Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Je n'aime guère ceux qui saturent ce club d'une avalanche de publications, et ce faisant relèguent les autres billets aux oubliettes en quelques heures... Je publie malgré cela une série de neuf billets - pardonnez-moi, billettistes du jour! - consacrés à un texte important.
Comme il me déplairait de passer pour un imposteur, je préfère annoncer clairement que je ne suis pas philologue ni helleniste. Ni non plus philosophe, ou alors comme tout le monde. Mais alors de quoi je me mêle? Voilà: j'aime Aristote, et le lis depuis longtemps; j'ai pris des notes au cours des lectures, et la série des billets est composée tant bien que mal à partir de ces notes. Elle suit à peu près l'ordre des chapitres du livre. Ce sont des notes d'un amateur. Je ne m'y interdis pas d'ouvrir un oeil sur notre situation politique. Le texte est d'un abord difficile, comme à peu près tout ce qui nous reste de cet auteur. On a même pu croire qu'il avait recherché l'obscurité... Je ne rentre pas dans ces difficultés, j'ai plutôt cherché à le suivre dans les grandes lignes de sa démarche. Si des lecteurs se trouvent, qui ont commencé cette lecture de la Politique, et ont été rebutés par les difficultés qu'íls y ont rencontré, peut-être auront-ils à cette occasion l'envie d'y revenir? Je serais bien fâché si au contraire je les en dégoutais !
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