Denis Sassou NGuesso préside le sommet extraordinaire de la CEEAC sur le Tchad à Brazzaville
Les chefs d'État et de gouvernement de la Communauté économique des états d'Afrique centrale, la #CEEAC ont tenu un sommet extraordinaire à #Brazzaville sous l'égide du président en exercice de l'institution africaine, Denis #Sassou NGuesso le chef de l'état congolais. Les leaders de la #CEEAC entendent accompagner la transition politique au #Tchad où l'armée a pris le pouvoir au lendemain de la mort inopinée du Maréchal Idriss #Deby Itno, tué au front lors des affrontements avec les rebelles, le 20 avril 2021. Trois chefs d'État ont effectué à cette occasion le déplacement de #Brazzaville. Il s'agit de João #Lorenço de l'#Angola, Faustin Archange #Touadera de la #Centrafrique, et Felix Antoine #Tshisekedi de la #RDC.
Les autres chefs d'État se sont fait représenter. Les dirigeants de la sous-région appuient le processus en cours au #Tchad, mais appellent à un retour rapide à l'ordre démocratique. Ils exhorté les partenaires financiers à soutenir le #Tchad en cette période cruciale.
Et si la gauche devenait la première force d’opposition au Palais-Bourbon en juin prochain ? Un scénario plausible qui pourrait, dans une certaine mesure, transformer le paysage politique, explique Olivier Rozenberg, spécialiste de la vie parlementaire.
Alors que le spectre d’un conflit long se précise, faut-il continuer, et jusqu’à quand, à livrer des armes à Kyiv ? Est-il encore possible de ménager une « porte de sortie » à Vladimir Poutine pour faciliter de futures négociations de paix ? Aux États-Unis comme en Europe, des dissensions commencent à affleurer sur ces sujets clés.
Les enfants représentent, avec les femmes, la majeure partie des déplacés internes et des réfugiés ukrainiens. Dans l’ouest de l’Ukraine, des orphelins de la guerre et des enfants placés tentent de se reconstruire une vie, loin de leur maison et de leurs habitudes.
Contrairement à 2017, où la plupart des candidats macronistes avaient accolé la photo du président de la République à côté de la leur, nombre d’entre eux ont décidé cette année de mener campagne sur leur propre nom. Face à la gauche et à l’extrême droite, certains veulent éviter d’agiter « le chiffon rouge ».
Je suis diplômée ingénieure agronome depuis décembre 2019. On m'a envoyé mille fois la vidéo du discours des diplômés d’AgroParisTech qui appellent à bifurquer et refusent de travailler pour l’agro-industrie. Fantastique, et maintenant ? Deux ans après le diplôme, je me permets d'emprunter à Benoîte Groulte pour répondre : ça dure toute la vie, une bifurcation. C'est tout le temps à refaire.
Nous sommes un collectif d'une petite dizaine de personnes, qui avons décidé, à la fin de nos études en politiques locales, de prendre à bras le corps les questions climatiques, énergétiques, sociales de demain, pour y trouver des réponses radicales. Voilà l'histoire de notre parcours, depuis notre rencontre en 2018, sur les bancs de l'université.
À la suite du retentissant appel des jeunes diplômés d’AgroParisTech à déserter les postes dans l’agro-industrie, nous avons recueilli de nombreux témoignages d’anciens étudiants « en agro » devenus paysans, chercheurs, formateurs, etc. Ils racontent leur parcours, les embûches et leur espoir de changer le système. Bifurquer, c’est possible. Mais il faut s’organiser !
Lors de leur cérémonie de remise de diplôme, huit jeunes ingénieur·es AgroParisTech ont appelé leurs camarades de promotion à déserter de leurs postes. « N'attendons pas le 12ème rapport du GIEC qui démontrera que les États et les multinationales n'ont jamais fait qu'aggraver les problèmes et qui placera ses derniers espoirs dans les révoltes populaires. Vous pouvez bifurquer maintenant. »