Et poutant, depuis plus d'un demi-siècle, je dois ma survie, (sic !) enfermé dans une galère de "petite Apartheid" franchouillarde, vaguant entre les deux berges de la Seine, à une mer de miséricorde juive, descendue par Allah ou Yahwe (Saïdou Bokoum).
Hélas ! Dieudonné, c’est Dieu qui nous l’a donné, comme Fêtnat, Succhab (Bacchus), etc. Tous des enfants de la Caraïbe, la patrie des presque' apatrides. Mais entre eux et la Mét’opo’e, les murs ont des Zoreil’s (Békés de la Métropole ainsi nommée par les Indépendantristes (William Sassine) et les Départementristes. (Auteur anonyme..).
Ce « monstre » dont au moins un des fils a comme parrain un autre monstre, je n’entre pas dans le détail..
Donc depuis que Dieudonné a fait son monstrueux salut :
Heil I..
Que le réalisateur, de cette émission-là, depuis sa cabine a lancé un air, une mise en lyrics de Meinkampf, (ou quelques phrasés dans ce goût), que le fort en gueule de « On ne peut pas être d’accord avec tout le monde », son nom me reviendra, (Marco Polo ou un des ses descendants.. ), les bonimenteurs, les bouffons, les audimateurs ont valsé sur un bouillon du Beau Danube Bleu trempé dans un Schopenhauer que Nietzsche avait cessé d’aimer.
Voilà, depuis, Finkiel.., qui trône sur le must culturel de l’Hexagone (« France ex Culture ») a embaumé la Négraille (A. Césaire) de ses soupirs de haine de soi. Il est même allé jusqu’en Palestine (la Grande), répandre sa bave dans Haaretz, « Le Monde » de là-bas ?? Malheur, Le Monde d’ici qui n’avait peut-être pas encore poussé dehors ou mis à part (dans un placard, bon je n’étais pas là..) Pleynel, alors le quotidien du soir a eu l’outrecuidance de traduire les râles sibilants (si vilains, sic) de Finkiel..
En substance :
« Depuis que la France entière s’est répandue sur les Champs Elysées en râlant comme des Nègres » qui nous auraient donné cette « victoire » en 1998 »,
Y a Bon Blacks Blancs Beurs..
Au lieu de dire :
« Blacks, Blacks, Blacks.. ».
Honte à l’Europe ! »
Il fut obligé de rentrer ça.. et de présenter des excuses platoniques mais toujours méphitiques.
Car il reprit :
.. Et ces veaux de Français remplissent les salles dans nos provinces pour regarder ce congénère de notre Gardienne des sots..schitt.. !
Pire :
« En Haïti, ce sont par dizaines de milliers qui étouffent dans ces gourbis à se taper le ventre et les fesses de hottentotes !!
Haïti la première république civilisée depuis 1805 à accueillir les Juifs et à leur donner des Cartes nationales d’identité, pendant que le monde « civilisé » était toujours aux trousses avec ses pitbulls ou bergers allemands, des rescapés de la Shoa pour « en finir » !
Alors ce monstre ?
La circulaire-Valls-Hollande ou celui que Dieu nous a donné ?
Mais alors il faudrait que le flic ou plutôt le Commissaire du gouvernement dise au Conseil d’Etat les dommages collatéraux de cette circulaire :
1) gazer tous les Français à part, qui ont assisté à des concerts de Dieu nous l’a donné,
2) gazer tous leurs cousins haïtiens.
3) En effet, « par ces motifs », la non-rétroactivité des lois cesse d’avoir force de loi constitutionnelle, plaise au CE renvoyer ce « détail » au Conseil constitutionnel.
(Non, je viens d’apprendre que le Conseil d’Etat, merdre, le Conseil du Roi vient d’annuler l’annulation du monstre juridique).
C’est mieux ainsi : la colère va monter du Zénith ou plutôt va exploser du Nadir au magma jusqu’aux sous-sols sociaux, (Jamel Debout !) pour rejoindre le foyer de ce cancer, qui lancera ses métastases de feu pour une terminale généralisation…
Un peu d’utopie, en attendant Godot dans tous ses états..
Vous avez dit Etats généraux ?
Oui, c’est un Devoir de violence (Yambo Ouologuem, Renaudot 1968) !
Conclusion politichienne : il aura fallu l’avènement d’un Président socialiste enfin « normal quoi » (Coluche) pour en venir à élargir le camp des Harkis aux dimensions de l’Hexagone jusqu’aux tombes de Toussaint Louverture et de Dessalines. Je m’autorise « politichiens », sauf votre respect mesdames, à cause de la formule de Sartre qui n’était pas communiste :
Tous les anticommunistes sont des chiens.
Les anticommunistes dans mon entendement, à cette époque : ceux qui étaient contre « tous les communistes », de fait, ceux qui tout simplement voulaient la fin de la guerre d’Indochine, la libération de l’Algérie, (comme l’a réussi Pierre Mendès France et De Gaulle pour l’Algérie et l’Afrique subsaharienne, Eskeï, grands hommes !), etc. Surtout, avant ce président socialiste normal, la France n’aura pas eu le temps ni pu se trouver une identité dans cette mondialisation où tout est dans tout, sans foi ni loi, dans la dissémination après la déconstruction (Derrida), la reproduction du Même (Pierre Bourdieu), au lieu de punir et d’enfermer (Michel Foucault) la callera en laissant l’invisible racaille nous abasourdir avec son Caca ( ?) 40, the Law Jones, etc., en lieu et place d’un heureux implant de ce rhizome (Deleuze-Gattari) pluricolor, indéfinissable de par sa richesse caméléon, tel le vortex du Tout-monde (Glissant-Chamoiseau) où leur mal-être, malgré leurs milliards d’euros (on vient de voir ces « malheureux » verser des larmes de crocos au risque de polluer le linceul de Madiba avec leurs manières de souillons et de faux culs..
Lâchez l’homme ! (F. Fanon), en nous lâchant un peu les baskets et nos miséreux allocs...
Les « Blancs » ont quand même fini par m’avoir.. ».
C’était le dernier soupir du combattant algérien, tué non par balle, tirée par « L’Etranger », mais par une nasse de globules blancs.
(Dans cette incidente romanesque du grand Camus, je me suis toujours demandé du tireur ou du tué qui était l’étranger et accessoirement, de la Justice et de l’Algérie, qui était « ma mère » ?).
Sans transition.
Ils sont partis, nous laissant dans sur ce Bateau ivre (c’est de qui ?) toutes voiles jetées au vent, Gone with the wind, sur le Triangle des Beurs nude, aux cris déchirants et anti-sharia :
Femen ! Femen !
Shalom, Wa Salam,
Saïdou Bokoum