Les sorties culturelles d'@ecoleplusparis
@Ecole Plus Paris au Théâtre Michel
Hélène Girard et Laura Vattant-Bolgheri ont accompagné la classe 5 d’Ecole Plus Paris au théâtre Michel le 31 mars.
Les élèves ont beaucoup apprécié la représentation de l’Avare, et ont bien ri.
Dans une mise en scène très réussie et bien rythmée ils ont pu retrouver les extraits étudiés en classe et particulièrement la fameuse scène consacrée à la Cassette.
Mardi 7 avril lors du prochain cours de Théâtre Laura Vattant-Bolgheri animera son atelier autour de la pièce, discussion, débat, reprise de saynètes…..
Quelques mots sur l’Avare de Molière
L'Avare est une comédie de Molière en 5 actes (comportant respectivement 5, 5, 9, 7 et 6 scènes), écrite en prose, jouée pour la première fois au Théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 1668.
Résumé
L'intrigue se passe à Paris. Le riche et avare Harpagon a deux enfants : Élise qui est amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain au service de son père en qualité d'intendant, et Cléante qui souhaite épouser Marianne, une jeune femme vivant chez sa mère sans fortune. Il ne supporte pas que l'avarice de son père contrarie ses projets amoureux. Harpagon est terrifié par une crainte obsédante : il a dissimulé dans le jardin, une cassette qui renferme dix mille écus d'or, il a peur qu’on la découvre et qu'on la lui vole. Suspicieux, il se méfie de tout le monde, même de ses enfants, il va jusqu'à renvoyer La Flèche, le valet de Cléante. Finalement, il leur dévoile ses intentions : il va épouser Marianne, Élise est promise (sans apport de dot) à Anselme, un vieillard, et Cléante est destiné à une veuve. La jeune fille refuse énergiquement, son père demande à Valère de la convaincre. Valère est rusé et prend Harpagon par la ruse dans un filet invisible.
Répliques célèbres
« Quand il y a à manger pour huit, il y en a bien pour dix. » (Harpagon, acte III, scène I)
« Il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger. » (Valère, acte III, scène I)
« Donner est un mot pour qui il a tant d’aversion, qu’il ne dit jamais : « Je vous donne », mais « Je vous prête le bonjour ». » (La Flèche, acte II, scène IV)
« Qui se sent morveux, qu'il se mouche. » (La Flèche, acte I, scène III)