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Billet de blog 14 déc. 2012

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Français-Algériens pour notre bien à tous, apprenons à travailler ensemble. La conjoncture economique mondiale nous y oblige.

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Il fera surement beau demain

Après bien d’illusions et beaucoup de désillusions, je suis arrivé au triste constat que la France ou bien la cinquième république sous le Général De Gaule nous a aidé à conquérir notre indépendance, reconquérir nos terres, notre territoire ou pays après avoir introduit de pseudos déserteurs sous-officiers d’origine Algérienne devenus officiers de l’armée Français seulement à quelques mois avant leur pseudo désertion pour rejoindre l’ANL (armée de libération nationale) pour pouvoir pourrir le pays de l’intérieur. Comme l’avait dit le Président Ferhat Abbas (Allah yerahmou) en accord avec son vice-président du GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne) Mohamed Boudiaf (Allah yerahmou) en agissant de la sorte on ira vers un état policier. A titre posthume, je suis tenté de dire à Ferhat Abbas : oui vous aviez raison, nous avons effectivement évolué vers un état policier ou seule une faction du pouvoir monopolise la libération du pays et mène depuis cinquante ans un pseudo militantisme socialiste à l’Algérienne dans une ripoux-blique des camarades ou la compétence est le dernier souci de ses décideurs de fortune.  Notre ripoux-blique est devenue celle de la hogra (le mépris), du « digoutage » (dégout), du « profitage, tâa Allah » (profite, c’est gratuit) et ana j’men fou (moi je m’en fou). Ces termes sont transcrits dans le Francalgérien si j’ose l’appeler ainsi (après tout en Créole on dit bien « profitement ») car ce parlé dialectal utilise plein de mots latins associé à l’Arabe et le Berbère, comme exemples je citerai sosta (terme Italien voulant dire silence), mayna (terme Italien voulant dire indirectement les bras m’en tombent), tonobille ou el carroussa (la voiture du Français et de l’espagnol aussi). Ces messieurs appelés décideurs, libérateurs sont pour nous tout simplement des gueux usurpateurs qui oublièrent sciemment une seule chose qui est de libérer ce peuple Algérien qui normalement devait rester seul souverain régnant en maître sur l’état Algérien qu’il a récupéré enfin après tant de siècles de différents colonialismes qu’ils soient Byzantin, Romain, Phénicien, Arabe, Ottoman, Français ou autres. Enfin libres, l’Algérien a pu accéder à son indépendance arrachée de haute lutte par certains leaders sincères et facilité par la cinquième république du Général De Gaule au moment ou d’autres malheureusement étaient terrés dans leur trou ou se prélassaient aux frontières Est et Ouest attendant l’heure propice pour venir tels des vautours récolter ce qu’ils n’ont pas semé ou tout simplement confisquer cette opportunité qu’est cette indépendance qu’ils n’ont jamais mérité. Quand un ancien président de la république Algérienne vous déclare à l’hiver de sa vie comme ça de but en blanc qu’il est de père et de mère Marocains (benbella), qu’un ancien président de l’assemblée national (bensalah) n’a été Algérien qu’en 1967, que plusieurs hauts responsables « cadres supérieurs de la nation » et anciens du MALG sont d’origine Marocaine, notamment l’actuel ministre de l’intérieur ould kabila . Ce n’est pas que je défends le colonialisme au contraire surtout pas celui pratiqué par la France. On peut pardonner le code de l’indigénat et l’arrogance de la France, ses enfumages, ses emmurages, les zoos humains, ses déportations dans le pacifique et en Syrie pour condamner certaines rebellions (Cheikh El Mokrani, Cheikh Bouamama et l’Emir Abdelkader entre autres) et j’en passe mais ne pas l’oublier surtout car l’histoire est là pour nous le rappeler. Juste une question qui me brule les lèvres : vous saviez qu’on n’était pas armés pour voler de nos propres ailes alors pourquoi avoir favorisé l’indépendance au détriment de l’intégration des indigènes comme l’avait demandé le Président Ferhat Abbas (entre autres) ? Il est vrai que le Président Ferhat Abbas a utilisé le terme orientaliste mais moi je préfère continuer à privilégier le terme indigène, Berbère ou Algérien tout cours vu qu’orientaliste fait de nous des colonisés Arabes consentants. A voir certaines déclarations à travers l’histoire, je crains de connaitre la triste réponse à ce refus d’intégration des indigènes que nous sommes : la religion musulmane d’abord et le rejet de toutes différences dans leur ensemble. Pourquoi continue t-on à vouloir faire croire au monde qu’un Algérien, Arabe ou un Berbéro-Arabe ne peut être que Musulman ? Oublie t-on que Saint Augustin était Berbéro-Chrétien, qu’une minorité d’Algériens est soit Juive ou Chrétienne, que des Egyptiens sont Chrétiens Coptes, qu’une partie du peuple Irakien, Syrien, Palestinien, Jordanien est soit Chrétienne ou juive. La première communauté Musulmane n’est pas Arabe mais Asiatique, Indonésienne pour être plus précis. Je cite une connaissance Juive d’Algérie (de Batna) venu en France en 1963 qui me racontait que quand sa famille est arrivée en France (Strasbourg), sa grand-mère ne parlait même pas Français et on lui disait que dorénavant elle ne serait que Française, tant pis pour elle qui n’a connu que l’Algérie. Pendant des années on nous a dit que tous les pieds noirs avaient quitté l’Algérie suite à la menace Indigène mais ce qui a tardé à être divulgué au public c’est que deux cent mille pieds noirs ont choisi de rester chez eux bravant le fameux slogan « La valise ou le cercueil ». La religion ne devient dangereuse que quand elle commence à être instrumentalisée par les hommes pour servir leurs desseins. A entendre Jean François Copé dire à chaque sortie médiatique qu’il est choqué j’ai envie de lui répondre à lui et à ceux qui sont tout le temps en état de choc seulement ceci : un Monsieur (de droite de surcroit) n’a t-il pas dit que les chocs culturels stimulent la créativité ? Commençons par ce rapport adressé au maréchal pétain par Ferhat Abbas en avril 1941, je le cite : On a modernisé l'Algérie. [...] Les résultats satisferaient les plus difficiles mais on est arrivé à un anachronisme. Sur cette terre européenne aux cadres européens vivent six millions d’orientaux. Pour commencer, ce fut une erreur de s’adresser au gouvernement de Vichy pour pareille doléance qui d’ailleurs est restée lettre morte, Ferhat Abbas lui-même reconnaissait que ce fut une maladresse de sa part dans un entretien qu’il a eu avec le Président Léon Blum qui lui dit que ce fut vraiment naïf de croire que pareille doléance aboutirait positivement. Violette n’a pas eu tord d’affirmer qu’en laissant l’Algérie entre les mains des colons, il ne fallait pas s’attendre à grand chose. Que faire, quoi entreprendre quand on est désemparé et qu’on voit son peuple sombrer, se noyer sous ses yeux au risque de voir le sauveur (s’il y en a un bien sûr) précipiter la noyade, cherche t-on à voir le visage de son sauveur quand on se noie ? Même pétain aurait eté le bienvenu. Ferhat Abbas aura tout essayé même l’inimaginable, hélas en vain même cet exterminateur de pétain n’a pas daigné venir pour nous assener le coup de grâce.

Cette autre remarque venant du Général De Gaulle après avoir dit que c’était une bonne chose que la France soit métissée mais pas de trop quand même. Là est abordé l’aspect religieux : je le cite : si tout les Arabes et les Berbères d’ Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcheriez-vous de venir s’installer en métropole alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey les deux églises mais Colombey les deux mosquées. La France est-elle vraiment laïque ? Défend elle vraiment cette loi sur la laïcité datant de 1901 ou fait elle seulement semblant de croire en la laïcité ? Restons toujours avec De Gaule donc la 5 éme république et essayons d’analyser ensemble cette correspondance adressée par le général De Gaule à ses collaborateurs le 26 décembre 1959 et parue aux éditions Plon dans le livre « Jamais dit » de J.R Tournoux en pages 207 et 208. Je le site : « Nous employons en Algérie 500 000 hommes au service d’un ordre armé. Les rebelles emploient au maximum 30 ou 40 000 hommes à l’insurrection armée. Nous appuyons nos forces de moyens matériels écrasants par rapport à ceux de la rébellion (aviation, hélicoptères, camions, armements, concours de la marine…). En qualité militaire, nos cadres, nos états-majors, notre commandement sont incomparablement mieux formés que les malheureux analphabètes de l’insurrection. Nous dépensons chaque année 1 000 milliards en Algérie sous toutes sortes de formes pour la lutte en Algérie. Le FLN dépense environ 30 milliards. Par le combat, les exécutions sommaires, les exécutions légales, nous tuons dix fois plus d’adversaires que ceux-ci ne nous tuent de musulmans (de toutes espèces) ou de Français. Nous détenons dans les camps et les prisons 80 000 adversaires tandis que le FLN n’en détient pour ainsi dire pas. La crainte est dans notre âme beaucoup plus que celle des fellaghas.

Nos moyens de propagande : radio, journaux, affiches, tracts, argent, écoles, secours sanitaires, centres de formation…, sont d’une puissance beaucoup plus grande que celle des moyens FLN. Notre influence et notre action diplomatique sont hors de toute proportion avec celles du GPRA, etc. Et cependant, malgré toutes les affirmations, promesses et illusions, l’ensemble de la population musulmane n’a pas du tout «basculé» de notre côté, ni en Algérie, ni dans la métropole, ni à l’étranger.

A en croire les rêveurs ou les fumistes, il suffirait d’être les plus forts pour que les musulmans nous rallient. Quelles forces supplémentaires nous faudrait- il donc pour qu’ils le fassent ! Il est parfaitement vrai que notre écrasante supériorité militaire finit par réduire la plus grande partie des bandes. Mais moralement et politiquement, c’est moins que jamais vers nous que se tournent les musulmans algériens.

Prétendre qu’ils sont français, ou qu’ils veulent l’être, c’est une épouvantable dérision. Se bercer de l’idée que la solution politique c’est l’intégration ou la francisation, qui ne sont et ne peuvent être que notre domination par la force que les gens d’Alger et nombre de bons militaires appellent «l’Algérie française», c’est une lamentable sottise. Or, étant donné l’état réel des esprits musulmans et celui de tous les peuples de la terre, étant donné les 150 000 hommes morts en combattant contre nous en Algérie, … il est tout simplement fou de croire que notre domination forcée ait quelque avenir que ce soit »

Par ce discours, on voit bien les objectifs affichés par le Général De Gaule : point d’intégration des indigènes mais seulement les assujettir en maintenant tel quel leur « alphabétisation » et leur pauvreté aussi, maintenir le code de l’indigénat tout en confisquant leur territoire si riche et stratégique à la fois. Une tentative de création d’une république Française d’Algérie à la manière de l’Australie ou de la nouvelle Zélande vis-à-vis de la Grande Bretagne fut imaginée mais jamais entreprise car cela risquait d’heurter les susceptibilités colonialistes alors puissants. Le projet resta trop vague pour les indigènes qui devaient se prononcer pour l’indépendance ou l’auto-détermination, le Général De Gaule n’a jamais était un grand communiquant durant toute sa carrière surtout avec ses proches collaborateurs. Voilà, il ne restait aux indigènes qu’à enlever les deux ff à souffrir pour garder le moral. Encore une fois on constate que l’arrogance de la France est aujourd’hui encore de mise par les déclarations d’un jean françois copé, d’une morano, d’un le pen & Co ou le bras d’honneur d’un Sénateur gerard longuet. Ces personnes sont tous d’anciens ministres de la république Française de la droite républicaine sauf le pen & Co, pauvre France grandeur et décadence par les agissements irresponsables de certains de ses élus. Je me rappelle qu’à un certain moment les politiciens de droite qualifiaient l’électorat Français de « France d’en bas » qualificatif utilisé d’abord par Raffarin récupéré par des moutons de panurges pour ne pas les nommer maintenant on ne le dit plus parceque jugé « politiquement incorrect ». Je qualifierai cette « France d’en bas » ces « politicards carriéristes » plutôt que les citoyens Français. Des politiciens utilisant des mots et des gestes honteux sans se soucier que des enfants à qui ils devraient donner l’exemple les observent peut être ? Comment pourraient on les éduquer après et leur donner un esprit républicain ?  Cette fois ci jean françois copé et ses semblables peuvent « se choquer » après avoir condamné tant de fois des sportifs pour des comportements préjudiciables certes mais moins grave que certains faits et dires émanant de politiciens irrespectueux (quelques fois sénateurs même) qui n’hésitent pourtant pas à condamner « les autres ». J’en reviens à jean françois copé qui parle de droite décomplexée, cela revient à dire juste une droite qui épouse les thèses de l’extrême droite donc qui devient une parallèle confondue à celle-ci si je comprends bien. Je pense aussi que le geste indécent de gerard longuet pourtant sénateur de la république en direction des Algériens n’a eté fait que pour entraver le bon déroulement de la prochaine visite de François Hollande en Algérie. Marine le pen qui dit à son tour que François Hollande va en Algérie pour ramper par terre ou faire des courbettes. Pourquoi tant de rancœur après cinquante ans de séparation ?  L’Algérien « politicien carriériste » grâce à sa qualité de fils de chahid qui répond à gerard longuet en lui faisant le même geste obscène ne fait que se mettre au niveau de ce triste personnage qu’est ce soi disant sénateur, je signale à tous que cet Algérien est le chef d’un parti politique nouvellement agréé donc faisant parti du sérail. Pour ceux qui n’ont pas suivi les affaires Algériennes, king boutef vient d’agréer 40 nouveaux partis qui ne peuvent qu’être que des « partis de camarades ». Cela se traduit par la récente visite d’Arnaud Montebourg en Lybie et par le rachat (peut être) par celle-ci d’une entreprise Française de raffinerie en redressement judiciaire. Je pense que la France a enfin compris qu’elle n’était pas obligée d’aimer les indigènes pour composer avec en affaires, l’heure est désormais au donnant donnant. L’Algérie devrait penser encore une fois à investir dans les ressources humaines par la forte présence en France d’une descendance formée et acquise à sa cause. Le partenariat se fait bien dans le sport, pourquoi pas ailleurs ? Des échanges par le biais de sociétés d’investissements mixtes Algéro-Françaises mettant en valeur ces ressources humaines qui pour beaucoup galèrent dans l’hexagone devraient à mon avis voir le jour. N’est-il pas triste de voir le Qatar faire partie de la Francophonie et l’Algérie peuple Francophone et Francophile de surcroît comptant plusieurs académiciens en son sein vient à peine d’y adhérer. Cela me rappelle malencontreusement les nouveaux riches Russes qui achètent des titres de noblesse au Royaume uni sans parler la langue du pays, ou va le monde ?

Revenons à cette « histoire d’amour » Franco-Algérienne avec beaucoup plus de bas que de hauts jusqu’à présent, je demeure toujours sceptique quand à cette pseudo indépendance que j’appellerai plutôt « l’indépendance du chaos ». A quoi bon célébrer le cinquantenaire d’une mauvaise gestion indigne faite surtout de roublardise, de malhonnêteté et d’incompétence. Quand je vois des associations d’handicapés et d’insertion fonctionnées grâce au bénévolat et au mécénat alors qu’à côté on ne se gène pas pour construire la mosquée la plus grande au monde avec un minaret de 280 mètres, de prêter cinq milliards de dollars au FMI qui hier encore nous mettait le couteau sur la gorge, effacer la dette de certains pays Africains et bien des choses encore avec l’argent du contribuable et la volonté propre du clan boutef. L’Algérie qui demande la repentance à la France pour les exactions commises par le passé mais qui va assumer celles du fln ? A-t-on oublié le massacre de Mellouza, l’assassinat de Khider, Krim Belkacem, Amirouche, Si El Haoues, et récemment Boudiaf, Benyahia, Kasdi Merbah, Boucebci, Matoub et consort. Fera t-on notre repentance ou continuera t-on de vivre dans le déni. Un pays qui falsifie ou qui occulte une partie de son histoire ne pourra jamais se construire. Balayons devant notre porte avant de dire aux autres de le faire. En réalisant des reportages tel que les 3 couleurs de l’empire coproduction d’Arte-Riff disponible sur mon blog www.kassaman.com lien http://www.kassaman.com/article-les-trois-couleurs-de-l-empire-source-arte-video-par-wideo-et-okbob-113268814.html la france a commencé à le faire timidement, au forceps mais elle a enfin commencé.

 Il est vrai qu’il y a eu des femmes et des hommes sincères qui se sont sacrifiés pour notre Algérie pour que ses enfants retrouvent leur dignité et vivent libres mais là on ne parle pas des mêmes personnes, ne mélangeons pas « torchons et serviettes ». N’exagérons rien, cinquante ans après « l’indépendance » l’heure est au bilan et non à l’autosatisfaction. Le triste constat que l’on peut tirer de leur gestion hasardeuse, malintentionnée et incompétente est qu’ils ne sont pas capables d’administrer sainement ce pays qu’ils ne méritent même pas d’ailleurs. La génération de l’après indépendance n’a connu que désolations et désillusions car régulièrement bâillonnée et privée de réflexion par ceux qui étaient présumé les libérer. J’en reviens aux dires de Ferhat Abbas : je le cite « quand à notre jeunesse, elle sera condamnée à ne plus penser. Le régime fabriquera des robots, des opportunistes et des courtisans ». Des questions datant de la révolution et bien après restent posées sans que personne n’y réponde, la délation ne venait pas que des harkis mais aussi de règlement de compte, de jalousies et comme dit le dicton : quand on veut tuer son chien on dit qu’il a la rage. D’accord la France doit faire son mea culpa mais les nôtres aussi, raison de plus parceque c’est les nôtres.  Pleins de phrases prémonitoires dites par de grands hommes de chez nous et d’ailleurs me viennent en têtes à commencer par celle de notre regretté Larbi Ben m’hidi (Allah yerahmou), je le cite : Je voudrais être soumis à des tortures, pour être sûr que cette chair misérable ne me trahisse pas. J'ai la hantise de voir, se réaliser mon plus cher désir car lorsque nous serons libres, il se passera des choses terribles, on oubliera toutes les souffrances de notre peuple pour se disputer des places ce sera la lutte pour le pouvoir, nous sommes en pleine guerre et certains y pensent déjà, des clans se forment. A Tunis tout ne va pas pour le mieux ; oui j’aimerai mourir au combat avant la fin, fin de citation. Ferhat Abbas qui a dit entre autre « un état confisqué est un état mort né » ou encore Georges BERNANOS en parlant des dictateurs «La force et la faiblesse des dictateurs est d’avoir fait un pacte avec le désespoir des peuples ». Aimé Cesare à propos de la colonisation : conquérir l’indépendance est une épopée, une fois conquise celle-ci devient une tragédie.

Algerian speaker qui...

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