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Billet de blog 24 septembre 2014

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L'EAU SALE épicée

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

PRISON POUR LA GENERALE DES EAUX ET L'AFNOR

LE PAVE DANS LA MARE D'EAU A FRIC POUR LA GENERALE DES GERANTS

LES COPAINS DE LA JUSTICE

LE REGLEMENT  DU SERVICE DE L’EAU OUTRE-MER

Le règlement du service désigne le document établi par la communauté de communes, adopté en délibération du 14 décembre 2012, et définit les obligations mutuelles du distributeur d’eau, la Générale Des Eaux, et l’abonné. Ce document a été signé le  30 décembre 2010, respectivement par M. J.B/ collectivité, et M. G.M/ M comme Mercier nom de l’ancien ministre de la  justice,  pour la Générale. La sous- préfecture appose son sceau le 31 décembre 2010. . La facture d’eau aussi, a été libérée. Cette brillante collectivité, cap excellence, en charge du service de l’eau, reprend donc, on présume selon un texte, les compétences, droits et devoirs du syndicat intercommunal antérieurement chargé de cette mission, mais non dissous, voire non dégraissé,   double emploi, coup d’état ? Ce syndicat est toujours en exploitation sous le soleil,  et dans l’eau coupée quotidiennement par le système des plaques tournantes, à chacun son tour. Mais, c’est toujours des factures déconnectées et exagérées, l’exploitation de l’homme par l’homme se poursuit donc. Le tableau ci-après retrace le délire sur quelques points  d’un  triumvirat complètement égaré, et des observations  relevées ici et là. Le règlement de l’eau, partout en France, est un document simple, de bons sens et de raison, et pour l’ensemble des concurrents, se ressemble. Mais détourné, dénaturé, pour gagner plus.

S’agissant de celui de Cap Excellence,  entouré d’eau de mer, il est dangereux. Les quelques points sur la  ponctualité locale, d’après compteur,  d’insuffisance du texte  eu égard  à l’absence d’égout eaux usées, et au fait que l’abonné n’est pas  chargé de la garde et de la  surveillance de la partie de branchement  située en domaine public, avant ou après compteur, sont de nature à créer à terme des troubles  à l’ordre public.

Revue en folie

1-2 Les engagements du distributeur d’eau

Une proposition de rendez-vous  dans un délai de deux (2) jours ouvrés en réponse à une demande pour un motif sérieux, avec respect de l’horaire du rendez-vous dans une plage de deux (2) heures.

RV pris le vendredi 2 décembre,  pour le mardi  13, à 10h. Soit 11 jours d’attente, pour un RV sur une affaire sérieuse. Le responsable avait oublié, et  était en train de prendre la fuite. Finalement, le retour de l’eau coupée, était programmé sous 4 jours maxi.  Faux, mensonge aggravé.

3 points noirs de fuite d’eau en grande masse sur la voie publique, suite à une rupture de canalisation, signalés en urgence. Intervention, plusieurs jours après.

2-2 La résiliation du contrat

Le distributeur d’eau peut résilier votre contrat :

Si vous n’avez pas réglé votre facture  dans les six (6) mois qui suivent la fermeture de votre alimentation en eau

Après 36 mois de coupure d’eau, aucune résiliation de contrat, ni poursuites ne sont intervenues, mais sur cette période, avalanche de factures abondées comportant abonnement et rejet des eaux usées, sans eaux entrantes.

2-5 Les modalités et délais de paiement :

En cas de trop perçu, la somme vous est remboursée par virement bancaire, ou est portée au crédit de votre compte client, sous forme d’avoir.

En cas de consommation anormalement élevée, suite à une fuite non apparente après compteur, vous pouvez demander un dégrèvement partiel sous réserve :

De produire une facture de réparation de la fuite

284m3  et 243m3, conso anormalement élevées par semestre. Les travaux de réparation de la fuite ont été exécutés en dérivation, par la GDE, elle-même, clandestinement. Il n’existe ni rapport d’incident, ni facture des travaux, Il faut donc nécessairement penser à  une double comptabilité, avec une entreprise en travail dissimulé.

GDE devrait elle-même produire la facture, 8.000€ ? La justice  ne lui  demandera pas. Le client est lésé, ne pouvant prétendre à une demande de dégrèvement pour des travaux exécutés sur voie publique par la Générale. 527m3, c’est le volume exact du local concerné. OUF !Enfin, une entreprise qui rembourse des fuites invisibles, très drôle, le christ est ressuscité. 

2-6 En cas de  non- paiement :

Le distributeur d’eau poursuit le règlement des factures, par toutes voies de droit.

Rappel de factures impayées, augmentées à chaque fois, et toujours pas  le moindre acte contentieux après 36mois. La justice ne pourrait les aider sur ce coup, si la Générale devait ester  en justice, et elle s’écroulerait. LEURS VOIES DE DROIT  NE SONT QUE  LE RACKET PROTEGE.

4-4 L’entretien :

L’entretien à la charge du distributeur ne comprend pas :

La démolition et la reconstruction de maçonneries

Les frais de modification du branchement

L’abonné est chargé de la garde et de la  surveillance de la partie de branchement  située en domaine privé.

La GDE a pris à sa charge, des frais de modification pour un nouveau tracé de branchement sujet à une fuite. Egalement, la démolition et la reconstruction des maçonneries, et du béton ? mais veut faire payer, alors que la dérivation annihile la fuite. Petits racketteurs.

Quand la totalité du branchement est située en domaine public. Il n’existe donc pas de branchement en domaine privé.    Mais des installations privées, tuyauteries, robinetteries  etc… à l’intérieur de l’habitat.

5-2 Le compteur - l’installation

Le compteur est généralement placé en propriété privée,  en limite de propriété, aussi près que possible du domaine public.

Placé en propriété privée, à l’évidence la consommation de fuite après compteur appartient bien à l’abonné. Dans le cas, où il est placé sur la voie publique. La fuite après compteur doit être localisée  voie publique, ou rue privée. Dans tous les cas, on force le client à payer.

En France, VEOLIA  prend l’eau,  et licencie,  les distributeurs locaux, eux, nagent dans la satisfaction  permanente, alors que des usagers sont fournis en eau, sans être assujettis au paiement, certains, compensations, en pleine forêt  paient le rejet et le traitement des Eu, alors qu'aucun branchement à cet égout n'existe. Enfin d’autres paient  l’eau  de canalisations cassées, anciennes et vétustes, placées sous  voies publiques. « les superpositions, les enchevêtrements, les confusions les errements, et les rackets,  le prix de l’eau est donc forcément onéreux,  et le bénéfice intéressant »

Après l’eau et l’assainissement, il est encore possible de monter une communauté d’ordures.

L’AFNOR  en soutenant  une telle entreprise pour l’attribution d’un quelconque agrément à la Générale Des Eaux (GDE) engage sa responsabilité et son sérieux.

AFAQ ISO 9001,LA certification qualité  

La vérité et la justice sont souveraines, car elles seules assurent la grandeur des nations (ZOLA). Attendons.

BRANCHEMENT D’AMENEE D’EAU POTABLE

Eléments de riposte

Le branchement amène l'eau du réseau de distribution publique jusqu'aux installations intérieures de l'abonné à la limite de la propriété, Il est installé et entretenu par la GDE.

L'installation intérieure de l'abonné commence au robinet de sûreté après compteur, ce robinet compris. Le robinet de sûreté est installé, entretenu, réparé et remplacé par la GDE,  aux frais de l'abonné.

COMPTEURS

La consommation est enregistrée au moyen d'un compteur qui est placé en limite de la propriété et dans des conditions permettant un accès facile et permanent aux agents de la GDE :

Le compteur - l’installation

Le compteur est généralement placé en propriété privée, aussi près que possible du domaine public.

L'abonné doit prendre, à ses risques et périls, toutes les précautions utiles pour garantir son compteur contre  les chocs, le vandalisme,  et les accidents divers, et certainement,  « servir de pare chocs aux véhicules circulant dessus ».

Le compteur étant placé en limite de propriété, comme dans les exemples, ci-après,  relatifs au modèle VEOLIA d’une part, et à 2 murs privés de logements riverains  de proximité,  d’autre part, en l’état tel quel. A l’évidence, pour toute personne d’honnêteté, même d’appréciation moyenne,  la fuite après compteur appartient au propriétaire privé.

ESCROQUERIES EN BANDE ORGANISEE: des contrats de l'eau trop favorables à LA GENERALE DES EAUX   La chambre régionale des comptes a relevé de nombreuses irrégularités dans les contrats de l'eau et de l'assainissement de la communauté urbaine de Marseille, épinglant au passage une adjointe UMP au maire pour ses relations indirectes avec Veolia.(relevée dans média part) Voilà ce qui se passe à Marseille. Impensable dans les Antilles Françaises, l’outre-mer, la Guadeloupe. Jamais le préfet en Guadeloupe,  ne pourrait saisir la CRC,  car  il donne carte blanche à la Générale des eaux, filiale de VEOLIA, et signe à l’avance le document blanc et vide présenté par la Générale portant sur le règlement de l’eau. L’indigène n’est pas le maître. Là,  Une affaire parue dans un journal français a de fortes chances de faire l’objet d’une information judiciaire ouverte par le parquet. Ici, il n’existe  pas d’infractions,  de crimes et délits. Pas de marchés truqués, de favoritisme, prise illégale d’intérêts, trafic d’influence, etc…la dépénalisation du droit des affaires, est d’une actualité banale. juste quelques coups de fusil entre des amis pas trop instruits, dans l’apprentissage de l’école, et des  règlements de compte…Et l’affaire s’arrête là, car, la justice ne sera pas touchée, et ne cherchera pas à régler les conflits, surtout avec les gros poissons, et les dossiers restent pendants devant la cour. D’ailleurs la Générale Des Eaux, n’a que des amis, des complices et des collaborateurs.

Saisie par le préfet des Bouches-du-Rhône, la chambre régionale des comptes Paca s’est penchée sur les contrats de l’eau et de l’assainissement de la communauté urbaine de Marseille, remportés en novembre 2013 par des filiales de Veolia et de Suez. Cela représente quatre délégations de service public (DSP) à 3,2 milliards d’euros sur quinze ans. Ici, et encore ici,  si la CRC, se penche sur les contrats, elle se noie et dès le départ.

Ce genre de contrôle a posteriori est très inhabituel (sur l’ensemble de la France seuls quatre avis par an sont prononcés suite à des saisines de préfet), mais n’a rien de superflu. Une élue un peu trop proche d’une des entreprises candidates, des erreurs de calcul systématiquement au profit des multinationales, des taux de marge très confortables sans « risques réels d’exploitation », des frais de siège trop importants, des délégations d’une« durée excessive », des pénalités ridicules en cas de non-respect des contrats, des élus mal informés et servant de chambre d’enregistrement : les quatre avis de la CRC, rendus publics le 28 avril 2014, sont sanglants. Ils montrent une collectivité bien peu soucieuse de l'intérêt et des deniers de ses habitants. Cette dernière ligne n’est quand même pas une nouveauté. Dès que l’eau coule chez eux, et que l’argent aussi coule à flots.

La différence d'avec la Guadeloupe, doit être mince, emplois fictifs en sus.

LE SERVICE DE L’EAU

Adopté par délibération du 14 décembre 2012, et Approuvé en taille d’écriture à minima, le 30 décembre 2010, par GDE,  Collectivité et Sous-Préfecture. 

LES DISTRIBUTEURS D’EAU

La distribution de l’eau  en Guadeloupe, est assurée par une douzaine d’entités : communauté d’agglomération, communauté  de communes, syndicats intercommunaux, communes. Et les économies ?

ROLE SIAEAG : 28 membres et  L’ancien SIEPA. Il fixe le prix du M3, et une partie revient à la GDE, prestataire de services.

« La décision de fermeture pour impayées  incombe au SIAEAG. Egalement, poursuit le chef, aller chercher  les meilleurs coûts pour les meilleures prestations, avec un  meilleur financement,  avec un maximum de subventions  pour réaliser des stations d’épuration avec les meilleurs cons».

A bas prix, avec l’argent de l’Europe,  sachant que le montant initial de grands travaux pèse  au final, en Guadeloupe, 2 à 3 fois plus chers qu’en France. Le service comprend  une moitié de cadres A, ce qui explique qu’il  vend du rêve dans ses locaux luxueux et spacieux.

ENFIN : Les communes sont également un peu  responsables de la distribution. UN PEU.

ROLE CAP EXCELLENCE : 20membres, 2communes  gestion eau et assainissement,  en lutte pour  2autres communes proches, à plus fortes finances et populations, qui ne sont pas intéressées

Le règlement du service désigne le document établi par la collectivité et adopté par délibération du 14 décembre 2012.Document signé à P-A-P le 30 décembre 2010 (GDE-Collectivité-S/Pref.). Base 2 et 0 inversée.

La collectivité désigne  la communauté d’agglomération CAP EXCELLENCE,  en charge du service de l’eau. Il a absorbé dès sa création, l’ancien SIEPA : Syndicat intercommunal des eaux, membre du SIAEAG et établissement de coopération intercommunal  chargé de la gestion de l’eau et de l’assainissement,    mais on ne sait si des  communes du  SIAEAG  aux  rôles identiques à Cap ex , ci-dessus, sont  fictives, supprimées ou confuses.

ROLE GDE : Générale Des Eaux: 20communes, gestion eau et assainissement, 380 employés, ne tenant pas toute seule, pour ne pas s’écrouler, assistée d’employés en France et en Martinique, pour la facturation, l’adressage, et l’encaissement.

1) Distributeur d’eau, à qui la collectivité CAP EXCELLENCE  a confié selon la bonne application du code des marchés publics locaux, évidemment reconductible à perpét avec la concurrence partagée, l’approvisionnement en eau potable des abonnés desservis et annexes.

Délégation de service public eau et assainissement

A partir du  1er janvier 2011, la Communauté d’Agglomération CAP Excellence a délégué par gérance, à la Générale des Eaux Guadeloupe :

    • La gestion du Service Public d’Eau potable ;

    • La gestion du Service Public d’Assainissement Collectif des Eaux Usées.

Ces contrats de délégation de service public ont une durée de 9 ans.

Ainsi, Générale des Eaux, agit sur le terrain au nom de Cap Excellence et est entre autre responsable de :

  • Du recouvrement des factures sur la base du prix de l’eau fixé par le Conseil Communautaire de Cap Excellence

2) Prestataire de services du SIAEAG pour la distribution de l’eau potable des abonnés desservis, après des appels à candidature. C’est sérieux !Spécialisé dans le coup permanent de coupure d'eau journalière et tournante.

Observations sommaires :

Après un contrat d’abonnement, à l’origine,  passé avec le SIAEAG, le client  se retrouve, sans contrat, sous les coups de Cap Excellence, remplaçant le SIAEAG. Comment ça marche ? Mais l’information minimale demeure très confidentielle.

Locaux, spacieux et luxueux, partenariat public-privé en flotte de véhicules pléthorique en circulation publicitaire double logo, d’un établissement public de coopération intercommunale pour une boite privée. Enfin,  le SIEPA  est capturé par le cap d’excellence, dès sa création,  et son homonyme est conforté   dans le SIAEAG pour des interventions similaires. Belle finesse. Une jambe  dans chaque camp. S’il s’agit de préserver les emplois et d’arrondir les fins de mois, sans privilégier un système de promotion à l’amitié clientéliste et de favoritisme ? C’est solidaire, mettre le cap sur les 2 communes les plus riches  en argent, et en populations, c’est  solidaire,   évidemment entre riches, on ne partage pas avec les moins bien loties, et éviter sans doute un système de clan, et de bandes, c’est solidaire. L’une des deux est de l’autre côté du pont, la débaucher et la corrompre avec la collaboration de la justice, toujours dans les bons coups,  c’est pour  un intérêt général et solidaire. Le Cap, il comprend les deux,  devrait déjà  partager de nouvelles lignes de frontières entre les deux bouts de  terres. C’est solidaire. Les dots sont inégales, et le contrat semble égocentrique.

 L’une est une petite terre de 2,7km2 pour 21000 habitants, de densité 7.700hts/km2,

 l’autre dispose  de vastes espaces sur 81km2, pour 63.000 habitants, de densité

770 hts/km2.   Partage équitable de fraternité, toujours envisagé, toujours reporté pour demain  ne meurt  jamais.Et chacun conserve ses terres dans son égo. Pour donner, il faut courage et générosité, il faut avoir la paire.

ROLE DE ROUTES DE GUADELOUPE : Spécialistes des routes comme dans tout département qui respecte sa DDE,  est  aussi en cas de grosse fuite sur route nationale, en l’absence des services compétents,  défaillants et injoignables, soudeur de canalisation haute pression pour l’alimentation  de l’usine de traitement de Cap Excellence.    F/A:RN1- chantier routier : casse d’une canalisation d’eau ϕ 50 cm sous pression,   →  usine Cap Excellence : Les équipes de Routes de Guadeloupe, ont effectué une soudure sur le tuyau qui n’a pas tenu la pression. Sciage, raccord remplacement…boum. La section du tuyau  n’était pas compatible, avec la conduite. Il a fallu  en récupérer une autre. explique Routes de Guadeloupe. Mis en cause GDE, Cap d’excellence. Les routiers sont sympas,

Alors que le nombre des communautés est resté stable, celles-ci acceptent  volontiers l’augmentation des indemnités,  le cumul, l’augmentation des effectifs,  l’augmentation du personnel des communes. Exactement le but recherché.

S’il s’agit de se regrouper, l’unité fait la force,  c’est donc puissant,  solidaire, pour simplifier et rendre plus efficiente la communauté,  mais c’est surtout plus malin ! Toutes ces  attributions qui s’apparentent à du clientélisme destiné à une fidélisation de l’électorat et d’intérêts politiques.

Avec le nouveau règlement, de CAP EXCELLENCE  signé en 2012, adopté en 2010, le présent à reculons, devenant distributeur d’eau,  en voitures mixtes, partenariat public-privé, Cap /GDE,  le SIAEAG  officiant pareil,    on ne sait lequel de l’un est dans l’autre ?  ET  POUR QUEL ROLE ?  X qui propose Y pour président ?  et  Y qui propose X pour vice-président, elle est belle la vie. Règlement,   du   service, abonnement,  prix, résiliation,  fonctionnement des véhicules …

VEOLIA  en cession d’actifs, et de provisions, pour désendetter  le groupe,  licencie. Le modèle est ici. Envoi de facture estimée sur deux semestres, interdit,  le refus de recouvrement pour certains clients aisés,  l’encaissement sans service fait, et compensations : tarifs élevés, travail malsain et dissimulé, chantage et racket. La GDE voulait partir, en chantage, dommage,  par charité chrétienne, elle est restée, merci bon dieu. C’est une manie, Total aussi.  Encore Dommage,  le Venezuela, c’est bien moins onéreux. Seuls les élus ne veulent quitter. Sacrés  câlins.

Le Cap, le SIAEAG de mendicité et d’assistanat développe, sans tenir debout tout seul, et ne s’écroule pas. L’erreur est nécessairement d’argent.  En outre,  l’abondance du travail et le système obligent encore à se faire assister de l’extérieur, pour l’envoi,  l’encaissement des factures, et plus.

 La commission de Bruxelles a enquêté sur l’eau en France – entente –marge exorbitante,

Des actionnaires américains en nom collectif, ont déposé contre le groupe de services VEOLIA, selon la procédure « class action »

En outre-mer, l’eau de la GDE est une bonne chose !

 ESCROQUERIES ET INTERETS

l’ISO 9001(satisfaction, qualité – sécurité)

AFAQ ISO 9001,

Une démarche qualité est un facteur de différenciation, d’amélioration des pratiques et

de  la satisfaction des clients d’une organisation. Essentielle, la certificat

LA certification qualité AFAQ selon la norme internationale ISO 9001 met en valeur les performances d’une organisation et la qualité  de ses produits et/ou services.

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Services aux Consommateurs

Le CLIENT au cœur de nos métiers!!

 La Générale des Eaux Guadeloupe s'est résolument engagée dans le cadre de son système de management de la qualité certifié ISO 9001 par l'Association Française d'Assurance Qualité (AFAQ) en juin 2002, certificat renouvelé en novembre 2009, à améliorer la qualité des services proposés à ses clients.

Cet engagement se traduit par :

  • un niveau élevé d'exigence de qualité et de service, mesuré par des indicateurs reportés dans un tableau de bord qualité analysé en revue de Direction;le choix d'une organisation décentralisée guidé par la volonté d'améliorer l'accessibilité au service et le maintien de la proximité avec ses clients ;

  • la simplification des démarches ;

  • La mise en place d'une convention Solidarité Eau dans le cadre du Fonds de Solidarité Logement avec le Conseil Général permettant aux personnes les plus défavorisées de conserver l'accès au service;

  • La mise en place d'une véritable politique de développement de la culture de service au client pour l'ensemble de son personnel ;

  • Tous les ans, une enquête de satisfaction sur la perception du service rendu auprès de nos clients, les résultats de cette enquête nous permettant d'affiner notre politique qualité;

  • Une étude d'image tous les 2 ans, nous indiquant la perception de l'Entreprise par le client.

     

Situation d’un riverain

La GDE, maître monopole, depuis 1963, fait la pluie et le beau temps , et a pensé que les trois glorieuses était de type CFA : pas de réparation, restauration, réhabilitation. Que du neuf, rentable et juteux.

La situation est renversée, ça casse de partout, tous les jours, avec des services à minima en plaques tournantes. Les conduites principales pètent, les réseaux secondaires et annexes, aussi. Malin comme le renard, la GDE, fait payer les plus vulnérables, dans le silence assourdissant des politiques et de juges, et pressurisant tout un quartier de personnes âgées, avec des factures trimestrielles, de l'ordre de 500€, 1000€, voire plus.L'eau locale, vache à lait.

 Dans le cas qui nous intéresse,  une fuite d'eau sur la voie publique, reconnue par la GDE, qui admet sa responsabilité, et assume ses dépenses, en faisant les travaux de dérivation, permettant d'éradiquer la fuite. Logique, Bon sens, plus de fuite. Mais la GDE veut absolument faire payer la consommation au riverain. 527 m3 d'eau pour 1400€, au lieu d'une consommation normale, reconnue et admise dans le temps, de 40m3 pour 140€

REFUSEE

Coupure d'eau en harcèlements menaces et intimidations, ayant fait l'objet d'une plainte près de la P.N.La GDE dominatrice, violente et dominatrice, assurée de ses protections occultes et judiciaires.

Une cinquième coupure est programmée pour fin septembre.Refus. Et certains pensent que tous ensemble, l'on pourra éradiquer le fusil ? FAUT PAS REVER !

Dans ce cas, on peut dire que la Guadeloupe est le plus vaste champs expérimental de développement du banditisme. Tous responsables et coupables, y compris la justice Française, mais sans christo-renn.

les photos apportent une réponse : on voit d’après ces photos, que le compteur est placé dans la rue, à proximité du caniveau, objet d’agressions lourdes, eu égard à la présence de deux zones de dépôts proches.

SITUATION   AVEC FUITE   D’EAU

1°) Le branchement  part du compteur public situé dans la rue,  au robinet de sûreté après compteur permettant l’arrêt total de la distribution d’eau à l’intérieur. Il est situé à l’intérieur, point de départ  de l’installation privée. Il y a 2  robinets d’arrêt. Le plus récent a été enlevé et emporté par la GDE certainement par nonchalance. Ces 2 robinets en fermeture, l’eau ne rentrant pas dans le local,  le compteur continuait de tourner, et comptabilisait une consommation.

SITUATION SANS FUITE   D’EAU

2°) Le nouveau tracé du branchement suite à une dérivation- contournement, réalisé par l’entreprise, la Générale Des Eaux, à son nom et pour son compte,  à ses propres  frais, montre que l’aiguille du compteur ne tourne plus, elle demeure fixe, que ces 2 robinets soient fermés, ou ouverts. L’eau ne s’écoule plus,  il n’y a donc plus de fuite d’eau. Cette  fuite était donc bien à l’extérieur, sur domaine public.

3°)Toute fois, le raccordement fait en dépit du bon sens et des règles de l’art, est un appel à la provocation, et à une répétition de l’histoire. Il importe de respecter la réglementation en vigueur, et d’apposer le compteur contre le mur de propriété, en évitant d’inciter au drame. Un jeune américain a pissé cette semaine dans un réservoir d’eau, plusieurs millions de m3 d’eau ont donc été éliminés.

Les photos de la conduite d’alimentation en eau potable, montrent une conduite souple, sale,  suspendue dans le vide, petit coin de la pisse de l’autre sur le tuyau.  Ne pas sanctionner ces sortes de travaux interdits, relève de l’escroquerie,  et leur accorder un agrément, de l’indicible. (photo).Une telle réalisation n’aurait jamais été  exécutée pour le compte d’un magistrat. Il importe de ne pas cracher sur l’avenir.

Il est clair et net qu’en cas de fuite d’eau en ce point de raccordement(RUE), le liquide se déversera  sur la voie publique, sans pénétrer à l’intérieur de l’habitat. Pourtant ce point et ce conduit avec leur fuite, sont après compteur. Le riverain n’est pas concerné. Et à force de tirer, la Générale joue dangereux.

SITUATION   SANS FUITE   D’EAU

A OBTENIR

Compteur en limite de propriété

Au vu des présentes photos, les compteurs  étant posés  sur le mur nu de propriété, la fuite après compteur relève de la responsabilité du riverain. Les choses sont claires. Pas de conflit en vue.


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La Générale des Eaux Guadeloupe s'est résolument engagée dans le cadre de son système de management de la qualité certifié ISO 9001 par l'Association Française d'Assurance Qualité (AFAQ) en juin 2002, certificat renouvelé en novembre 2009,  à améliorer la qualité des services proposés à ses clients. Ce certificat  sera renouvelé à vie, on s’en doute.  La générale est puissante  et dominatrice, sûre  de ses amitiés politiques et judiciaires.  En cas de changement, elle sera toujours présente, car disposant de plus de liquide et arrosant mieux.

L’AFNOR, association de normalisation, fait très  fort,  en accordant un quelconque agrément à la Générale. Travail au noir, dissimulé en travail clandestin, faux dossiers,  factures éculées,  travaux de sous-amateurs, menteurs  professionnels. Voir les travaux réalisés, pour le raccordement en alimentation d’eau potable d’un habitat privé,  résume bien le savoir-faire de l’entreprise, et sa haute technicité. Un compteur servant de point d’appui aux véhicules garés, un fil qui pendouille appelant la coupe à la machette, et la place libre d’un compteur adapté, un règlement insincère, une caisse de paiement pour 100 personnes, en attente sur plusieurs  jours, etc…pour tenir, elle fraude. Elle bénéficie donc de connivences fortes et de  certificat de complaisance. Robots racketteurs infatigables.

LA PUISSANCE DE VEOLIA - GDE


Trois faux vice-présidents de Veolia en vadrouille en Russie

L'ex-premier ministre Dominique de Villepin, l'ex-secrétaire général de l'Élysée Claude Guéant et l'intermédiaire Alexandre Djouhri,  participent à un grand colloque, à Saint-Pétersbourg, sous une fausse qualité : celle de vice-présidents du groupe Veolia. Ce qui en dit long sur la longueur du bras de sa filiale : la générale des eaux Guadeloupe. Avocats, hommes  d’argent, d’affaires, passés  en indélicatesse avec la justice, protecteurs et parrains de la Générale,  elle est donc sûre d’elle et dominatrice, avec une surpuissance camouflée et méchante. Elle est hors la loi. Les lois n’étant pas appliquées  par ici,  le racket et le vol ne l’empêchent de dormir, tout comme le doux sommeil peinard des magistrats. Au début de mai, une manifestation anti-voleurs, dans la cité, juste devant le marché. Les prix sont trop élevés ? Non ? Les marges abondantes ? Non  alors ?  Plus bêtement, défilé anti-générale des eaux regroupant des personnes de toutes couleurs, n’ayant pas dans le cœur, de l’amour pour la Générale,   conduit par un syndicat soulevant les galipettes,  les dysfonctionnements,   LES  ABUS DE CONFIANCE ET LES VOLS EN TOUT GENRE, avec force pancartes et banderoles ?  Et le  drapeau gros rouge qui tache,  mais propre. Bof Tant que les indigènes acceptent. La vie coule douce.

La Générale des eaux, passée maître dans l’art du chantage  a décidé de quitter  le pays. Suspense, intenable,  elle est prête à partir, tous ses noirs qui veulent de l’eau pour toutes sortes de besoins,  et pour se laver, et certains qui refusent de payer le racketteur. Plus d’eau, misère, obligé de boire que du rhum,  de  se nettoyer avec, et de donner du rhum à son homme,  pour voir de quel outil il jouera.

  L’aval de la direction parisienne était indispensable. Son accord imprévisible a sauvé la population de l’alcoolisme, mais pas du champagne. OUF ! Finalement, elle reste. On a bien vu  aussi  à la Télé Française vers 2heures du matin, qu’elle restait aussi en Afric. C’est d’une vérité d’information, à cette heure de grande écoute, empreinte de rigueur et de forte déontologie. Aucun élu ne lui a demandé de faire ses valises et go home.

Et comme disait le proc de la République, 95% des Antillais sont gentils.

Les élus, quant à eux, ils sont bons et sucrés. Mais entre nous, on la voyait mal se casser. Sur un bout de terrain, où l’argent coule à flots, les assemblages de gens, roulent en 4*4 et lapent du champagne, soutenus, assistés, même dans le travail informel, munis de filets de protection, de fabrication Française, payant n’importe quoi à  la Générale, elle est quand même belle la vie ! En outre, pas de contrôle, ni technique, agrément technique AFNOR gagné, ni juridique, la magistrature à plus sérieux à casser,  les avantages à tirer  sont  supérieurs,  donc elle est toujours là. Et dire que  Certains avaient déjà  commencé à stocker des cartons d’alcools pour les prochaines vacances des fêtes de pentecôte, et des congés répétés. Mais par contre, on voit mal le producteur d’eau, rester en compagnie de M. Guéant,  à la  santé fragilisée, à tort ou à raison, trop de casseroles à remplir. Les élus sont des veinards, spécialistes des problèmes d’eau, et des vases communicants.    

La Générale Des Eaux, est un gros poisson qui sait nager dans toutes les eaux, de quelque qualité que ce soit, et se faire du fric. 

Ah les mages, en France, les trois rois, gratifiés d’oseilles, d’eau bue et d’eau claire.    Le client  est donc au cœur de l’entreprise.

L’humeur des consommateurs  dans les médias, et les locaux de la GDE, compte tenu des coupures d’eau fréquentes et répétées, et des factures d’eau de200€, 500€, 1000€  sur des salaires sociaux  place  certainement le client au centre de la qualité et des préoccupations de l’entreprise. La Guadeloupe n’est ni l’Amérique, ni la France, car immolation et fusillade,  après l’Amérique et l’Europe ne sont pas encore  arrivées.

En décembre 2008, le service annonce que  « Le prix de l’eau ne fera qu’augmenter» Normal.  VEOLIA et GDE, c’est à la poursuite de l’argent. De nombreux élus engagent un bras de fer avec les marchands d’eau, soit pour récupérer la gestion, soit pour renégocier la concession.

D’autres préfèrent se laisser câliner par ces marchands, toujours prêts à rendre service. Moscovici, Valls, Fabius, Fourneyron, etc… ont rendu la gestion de l’eau à la puissance publique, dans leurs villes respectives. Grenoble, Paris, Toulouse, Lille, Villeneuve-sur-Lot (Cahuzac), Tulle (moi, Président), Bordeaux (Juppé), envisagent un retour en régie  de leur eau publique. Selon plusieurs études, le prix moyen de l’eau publique est inférieur de 10 à 20% à celui de l’eau privatisée.

Les CRC ne sont pas loin de penser que les tarifs surévalués pratiqués par les marchands d’eau, incluent souvent le remboursement de frais indus, et des provisions pour travaux à venir.

Le conseil d’Etat autorise les départements  à subventionner les villes gérant elles-mêmes  leur eau. Sous la pression, des prix ont baissé par endroits, de 25, 30, et 40%. De tels allègements conduisent à penser que les usagers se sont fait avoir pendant longtemps. Mais, c’est en France, et la France, c’est loin. « Et en Guadeloupe, Le prix de l’eau ne fera qu’augmenter».

 VEOLIA et GDE, c’est à la poursuite de l’argent noir. VEOLIA aime l’argent, même le cumul électrique, et toujours, selon F/A : Un nouveau type de contrat a été mis en place après des appels à candidature. Le lauréat est…..la GDE. Naturellement. En Guadeloupe, le département, c’est le SIAEAG, c’est la communauté, c’est la GDE, c’est nous-mêmes, nous-mêmes.

Des travaux GDE de proximité, compris dans un marché public, pour l’enlèvement, le transport et la mise en décharge de gravats  sortis de travaux de terrassement, ont été payés trois fois. Par le maître d’ouvrage, le riverain, et la commune, plusieurs mois après la fin de ces travaux.

Plus grave, M. le procureur de la République  assurément, n’est pas informé de  faits délictueux, qui n’avaient pas attiré l’attention auparavant, à savoir,  que la GDE fait payer par abus de faiblesse technique, à des abonnés non avertis, des  frais inexistants. En effet, la facture GDE comprend une ligne « Collecte et traitement des eaux usées » pour des abonnés disposant d’installations privées dotées de fosses septiques. C’est-A-Dire, qu’ils ne rejettent pas d’eaux usées dans la canalisation publique,  à  traiter en station d’épuration publique. Ils payent eux-mêmes, à une entreprise privée, la vidange et le nettoyage de leurs équipements.

Pourtant, la GDE leur fait obligation de s’acquitter de ce service non fait.

Par ailleurs,  la GDE, sur les terres de la danseuse de la France, de la valseuse aussi,  charge l’abonné  de la garde et de la  surveillance de la partie de branchement après compteur,  située en domaine public.

Ces faits relèvent de la correctionnelle.

Près de 500 agents traitent l’eau dans le secteur de la GDE, qui voit dans le pays, le 20ème consommateur de France, sans se rendre compte des grosses fuites d’eau quotidiennes des services tournants de la fourniture d'eau, et du lavage éculé des grosses cylindrées.

Selon la Région, « les eaux fuyardes », ne se rattrapent  jamais, donc elle rajoute de l’argent dans l’eau. Le prix de l’eau est donc nécessairement cher.

Le client est bien au cœur de l’entreprise,  et il est avantageux  de ne pas regarder, enquêtes de satisfaction et  étude d’image  sur la perception du service par le client , le débat  TV,  Radio  en parle à coup de mauvais sang, de  coups de gueule violents et  répétés,  de prix  assassins 200€ ; 300€ ;     500€, 1000€ pour un semestre.

Quant au service, il est toujours en poudre d’escampette, et sa parole donnée est aussi celle du fourbe, et du tricheur viscéral.

 Le journal F/A informe

Ne sont impliqués que la GDE et ses deux comparses :

FA2012 : La pénurie d’eau qui touche le Nord Grande-Terre, fait couler beaucoup d’encre : communiqués, débats publics, lettre ouverte…les parties s’affrontent : usagers, élus, le bras de fer continue. Mis en cause GDE,  SIAEAG (qui fuit la réunion)

Le maire : des gens manquent d’eau durant un mois. Ce n’est plus supportable

Google-F/A: coupure d’eau à Sainte-Anne et au Moule,

Google-F/A: coupure d’eau à Sainte-Anne et Baie-Mahault,

Google-F/A: coupures d’eau à Sainte-Anne Petit-Bourg, Baie-Mahault et au Moule,

Incriminé dans la construction d’un château d’eau, un plongeur  est venu presque avec un sous-marin expertiser et sonder la cuve, plus on remplissait, plus l’eau se vidait. Il n’a rien trouvé d’anormal, aucune fissure, aucun trou, à part   des matériaux poreux,  à bas prix, pour un coût de 700.000€.

La GDE, joue un jeu dangereux, car à l’évidence, soutenue  par une justice qui se fiche éperdument de la justice mais prompte à jouer le maître blanc, nul n’est censé ignorer la loi, et ne peut faire justice lui-même. Le procureur de la République, était tellement , que la direction des affaires criminelles, l’a débarqué, direction la France. Ce procureur docteur es racisme, a tout tenté pour expédier un indigène en prison à perpétuité, oubliant d’enquêter le plus simplement du monde, avec objectivité et impartialité. La cour d’appel de Paris a relaxé l'accusé noir, une seconde fois.

Demain, ce procureur sera utilisé par la GDE, en tant que de besoin.

Techniquement, la Générale des eaux est mauvaise, financièrement elle abuse de personnes vulnérables, humainement, ce sont des escrocs et des racketteurs. Et si certains ne sont pas en prisons, c’est qu’ils sont blancs,  élus de complaisance, voir indicateurs, et que par ailleurs, la justice a jeté les clefs à la rivière.

Tout peut arriver, la France et sa justice de classe et sa conscience de race, seront entièrement et pleinement responsables.

OBSERVATIONS MORALES

Dans les affaires d’alimentation en eau potable, et de rejet des eaux usées à l’égout, les fournisseurs  d’eau qui sont des puissants bénéficient de l’éventail  le plus large au sein des notables,  du monde représentatif, et de la magistrature, d’amitiés et de protections,  et obligent le client consommateur, à payer toute fuite après compteur.

Quand par exemple, la Générale Des Eaux, plaide coupable, reconnaît ses torts,  et répare des tuyaux cassés  en pleine rue, suite à une fuite d’eau après compteur , sur domaine public, en son propre nom, pour son compte, et à ses frais, et qu’elle le fait savoir publiquement, l’affaire n’est pas gagnée, et il convient de ne pas compter les œufs dans le cul de la poule.

Et voilà ce que dit le responsable qualité de l’entreprise dans un dossier de fuite après compteur :

« qu’il y a eu un cafouillage au sein de nos services, l’information n’a pas circulé entre les agents des réclamations et les techniciens.

(France-Antilles du )

Les affirmations de la GDE apparaissent  donc comme celles d’escrocs à la poursuite de  l’enrichissement sans cause, sans foi, ni loi.

L’accès à la justice reste interdit.Et la direction générale des affaires et des grâces peut bien faire semblant de condamner avec la complicité de la pus haute personnalité judiciaire du pays,

la justice locale.

L’ESTIMATION JURIDIQUE

Il n’y a pas lieu de poursuivre la personne accusée. Elle est  blanchie, puisque, elle est blanche.

La justice ayant beaucoup planché sur des  affaires relatives à l’eau, a trouvé que toute chose était claire, après avoir laissé du temps au temps, et que fuite avant compteur ou après compteur, devait être payée, par le consommateur. En effet, après enquête du procureur,  enquête fictive,  tranquillement assis dans son fauteuil, pieds sur le bureau, salle climatisée,  le proc insulte la justice, le droit, la profession et le bon sens. La plume de Dakar, et du noir sans histoire, est appelée  à comparaître devant la cour, pour outrage à magistrat, à différencier d’outrage  aux personnes par des magistrats.

Aucune enquête n’a été diligentée dans le respect du contradictoire, et aucune voie n’a été explorée. Le tribunal n’apparaît pas droit et courageux dont la justice peut être fière, autant que cela puisse exister, il pourrait appliquer la loi et ne pas laisser transparaître noir ou blanc, puissant ou miséreux. Dès lors, on peut s’interroger sur le sérieux de quelque enquête, le frein ou l’accélérateur par ailleurs. Il ne s’agirait pas du seul magistrat pas droit dans ses bottes. Il faut voir, Paris, Lyon, Toulouse, Mayotte, Basse-Terre, Marseille ?

Le magistrat peut-il faire la différence, avant, après compteur et limite de propriété, pas sûr !

Cette décision  de faire le triple singe, n’en est pas une. Il faut voir  une réponse petite, raciste, et mesquine, comme une faute morale, une absurdité intellectuelle, une étrangeté juridique fondée sur une dénaturation totale du réel concerné, et au fond une charge  anti-noirs.

Il s’agit donc de décourager les misérables d’ester en justice, à moins de passer par un avocat français ou un huissier,  ce qui fait lourd et dépensier pour une affaire simpliste,  permet le bon commerce triangulaire, et aux victimes d’injustices, de faire  courber l’échine et de payer d’énormes factures sans broncher, à l’accusé la GDE, laquelle plaide coupable dès le départ.

Toutes ses factures inlassablement présentées,  contraires à l’honnêteté, à la parole donnée, à la rigueur, à la technique,  montrent bien que Les propos de ce service GDE, ne sont que tromperie,  abus de confiance, malversations, et portent atteinte à l’autorité de la justice,  puisque bénéficiaire d’une protection de la magistrature avec  l’esprit d’impunité des intouchables. On ne peut parler de  dysfonctionnements positifs à rechutes, toujours avantageux pour soi.

Il est incompréhensible  qu’un accusé, la GDE, plaide  totalement  coupable,  dans une affaire, qui revêt un caractère simplet, et qu’il soit blanchi.Les motifs sont évidents, l’accusé ne peut être que blanc et puissant,  et d’ailleurs, la cour  pense que blanchir un noir, c’est risqué de perdre toute sa lessive

Affaires nulles et non avenues :Quand un gros, porte plainte, la police enquête tout de suite, le tribunal  ne peut estimer les dommages causés par la décision du procureur, lui, bien fourni en eau :  casse professionnelle, casse sociale, casse financière, ne pouvant recevoir du public.

                Régler un conflit qui se déroule bien pour l’instant et qui pour une affaire simple, perdure depuis plusieurs années, La magistrature n’a encore apportée  aucune  solution au conflit dont elle est saisie, et n’a nul besoin  de développer l’aide à la décision par des recours  à des experts indépendants, puisqu’il s’agit d’une simple affaire, et que la GDE qui peut se payer les conseils d’un avocat, obligatoire, est d’accord au plaider coupable américain, dont la peine ne pourrait être que le renvoi de l’eau. Le procureur est parti, expulsé, muté  quelque part, «  laxiste, petit pois,  s’est-il agit alors de récompenser les incompétences, ou plutôt, on s’en débarrasse ». Le tribunal n’ayant pas retenu  la comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, dans cette affaire, il en fait donc une affaire personnelle de haute protection.

Le magistrat n’était ni imbécile, mais, complice de l’obstruction à  la justice, à la manifestation de la vérité, et adepte du déni de justice, refusant de statuer sur les prétentions, épousant le déni de justice, façon de protéger les gros des rigueurs de la justice, en  l’occurrence,  entreprise puissante et menaçante,  entendu qu’il ne faut pas cracher sur l’avenir, ni pisser dans l’eau, volonté de protéger les personnes visées de toutes investigations objectives, pour ne pas déplaire plutôt que de faire le travail. Demain, il sera DG, au sein de l’entreprise, comme d’autres. Indécente justice pour les petits que l’on enfonce, justice adaptée pour les puissants que l’on protège. (JL/NADAL).LA TRANSPARENCE. Donner  à la justice la transparence et la lisibilité. Avoir confiance en la probité et l’impartialité de la justice française. Le blanc France est plus objectif, impartial et sérieux.      

Convaincre que les magistrats ne sont pas des intouchables, et échappent à toute sanction,  de plus, capables de réparer un loupé sans que le miséreux soit obligé de bénéficier de l’avis d’un haut conseil juridique ou d’un avocat, nécessaire au plaignant trop petit, alors que les avocats de l’eau,  avocats « déontologie politique », auraient déjà pu régler une si petite affaire. D’ailleurs la magistrature n’a que peu d’estime pour les avocats autochtones,  même si ces bons enfants n’hésitent pas à porter leur soutien aux magistrats en grève nationale. Rendre la justice sur le fond, pas sur la forme,  les procédures, et les délais, erreurs de verdict non corrigées.

 La GDE  demandant publiquement  de ne pas payer et  une kyrielle de factures  à payer, arrivent dans dos. Protection efficace.

Il ne faut pas laisser penser que  dans le cadre d’une procédure de plaider coupable, la G D E, accusée,  n’est pas  inquiétée, alors même qu’elle reconnaît sa culpabilité, publiquement, et accepte la peine proposée, de rendre le trop perçu.  Le rôle de la magistrature, c’est de faire respecter les lois. Dès lors que certains  ne respectent pas ces lois et se comportent comme des délinquants, il convient que la justice examine ces comportements pour tenter de déterminer, les responsabilités de chacun (proc. de Lille). Et emprisonner et casser du noir, la plupart étant des délinquants.

 La dépénalisation du droit des affaires et l’irresponsabilité de l’entreprise  sont  passées, et s’appliquent bien, avec le concours d’élus insignifiants, poursuivis par la CRC, mais avec modération et bienveillance.

Le procureur est un  danger public, menteur viscéral,  incontrôlable, et il convient de se demander, si dans quelque affaire relayée par Médiapart par exemple, il ne jouerait pas aux dés avec des pions truqués ?   S'appuyant  sur le dossier d'instruction, le reporter  démontre que les "témoignages précis et concordants", pour reprendre les propos du procureur, mettant en cause le présumé, sont en fait un tissu d'approximations et de contradictions.  Ils font l'impasse sur d'autres pistes qui semblent pourtant beaucoup plus sérieuses, quand ils n'essayent pas purement et simplement de les étouffer... Le nègre est toujours coupable, la plupart  sont des délinquants. C’est donc une habitude du. proc, de punir le nègre.  D’ailleurs le nègre déporté à Paris, pour meurtre, vient d’être acquitté en appel, au grand dam des faussaires. En outre, le grand proc, l’unique, le fabuleux Ph.Co. ACIDE, traitant le nègre de menteur ! c’est  drôle, de la part d'un arriviste déchu. Et si des scellés ont disparu dans l'enceinte de la justice, qui peut bien les avoir dérobés ?

En conséquence, Il ne s’agit pas de juger des propos,  il importe de juger une affaire réelle et sérieuse,  dans le respect du contradictoire sans violation manifeste des droits.

Si rien ne bouge, si l’eau coupée depuis plusieurs années,  selon les règles du folklore local, sponsorisé par l’Afnor,  et les élus, si la justice n’est pas capable de juger une telle petite affaire,  si l’eau ne revient pas,  dans un délai raisonnable, même sans retour de trop perçu par la GDE,  l’on comprend pourquoi,  que depuis quelques années, en Guadeloupe,  les impôts, les finances publiques, EDF, GDE…et autres,  tous ces services de l’Etat sont devenus de véritables repaires d’escrocs hautement protégés, de vrais escrocs, avec l’explosion massive de la corruption, du vol et des amitiés occultes, au sein de l’administration. C’est mettre en péril la démocratie et l’état de droit. c’est  légaliser  nécessité  faisant loi, la justice personnelle,  Alors la justice n’existe pas, on applique des lois complexes et emmêlées à tort et à travers, permettant au gros de faire son bon plaisir, et au petit, de faire JUST MARNY. Délicate attention de cœur et de règlement d’amitié.

Alors, MESRINE avait raison.

LES BONNES BLAGUES

LA générale des Eaux, au départ, est prestataire et gérant du Syndicat SIAEAG qui comprend 2 communes prioritaires.

L'intercommunalité fonde plus tard, le cap excellence avec ces deux communes, après avoir viré le SIAEAG. La Générale des Eaux devient alors gérant et prestataire de Cap excellence.

Un client envoie un chèque à la Générale des eaux. Deux mois plus tard, vous n'avez pas payé... coupure. En urgence, le client prend la montée pour foncer payer en espèces. C'est fai.t.

Deux mois plus tard : Avec regret, n'avons pu encaisser votre chèque. Veuillez indiquer la référence entière et complète au dos et l'envoyer par retour du courrier.

Erreur du voleur protégé.

Le client n'a pas à s'inquiéter, il ne paiera que sa juste consommation. Menteur, voleur.

Erreur du tricheur, racketteur protégé

Application du paiement modéré de factures, s'agissant de fuites invisibles, et dégrèvement en cas de fuites d'eau invisible, une fois par décennie. Pas pour la Guadeloupe.

Trop de casses et de fuites sur le réseau. L'excès de fuite, nuit aux fuites.

Erreur d'abus de confiance.

LE SIAEAG accuse le cap excellence de lui avoir piqué du fric.

LE CAP EXCELLENCE accuse le siaeag de lui avoir piqué du fric.

La Générale Des Eaux accuse la terre entière, l'eau et le vent de lui avoir piqué du fric.Prestataire, Gérant, DE TOUS, MAÎTRE A MANIOC, MAÎTRE BLANC, sans casque, ni bâton, vient d'obtenir un marché conformément au code des marchés publics. Défense de tousser.

La suite prochainement.

Liberté et l'honnêteté sur l'Internet, la vérité est indispensable.

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.