
« Sur fond de crise, la casse sociale bat son plein : vies jetables et existences sacrifiées. Mais les licenciements boursiers ne sont que les manifestations les plus visibles d'un phénomène dont il faut prendre toute la mesure : nous vivons une phase d'intensification multiforme de la violence sociale. Mêlant enquêtes, portraits vécus et données chiffrées, les auteurs dressent le constat d'une grande agression sociale, d'un véritable pilonnage des classes populaires – un monde social fracassé, au bord de l'implosion.
Loin d'être l'œuvre d'un "adversaire sans visage", cette violence de classe a ses agents, ses stratégies et ses lieux. Les dirigeants politiques y ont une part écrasante de responsabilité. (…)
À ceux qui taxent indistinctement de "populisme" toute opposition à ces politiques qui creusent la misère sociale et font grossir les grandes fortunes, les auteurs renvoient le compliment : il est grand temps de faire la critique du "bourgeoisisme" ».
https://www.editionsladecouverte.fr/la_violence_des_riches-9782707182678
Monique Pinçon-Charlot, veuve depuis peu, vient de publier Le Méprisant de la République dans la collection « Idées-Débats » des Editions Textuel.
Chers lecteurs mécréants ou croyants – mais pas intégristes – de toute religion, non imposables, modérément imposables et surtout pas richissimes, faites un tour sur Wiki pour mesurer l’étendue des fortunes du « couple présidentiel » aux adresses
https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Macron
https://fr.wikipedia.org/wiki/Brigitte_Macron
Autant de bonnes raisons de vénérer le Veau d’Or et de ne pas croire aux affamés.
Comment finissent, dans le respect des traditions françaises de l’État, c’est moi, de l’après nous, le déluge et de s’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche, ceux qui conduisent un pays vers un fossé ?
Ils tombent dedans, guillotine ou pas.