Depuis bien avant les grandes vacances – ce qui aurait expliqué mais sans justifier, la dégradation de « nôtre » canard en ligne – je n’y trouve plus mon compte. Même pas pour mes 5 euros par mois, prix pour une mémé en colère et en foyer social pour vieux encore relativement autonomes et indépendants.
Mêmes titres et mêmes photos que dans le reste de la presse, de la gauche « modérée » à la droite plus ou moins modérée, en Une.
Puis la foultitude de production de plumes graphomane sur des non-événements et des choses présumées culturelles mais qui ne le sont pas.
Il n’y a que certains blogs qui ressuscitent mon intérêt, et c’est trop peu. On peut en discuter et parfois se congratuler par courrier électronique.
Ô, Edwy Plennel, ubi sunt ?
Tu as lâché depuis ton bébé dans la nature dénaturée et sans couches.