Il est très sale, mais ce n’est pas le seul.
Ses accotements s’affaissent jour après jour.
Ses pavés se déhanchent.
Ses bouches d’égout sont bouchées, et ça chlingue grave.
Ses messieurs et leurs chiens pissent partout dans des arabesques sans la moindre élégance.
Il reste toutefois le plus grand sans pourtant rien avoir à cirer de
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N’appartient pas encore au Quatar.
Et il a juste un petit quelque chose en commun avec le
À partir de l’année de la crise des euromissiles,
des émeutes du pain en Tunisie,
du discours dans lequel Ronald Reagan nomme L’Union Soviétique L’Empire du mal,
de l’attaque de l’ambassade américaine de Beyrouth par le Jihad islamique,
de l’attentat de l’Aéroport d’Orly,
des guerres Iran/Irak,
de coups d’État militaires,
d’embuscades,
de représailles diverses
et d’un premier Premier ministre socialiste au Portugal,
il fut, pendant 25 ans, sous la coupe d’un maître des turpitudes non seulement politiques.
In memoriam 😉