Si vous prenez le temps de jeter un coup d’œil sur la liste des ministres de la santé de notre république,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_ministres_fran%C3%A7ais_charg%C3%A9s_de_la_Sant%C3%A9
vous constaterez que l’on n’arrête pas le progrès.
Non seulement ils ont le ministère court mais ils finissent le plus souvent (depuis bientôt 40 ans que je vis en France, immigrée de choix puisque naturalisée en tant que réfugiée politique d’une ou deux dictatures) avec un pied au cul.
Je pense à Michèle Barzach et au nuage de Tchernobyl s’étant arrêté aux frontières avec l’Allemagne, à ses autres turpitudes aussi (voir Stéphanie Marteau et Dominique Perrin, « Affaire Gabriel Matzneff : l’ancienne ministre de la santé Michèle Barzach entendue par la police », Le Monde.fr, 27 avril 2020).
Je pense à Roselyne Bachelot, qui avait acheté des vaccins et des masques pour 700 millions d’euros en prévention d’une pandémie de la grippe aviaire H1N1 ne faisant finalement pas grand dommage.
Tu avais raison de le faire, chère Roselyne. Prévenir vaut mieux que guérir.
Tes masques avaient moisi dans un dépôt, les vaccins avaient expiré lorsque, sous la présidence de l’actuel président, Olivier Veran assurait la population de France et de Navarre que le Covid-19 n’était qu’une grippe banale, qu’il valait mieux la choper et s’immuniser gratis. Vous connaissez la suite, avec ses morts, ses blessés et le confinement. Sinon, cherchez l’historique sur des sites fiables.
Cet Olivier Veran, devenu grand communiquant de la Macronie pour ses bons et loyaux services, rivalise aujourd’hui avec son patron en longueur de nez.

Je pense surtout à Agnès Buzyn et à ses chaudes larmes en ce jour de février où elle fut limogée pour avoir dit la vérité sur la pandémie en cours.