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Billet de blog 16 janvier 2014

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LETTRE OUVERTE À VALÉRIE TRIERWEILLER

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

 Par Abdenour DZANOUNI

Ah, ces hommes ! Tous les mêmes. Et encore, vous avez échappé au pire, ma bonne dame… Demandez à votre consœur Anne Sinclair! Vingt ans, qu’il l’a faites…  parer en gazelle ! Elle savait et ne voulait rien savoir. Pour les journalistes, il vaut mieux mentir que de ne pas savoir! C’est ainsi que naissent et se répandent les rumeurs. Quand ils n’ont rien à se mettre sous la dent,  des journalistes inventent, d'autres répètent qu'ils le tiennent d'en haut et « ... Tant crie-t-on Noël qu’il vient ! » disait déjà François Villon. Toutes les rédactions chuchotaient et en rajoutaient comme à Voici, à Voilà, à Paris spectacles, à Tout-Paris, Paris républicain, Paris Match ! Et vous, plus naïve qu’une alouette éblouie par les feux des miroirs, vous ne saviez rien. Vous alliez, avec Najat-Vallaud Belkacem au Maroc, défendre les femmes marocaines, brimées et opprimées par leur mari polygame, sans vous douter que bientôt elles devraient venir à votre chevet, vous rendre la politesse.

Il fallait vous méfiez quand il vous proposait d'aller au bout du Monde : « Tu es l’image de la France ! Tu représentes, aux yeux du monde, la liberté,  la dignité, l’égalité entre l'homme et la femme ! Vas-y fonce!» disait-il. Voilà donc comment la Marianne incarnée devient l'image de la France écornée! Et la dignité humaine, François! Et le respect de la femme!  Bordel! Mais, madame, même vos confrères, ces larbins de peu de foi, s'envoyaient des devinettes à deux sous, en ricanant : «Quand la souris n'est pas là...pour qui ronronne le chat?» Voilà pourquoi  vos collègues s’arrêtaient de parler et de ricaner dès qu’ils vous voyaient arriver à la rédaction. Ah, je suis d'accord, avec vous, ces journalistes? Tous des chiens! Sauf votre respect, vous êtes journaliste à Paris Match et vous ne saviez pas que DSK était appelé le « satyre de Bercy »? Bien sûr, vous c’est différent ! L’amour est aveugle et Closer rend la vue.

Voyez  Anne  Sinclair, née avec une cuillère en or dans la bouche, une émission de télévision à une heure de grande écoute, belle et habillée par la grande couture, qui se retire de la vie publique pour ne pas faire de l’ombre à son coquin de mari. « Si tu  te présentes aux élections, je te nettoie à la bombe nucléaire ». avait promis Nicolas à Dominique. Et puis, voilà Sainte Anne qui gravit l’escalier monumental du tribunal de New York et trébuche sur la dernière marche…Quelle signature du destin !

Vous c’est différent. Les crépitements des flashs et l’œil des caméras vous célébraient partout dans les chaumières de France tandis que vous représentiez ce grand pays aux yeux du monde. Intuition féminine ou flair de journaliste, vous avez bien fait de ne pas quitter le journalisme et Paris Match. Comme Anne Sinclair, vous êtes légitime aujourd’hui pour être patronne de presse.  Aucune mauvaise langue, même  les pires vipères parmi vos consoeurs,  ne pourra prétendre que c’est une promotion canapé  .

Demander à Cécilia Attia. À vous, elle racontera sa période Sarkozy … Faut dire que c’est elle qui a commencé à faire pousser des bois de cerf à Jacques Martin ! Elle l’a corné en diable puis elle a fait une gueule comme ça quand ça lui est retombé dessus avec Nicolas ! M’enfin, avec Ségolène, vous n’avez pas fait exprès, vous étiez amoureuse. Vous êtes si belle, vous ! c’est différent ! Le coup de foudre, ça ne s’explique pas ! Faut pas pleurer, madame, il y a pire dans la vie !

Faites comme Cécilia, écrivez un livre ! Vous exercerez votre sensibilité et votre franchise, bridées jusque là, à peindre de l’intérieur tous ces personnages qui grenouillent dans les jardins de l’Elysée et les allées du pouvoir. Vous avez dû en voir des courtisans obséquieux et des larbins sans aveu qui, le soir venu, envahissent les plateaux télé pour mettre les pieds chez les français et les bassiner à tout propos. «À quoi sert-il d’écrire un livre ? » Ils essaieront de vous en dissuader par des haussements d’épaules et le regard fuyant, mais croyez en plutôt le Marquis de Sade qui aurait pu leur répondre :

«À quoi sert-il d’écrire un livre ? Voilà une question de censeurs philistins qui pour reluire du vernis de la morale, dont leur cœur est bien éloigné, demandent, à quoi servent les livres et détournent le regard au loin  pour ne pas écouter la réponse  « 

« Nous devons, me semble-t-il, répondre à cette objection de censeurs philistins et suffisants. À quoi sert-il d’écrire, hommes hypocrites et pervers ? Quelle question ridicule ! Mais à vous peindre pardi ! Non pas quand vous prenez le masque du personnage qui pose devant les caméras,  lorsque vous vous faites voir et que vous n’êtes plus vous-même, mais elles servent à vous peindre tels que vous êtes, orgueilleux individu qui voulez vous soustraire au pinceau parce que vous redoutez qu’il vous prenne quand vous quittez ce masque ! Alors, la comédie étant le tableau des mœurs séculaires, le pinceau vous saisit dans votre intérieur... et l’esquisse, bien plus intéressante, est en même temps plus vraie, voilà l’utilité d’écrire des livres, froids censeurs qui n’aimez pas l’écrit tant il vous révèle. Il en va ainsi, du roman comme de la comédie, de Molière comme de Dieudonné M’bala M’bala ! »

Répondez-moi, madame sans détours. N’avez-vous pas eu la puce à l’oreille quand  François a défendu le mariage pour tous sauf pour lui? Pourquoi se refuse-t-il ce bonheur et veut-il en punir tous les français ? Estimez-vous heureuse qu’il ne vous aie pas fait quatre enfants comme à la brave Ségolène ! Elle qui lui a donné les plus belles années de sa vie et a demandé à Mitterrand de le nommer ministre! Quelles preuves  d’amour ! Mais il devait être jaloux de la lumière qui lui faisait de l’ombre. Ah, si on pouvait regretter avant… Le monde serait parfait et on nagerait dans le bonheur, madame !

Les hommes sont des ingrats ! Avec vous aussi, remarquez, il a été ingrat ! En deux ans vous l’avez complètement métamorphosé. Il était tout dodu et vous avez été la princesse qui d’un baiser a transformé la meule de fromage en prince charmant. D’un coup de baguette magique :  « wouaou ! » Qui est donc ce jeune émincé, élégant dans son costume, le pas souple et léger et qui remonte prestement la jolie avenue des Champs Elysées ? Mais depuis quelques temps, tout le monde avait remarqué qu’il reprenait les kilos perdus et qu’il y avait là la preuve du laisser aller au Palais! Maintenant, tout s’explique : en cachette, il faisait des infidélités à son régime ! Et les cuisines de l’Elysée n’y sont pour rien. Quel  dissimulateur! Bravo !

Faut pas pleurer, madame ! Au lieu de vous morfondre sur votre oreiller d’hôpital, partez en Amérique faire fortune avec votre régime Trierweiler  et sa potion magique Valérie. Ce n’est pas ici en France que votre recette fera flores vu que le peuple est mis au « pain sec et à l’eau ».

Lors de cette fameuse conférence de presse de la mi-janvier, tout était verrouillé : les questions déposées la veille, validées ou rejetées, les réponses préparées et apprises par avance, la mise en scène organisée dans les ors et la splendeur du décors, le spectacle pouvait commencer.

Il y avait là quelques cinq cents journalistes, on ne sait pas pourquoi puisqu’ils  n’ont pas tous le droit de poser les questions. Et puisque ceux qui ont le droit d’en poser ont en même temps, la question qu’il doivent poser, pourquoi déranger toute la presse ? 

Là où vous êtes, si vous pouviez encore le voir à la télévision, vous auriez vu tous les journalistes Français et étrangers demander de vos nouvelles ! C’était émouvant ! Le premier, qui était le chef  des journalistes  de la présidence, s’est cassé d’un éloge au président qu’on se serait cru, pendant vingt minutes,  dans une sorte d’oraison funèbre anticipée ou un concours de poésie élégiaque, avant de bégayer apeuré : « Comment va Madame ? ».

 François a répondu bien gentiment qu’il allait répondre mais qu’après cette réponse,  il ne répondrait plus aux questions sur sa vie privée : « Madame se repose » a-t-il dit avec l’accent d’un majordome stylé. On aurait cru l’affaire classée. Non ! Les journalistes qui au quotidien vous font avaler des couleuvres se transforment, dès que l’occasion se présente, en vipères à cornes.  Si l’occasion fait le larron, chez eux elle fait la langue de pute acérée, bonne à tailler la plume et prompte  à détruire les réputations.  Je les connais bien. D’habitude, ils chassent en meute dès qu’ils entendent le cor sonné. Comme les parties de chasse sont souvent données à partir des jardins de l’Elysée, ils s’y croyaient, sauf que le gibier désigné était cette fois, non pas Dieudonné M'bala M'bala,  mais le maître d’équipage en pied. 

Il y avait ceux qui imperturbables restaient dans leur registre exotique. Un journaliste tunisien a posé une question surréaliste: «Comment va la Libye, la Syrie et la Tunisie..., » que des noms qui se terminent par « i »,  les gens ont pensé qu’il allait ajouter Valérie et Julie mais c’était comme si le confrère tunisien l’avait fait tant les gens ne pensaient qu’à  ça. 

Il y eût bien un journaliste de Radio « J », qui, sans ciller, a posé des réponses plutôt que donner des questions. Il accusa sans rire Dieudonné d’avoir supprimé de son spectacle les passages antisionistes  parce qu’au final les spectateurs, en cachette dans leur tête, pensaient à ces passages supprimés et riaient. Puis le journaliste juif a demandé « quand allez-vous supprimer le spectacle de Dieudonné, Dieudonné lui-même, le Théâtre de la Main d’Or et  internet... Ce n'était d'ailleurs pas tant une question, qu'une injonction au président de la république. Et si, d'un trop plein d'émotion,  sa langue n'avait fourché, il demandait le pouvoir pour le  Consistoire israélite d'exercer la censure de tout article, livre, dessin, peinture, spectacle, film, pièce de théâtre, recherche universitaire, information ou pensée qui évoquerait Israël et le sionisme en des termes jugés blasphématoires.

Dans sa réponse, le président a opiné du chef,  félicité le représentant de Radio "J",  le ministre de l’intérieur, la ministre de la justice et puis, comme si le griot était responsable de tout ce qui arrivait à son intimité (gris-gris, vaudou, zombies et tutti canti…) s’est engagé à poursuivre la chasse  à Dieudonné sur terre et sur Internet et la chasse de tous ceux qui soutiendraient le griot! Là, le souffle glacial de la terreur a balayé la salle des fêtes. Robespierre et Saint Just réunis, en une créature siamoise,  n’auraient pas produit plus terrible effet. Il y eût un bruit de papier froissé et de stylos rangés. Les quelques journalistes qui voulaient poser la question sur la liberté d’expression dans le royaume de France, l’ont ravalée de crainte d’être découverts et embarqués dans une charrette au sortir du Palais.

Aussitôt un journaliste, chassé par la porte, est revenu par la fenêtre pour dire : « Oui, monsieur le président, je sais que vous n’aimez pas les questions sur Valérie, mais quand vous êtes allé « là-bas »  votre sécurité était-elle assurée ?» Il pensait au « 20 rue du Cirque » chez Emmanuelle Hauck, femme du défunt Michel Ferracci et taulière de Julie Gayet. Là où tous ces bandits corses viennent faire leur sieste.

Mais tous avaient compris. Même nous, les gens du peuple qui ne sommes pas très futés. Car comme vous, madame, on ne savait pas. Il nous a fait croire qu’il travaillait, jour et nuit, à faire baisser la courbe du chômage et pour nous trouver de l’emploi. La courbe était là bondissante et les chômeurs, ici par millions, la regardaient grimper Quand on passait près de l’Elysée et qu’on voyait, tard dans la nuit, le Palais tout illuminé, on se serait cru tous les jours, un soir de 14 juillet, on se disait «  ça doit faire chère la facture d’électricité», mais c’est le bon petit François qui travaille dur et ne dort pas pour nous trouver de l’emploi pour les jeunes ! Alors que vous attendiez qu’il rentre du boulot éreinté ! Ah, ces hommes tous des cachotiers!

Alors, le journaliste très ému,  la gorge nouée, s’est inquiété pour la sécurité du président, quand celui-ci  allait dormir dans ce repaire corse au 20 « rue du Cirque », célèbre désormais dans le monde entier et que les voyagistes  pensent intégrer, tout comme la « rue de la Pompe », dans les circuits touristiques parisiens. Et le journaliste de préciser prudemment, avec un vibrato dans la voix, le sens de sa question « … Je m’inquiète pour la France ! monsieur le président, pour la France ! »

Alors, vous dis-je, François a regardé, dans la salle, le ministre de l’intérieur, droit dans les yeux,  et dit : « À tout moment, de jour comme de nuit, en France comme à l’Etranger, en privé comme en public ma sécurité a été assurée avec efficacité. Je tiens d’ailleurs à en remercier le ministre de l’intérieur, mes gardes du corps, les pompiers de Paris… » Et Valls a opiné de la tête à chaque mot du président. Diantre, vous dis-je, pour témoigner avec autant de conviction, on aurait cru que monsieur Valls était toutes les nuits au 20, rue du Cirque, au bas de l’immeuble, dans une voiture banalisée, avec le carton de pizza froide sur les genoux, jusqu’au matin frisquet où, pour se dégourdir les jambes, il allait ramener prestement, au nid douillet, des croissants chauds pour les amoureux. C’est mignon tout plein !

Je vous entends soupirer, madame. Ah, ces hommes, on ne peut plus leur faire confiance ! N’y pensez plus ! Vous ne pouvez pas , dites-vous ? Pensez à autre chose. Pensez à vous reposer, à dormir, vous avez droit à la sécu comme tout le monde. Vous aurez tort de ne pas en profiter, François ne l’a pas encore supprimée. Seulement, entre nous madame, si la moitié des français qui se fait cocufier par l’autre moitié,  allait faire une cure de sommeil à l’hôpital, c’est pas demain la veille qu’on rembourserait la dette de la France.

Croyez-moi, madame.  M’enfin, faut pas pleurer comme ça, madame, vous en avez vu d’autres: trois mariages et des tas d’enterrements. Cela devrait calmer !  Non, madame, je ne veux pas vous contrarier et froisser davantage votre amour propre, mais votre rivale Julie Gayet est dans son rôle et la taulière Emmanuelle Hauck aussi, et vous êtes meilleure dans ce personnage de femme trompée que quand vous étiez la femme cachée, la rivale de Ségolène.  À l’époque, pendant que Ségolène mouchait et torchait les enfants, Olivier Falorni était dans le rôle du taulier en vous offrant une planque à vous et François pour vous donner clandestinement la becquetée en amoureux. Vous, qui êtes une femme sensible, n’avez pas été ingrate, vous avez soutenu Olivier Falorni d’un twitt formidable qui fit le tour de la terre.

Ma pauvre dame, après toutes ces nuits d’insomnies, vous avez bien besoin de dormir… dormir…dormir... jusqu’au moment où il faudra bien se réveiller. Qu’allez-vous faire ? Voyez Cécilia, grande Dame, les dents serrées, elle l’a accompagné jusqu’au Palais et puis elle a fait le mur de l’Elysée. Le lendemain, elle est Madame Attias, au bras d’un homme, solide, intelligent, beau et riche ! Quelle revanche sur la vie de chateau!

Voyez Anne Sinclair, qui, dans l’œil du cyclone, titube mais reste debout,  arque-boutée, les dents serrées, elle soutient Dominique, honteux et confus. Puis, sitôt qu’elle l’a sorti d’affaire à grands frais, elle s’est mise au bras de Pierre Nora, un historien de renom, magnifique octogénaire, la toison d’argent couvrant de modestie l’or qu’il a dans la tête. Soyez, au moins comme elles, digne dans l’épreuve et sublime dans l’adversité ! Mais si je puis me permettre de prévenir l’égarement dans lequel vos choix passés vous ont entraîné,  ne faites pas comme elles, n’épousez pas un juif parce qu’il est juif, comme elles disent l'avoir fait elles-mêmes. Voulez-vous la preuve que les juifs ne sont pas tous fidèles : leur religion leur interdit de convoiter l’épouse de leur voisin. Pourquoi l’interdire, si l'intention n’existait pas déjà. Il n’y a pas de fumée sans feu comme il n'y a pas que chez les juifs qu'il y a des infidèles. Suivez mon regard.... 

Regardez ailleurs, sans quittez l’Elysée. Personne ne peut vous répudier. Y’a comme un vide juridique. « Pas de statut » a dit François. Vous quitterez s’il quitte. Ensuite vous choisissez le moment opportun pour faire la belle. Avant de jeter votre dévolu, arrêtez votre choix entre un prince arabe et un noir de banlieue. Parmi les princes arabes, vous avez l’embarras du choix. Voyez  tous ces barils de pétrole coiffés d’un chèche! Seulement, si vous entrez dans un de ces palais, devant lesquels l’Elysée vous apparaîtrait comme une cage d’escalier d’une cité de banlieue, vous serez affectée au harem, en compagnie de mille femmes, sous la garde d’un eunuque au long sabre. Connaissant votre caractère peu vénal ni enclin à la soumission et votre tempérament possessif et jaloux, l’air du harem ne vous réussirait pas.

Il reste à chercher la perle noire, pour la séduire faudra raper sans déraper. Ecoutez: « Moi, jeune de la cité, 25 ans au chômage, ma mère me dit tais toi, courage et sois sage. Je suis sapé de rien je t"éblouis, comme un dieu païen, le jour et la nuit, et qui en jette, en veux-tu , de la prestance en voilà  et de l’intelligence, en voici! l’humour et l’élégance, je suis plus beau que toi, François, la France est au-dessus de toi ! Chantez la Marseillaise et dites Vive la France !... Noir ou blanc, Juif ou arabe,  engage-toi, mon frère, attache-toi une gamelle au derrière. Viens la belle jouer avec moi à l'hotel Sofitel ! Et rame la galère et fiers, la tête en l'air, avance  en transe dans la mouvance. Ils vous disent : « Pas de chance ! » Les blancs, les noirs, les juifs et les arabes, silence ! Chantez la Marseillaise et dites Vive la France ! »

 AD

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