C'est gros... trop gros... bien trop gros....
L'UMP, par l'entremise de Dominique Paillé, nous sort la tactique de la flatterie. Diviser pour mieux régner...
On sait avec quelle virulence Dominique Paillé et Frédéric Lefebvre (qu'on appelle entre nous au bureau FredLef, le poète ou Jean-Claude Convenant au choix) dénigrent Ségolène Royal. En général, bien que grossier, leurs propos relèvent d'une tactique plus fine qui consiste à faire passer Royal pour une sorte de fruit de l'accouplement de Bécassine et de Rantanplan.
Du statut d'idiote du village, sans proposition, Ségolène Royal est passée, dans leur bouche, au rang de leader du parti socialiste.
Nul doute que, bientôt, Dominique Paillé nous expliquera pourquoi Dominique Strauss Kahn, nommé par Sarkozy au FMI, est de gauche et donc un opposant.
En attendant, l'UMP, fort de ses propres divisions apparues cet été au grand jour, cherche à casser la dynamique d'une union à gauche qui sonnerait le glas des chances de Nicolas Sarkozy en 2012.Que Dominique Paillé nous explique qui est le leader de l'UMP... Jean-François Copé ou Xavier Bertrand ?