Le virus se propage à une vitesse inédite par les voies télévisuelles et radiophoniques et touche en premier lieu les personnes sensibles et espritcritiquodéprimées.
Il convient d'être attentif aux premiers symptômes : mise en équivalence du "risque" de la gauche et de celui du R.N, évocation "des" extrême"s", minimisation du danger fasciste.
Si vous ressentez ces premiers signes, il est urgent de vous référer immédiatement aux programmes des listes en présence et de les lire de manière approfondie.
Attention, si vous n'y prêtez garde, ces symptômes peuvent s'aggraver rapidement : utilisation du terme "islamo-gauchisme" voire "gauchiasse", "féminazi", trollage massif et agressif de toute publication antifasciste.
Aucun vaccin n'est pour l'heure efficace.
Le fait d'avoir été "de gauche" ou de posséder un haut niveau d'études n'offrent pas de protection permanente contre le virus. Il semblerait cependant que vivre dans un endroit où différentes populations se croisent puisse ralentir la progression de l'épidémie.
Si les symptômes s'aggravent, il est urgent de faire appel à un.e proche solide dont le taux de Hanounine dans le sang ne dépasse pas les 0,2% par litre pour discuter avec vous, prendre du recul sur les problèmes qui vous accablent et, le cas échéant, éteindre le poste à votre place. Dans tous les cas, il convient de se tenir au maximum éloigné des urnes.
Face à l'épidémie, tou.te.s vigilant.e.s.