humains surchargés, épuisés, souvent privés de ce fait de relations gratifiantes avec leurs enfants et avec leur conjoint.
Malheureusement la résistance opposée à la propagande intégriste a été très faible. Aucune organisation n'est venu contrecarrer sérieusement la colonisation de l'espace public et privé par les extrémistes.
Femmes, hommes et enfants, nous avons tous été conditionnés, de sorte que nous raisonnons et vivons maintenant en nous appuyant sur beaucoup de fausses vérités.
Pour que cela change, pour ne plus obéir à la propagande intégriste, pour que nos relations avec nos enfants deviennent en tous points positives, nous avons besoin de connaissances réelles, découvertes par la science ou validées par l'expérience des professionnels et des parents/grands-parents concernant les besoins des enfants.
Il faut recueillir et faire circuler ces connaissances. Elles sont trop souvent bloquées chez les chercheurs et autres scientifiq
Billet de blog 3 février 2016
2.017 - LES FEMINISTES INTEGRISTES QUI NOUS TIENNENT LIEU DE MINISTRES FONT LE FORCING AVANT L'ECHEANCE...
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