REFLEXIONS D'UN LOSER VOLONTAIRE

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Billet de blog 17 août 2021

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BRASSENS : QUAND MEDIAPART CENSURE UN BLOGUEUR.

REFLEXIONS D'UN LOSER VOLONTAIRE

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Soyons précis.

Le 15 août, à 20h58, je publie ce commentaire :

"Ce quatrième article d'Antoine Perraud au sujet de Georges Brassens m'inspire l'opinion suivante : pour une énième fois, preuve est faite que l'on peut être simultanément un relatif érudit et un con fini.

Ayant publié sur mon blog un article en hommage à Georges Brassens, je n'éprouve pas le besoin d'en dire plus."

Le 16 août, je prends connaissance d'un mail qui m'est adressé par "L'équipe de Mediapart" le 15 août à 20h59, mail intitulé "Commentaire dépublié par la rédaction".

En voici le texte intégral :

"Bonjour Reflexions D'un Loser Volontaire,

Le commentaire publié sur l'article Brassens pris aux mots : misogynie guère à part, phallocratie galopante le15/08/2021 a été dépublié par la rédaction de Mediapart car il était contraire à notre charte de participation.

Le motif de cette dépublication est le suivant : insultes et invectives.

Pour rappel : "Respect et politesse. Insultes, invectives, injures, harcèlement, dénigrement et propos de nature diffamatoire, envers tout contributeur comme envers Mediapart et sa rédaction, n'ont pas leur place sur Mediapart. Sera considéré comme du dénigrement toute contribution ayant pour objet d'attaquer la réputation d'un participant, de médire sur son compte, d'en parler avec malveillance, et de manière répétitive."

Cordialement,

L'équipe de Mediapart "

J'ai donc été sur le fil de commentaires où j'ai constaté cette dépublication.

Pour revenir à mon commentaire, je pensais et je pense toujours que le nom commun ou l'adjectif  "con" est entré dans le langage courant, et qu'il n'est donc ni une insulte, encore moins une invective.

A ce sujet, je constate depuis déjà assez  longtemps que sont publiés et non dépubliés dans divers fils de commentaires des propos d'une vulgarité équivalente à celles des réseaux sociaux dans leur version poubelle de la pensée.

Mais je veux bien faire plaisir à la rédaction de Mediapart...

Je reformule donc mon commentaire pour ce membre de phrase : "... : pour une énième fois, preuve est faite que l'on peut être simultanément un relatif érudit et l'illustration parfaite des deux premiers vers du refrain de la chanson de Georges Brassens, " Le temps ne fait rien à l'affaire" :

"...Le temps ne fait rien à l'affaire
Quand on est con, on est con..."

Pour en  revenir à l'article d'Antoine Perraud, il est tellement rempli de contre-sens sur les textes de Georges Brassens et d'inanités en guise de commentaires que je me demande si ce journaliste n'est pas atteint en l'occurrence d'une sorte de psittacisme, sinon pour ses commentaires, à coup sûr pour sa lecture.

Georges Brassens peut continuer à dormir tranquille à Sète.

Ses chansons seront écoutées et réécoutées par des millions de gens bien après que l'illustrissime journaliste qu'est Antoine Perraud aura totalement disparu des mémoires.

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