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Hier, 47 ans depuis ‛74.
Entre les hommages à la dynastie britannique, les cocoricos Pesquet, les violences policières et anti-policières et le déconfinement-reconfinement, aucun journaliste ne s’est rappelé, à une heure de grande ou de moyenne audience sur une chaîne publique, de dire un mot sur la plus belle dernière révolution en Europe.
Le voici :
Brandissons chacun notre œillet et allons chercher et réunir nos actionnaires, courtiers, agents de change et autres adorateur du Veau d’Or, lobbyistes pharmaceutiques inclus.
Non, pas LA BOURSE OU LA VIE.
Conduisons-les juste gentiment mais fermement vers des vaccinodromes en manque de doses et donnons à tous ces parasites hématophages le choix entre une activité utile, par exemple la construction et la dotation d'hopitaux publiques et de logements sociaux et un billet d'avion sans retour pour, par exemple Dubaï.