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Billet de blog 31 mars 2025

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Trigger Warning

Guerres, viols et voile occupent largement nos discussions, cherchons l’intrus·e. Je ne peux m'empêcher ici ce coup de gueule et proposer un moyen simple de s'exprimer contre une construction de pensée qu'on nous impose, qui pourra je l'espère, inspirer quelques personnes.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Amorce

Bon, je vais essayer de ne pas m'égarer dans mes pensées, tant le flot de l'actualité disparate m'interpelle, d'autant plus que dans la plus part des cas j'y lis, au choix, une position machiste, ou un impensé féministe.

Je vais parler de ce qui se passe passe en France et m'abstenir de toutes références extérieures que ce soit Trump ou Thatcher, l'Afghanistan ou l'Iran, pour ne citer que les plus classiques.

La cible : les VSS

Nous y voilà. Le sujet a éclos dans la presse et dans les discussions avec le «#MeToo » Hollywoodien. Ce n'est pas qu'il n'existait pas, mais c'était alors, un fait divers, sensationnel rempli de monstres et de passions.

Aujourd'hui, les écrits, les prises de paroles au sujet des VSS sont souvent précédées du fameux « trigger warning », ou « avertissement », comme si ces informations étaient plus difficiles à lire que d'autres, comme s'il était plus difficile d'entendre les récits que de les vivre.

Les scandales des VSS, tel un cadavre en putréfaction enfermé dans un coffre fort, émerges par son émission de gaz. Les bulles qui éclataient à la surface d'une eau réputée paisible, n'avaient, semble-t'il, et n'ont peut-être toujours pas assez alertées du massacre qui avait et a toujours lieu. Alors, comme des marronniers au printemps, on égrène les affaires . Ces derniers mois, elles se succèdent de plus en plus rapidement n'ayant cure des saisons, « Mazan », « Bétharram », « Le Scouarnec », puis encore « Morandini » et « Depardieu » retiennent l'attention des médias. Et, là, tout à soudain, le fragile esquifs de la domination vacille et rame de toutes part pour ne pas sombrer.

Des femmes dénoncent ces violences, les analysent, cherchent des solutions depuis longtemps. Oui, même dans un « avant » fantasmé.

Avant j'étais déjà choquée, avant j'étais déjà anéantie, avant, je n'ai pas trouvé beaucoup d’allié·es.

Aujourd'hui je n'ai pas envie qu'il y ai d'autres victimes. Le plafond de verre blindé construit par ce patriarcat qui laissait les femmes sans souffle commence à se fissurer. L'arrivée de la parole des hommes victimes de ces violences est tout à fait bénéfique à ce combat qui nous unis, nous tous et toutes qui ne voulons pas que ce qui a détruit nos vies soit imposé à d'autres.

En effet, nombre d'entre nous ont subit ces violences alors qu'ils ou elles étaient enfants, et alors que les conséquences nous impactent encore aujourd'hui, nous avons bien du mal à nous définir comme « enfant », pas envie de nous définir comme « victime », et bien du mal à avoir accès à une justice.

Nous avons eu une vie pour réfléchir à ce que cela raconte de notre société, une vie de survie, une vie pour comprendre qu'il est difficile de remettre en question une construction sociale.

Les victimes de ces crimes sont (parfois) encore vivantes, mais on ne sais toujours pas quoi faire de leur parole. J'écoute les entretiens de la commission de l'Assemblée Nationale, et j'ai, encore une fois, entendu l'incompréhension de l'omerta. L'omerta est pour moi le nouveau mot qui désigne ce fameux tabou qu'on nous disait universel, c'est un pilier de ce qui constitue notre système, c'est le silence. Ce silence organisé pour maintenir les familles, les groupes, car « si tu parles, tu va détruire ce qui au fond te protège (😠) et surtout, ce qui, nous, protège. ». La vraie question, n'est pas seulement, qu'est que tu ferais si ça arrivait à ta mère, ta fille, ta sœur, ton amie, mais si c'était ton père, ton frère, ton fils, ton ami qui avait commis ce crime ?

On a, avec « #MeToo » passé un cap, la parole a pris de l'ampleur. Cette clameur dérange soudain l'ordre établi, fait vaciller les certitudes, alors elle se confronte soit à la surdité, soit à sa qualification d'hystérie. Car, il s'agit bien d'un changement fondamental de construction de notre société auquel nous devons nous atteler. Les luttes LGBTI sont si proches des luttes féministes, dans ce questionnement fondamental qui est, ad-minima, le concept de famille comme cellule unique et minimale de la domination.

C'est pourtant simple, la lutte, appelée « féminisme », celle que je nomme ainsi, est le nom de propositions qui offrent, non pas une autre alternative, mais un multiple de possibles. Que ce soit un changement de paradigme, d'eschatologie, ou plus simplement de rêve, il me semble que c'est aujourd'hui nécessaire d'y consacrer un peu plus de temps que ce que les politicien·nes, qui semblent découvrir pour la n-ième fois, des crimes déjà analysés par la CIIVISE et par de nombreureuses chercheureuses et associations, veulent bien accorder. De multiples propositions ont été faites qui concerne la prévention, l'éducation, le soin , la justice, il suffirait d'y mettre les moyens, mais les politiques regardent ailleurs, il y a plus urgent, il n'y pas d'argent.

Guerre, guerre, vous trouvez que j'ai une gueule de terroriste ?

Quitte à parler de terrorisme, parlons du terrorisme du viol.

J'ai parfois l'impression que l'on ne compte que les femmes mortes, les victimes d'une guerre, d'un féminicide. Des femmes rangées dans une impuissance de ce qui leur arrive. L'agressivité d'une construction sociale qui est incapable d'honorer ce que génère les femmes, la terre, ce que les enfants sont une promesse d'avenir sont absentée des discours. Majoritairement, une construction sociale qui honore domination, exploitation et compétition comme seule « alternative », serait la seule finalité à un soi-disant progrès.

Le patriarcat serait « vieux comme le monde », ça remonterait à la préhistoire, comme s'il s'agissait d'un point zéro de notre civilisation actuelle, notre histoire serait vieille comme le monde, surtout quand il s'agit de parler des putes et des guerres, pas tant que ça quand il s'agit de parler de migration, ou de mélange. Une histoire, imaginée au XIXe siècle, construisant en réalité un patriarcat légal dont nous avons bien du mal à nous défaire. Ce siècle envahi par des références « gréco-romaines », n'en retenant que la « puissance » des hommes, qui auraient évolués vers un progrès monothéiste, et voilà qu'on nous parle d'une civilisation « judéo-chrétienne », encore sortie de nulle part.

À ce propos, je ne saurai que vous recommander les podcast de Manon Bril et en particulier celui-ci :

https://www.youtube.com/watch?v=gzxdZsT6Lpg&ab_channel=C'estuneautrehistoire

Également, le livre de David Graeber et David Wengrow,iii qui à travers des sources qui ont inspirées « nos philosophes des lumières », celles apprises pendant la découverte « des Amériques », font état d'un pluriel des possibles d'organisations de la vie en société.

Alors, oui, il y a pleins de possibles, et non pas «TINA » (There is no other way), « il n'y a pas d'autres chemins ». Il n'y aurait qu'une autoroute, à prendre. un chemin unique et balisé, qui ferait gagner du temps, ce temps qu'on fait passer avec des futilités, c'est juste au moment du péage qu'on s'indigne.

On peut s'insurger contre la stabilité qui ne concerne que ceux qui ne veulent pas bouger de leur iceberg en train de fondre, et prendre notre route périlleuse et pleine d'embûche pour nous autres qui faisons partie de cette terre sur laquelle nous sommes.

On peut prendre plein de chemins divers et variés, s'éparpiller, se croiser, se perdre et se retrouver, prendre des chemins de traverse, mais surtout prendre le temps d'être là ici et maintenant sur la route, ne prendre ni l'A69, ni la croyance que les élections de 2027 sont un objectif.

S'il s'agit de parler de guerre, c'est plutôt celle-ci que nous avons à mener de toute urgence. D'après les chiffres du ministère de la justice, les viols représentent à peu près 60 % des crimes. Notons que ce chiffre qui devrait déjà affoler les législateurs, ne correspondent qu'aux viols qui ont été jugés, c'est à dire 1 à 2 % d'entre eux.

Pour faire la guerre, faut-il s'armer, je ne sais pas, personnellement, je ne me sens pas capable de tuer quelqu'un. Je préviens l'éventuelle objection, oui, je me suis déjà retrouvée face à une personne armée et bizarrement je m'en suis toujours sortie à la tchatche. Oui, j'ai eu de la chance, mais, je crois bien qu'on ne tombe heureusement que très rarement sur un sociopathe. On le sait, le danger le plus courant en matière de crime est « à la maison » ou avec des proches. Tout ça pour dire que je ne sais pas si une guerre est imminente, mais qu'il me semble possible de trouver les 2,6 milliards d'euros que demandent les féministes pour parer au plus pressé, et quelques milliards supplémentaires pour l'éducation et la santé au regard des 300 milliards apparus magiquement pour préparer la guerre. C'est pour ça que dans un premier temps, je propose deux idées non létales pour entamer notre lutte.

Le « trigger », la « détente » , la « gâchette » ou le « déclencheur »

Nous on dit : « le doigt sur la gâchette», je crois bien qu'il faudrait dire : « le doigt sur la détente »,

« La détente », c'est marrant quand un mot qui nous semble sympathique peut prendre place dans une menace. Les mots changent souvent de sens, d'usage, voire même de prononciation, c'est pour ça que la communication peut sembler complexe. Les mots sont le vecteur entre l'émetteur et le récepteur, et les intervenant·es de ce trio font partie de l'énigme de la communication. On est nombreureuses (perso, j'adore l'adjonction de « eureuses » qui féminisent les mots qui finissent en « eu(x) »), à penser que non seulement les mots ont un sens mais qu'ils permettent de construire une pensée. Comment penser quand les mots perdent leur sens, ou en changent, comment penser quand le parole libérée (délivrée, 😎) n'est pas écoutée ?

Pour ma part, je me souviens bien du moment ou monsieur Macron a décrété tout seul cette nouvelle règle de grammaire : le masculin est le neutre.

Sérieux, émoji les yeux écarquillés et la bouche ouverte.

Je m'étais bien habituée à entendre et à lire, un peu plus de féminin au quotidien. Sa soudaine absence m'a laissée, comment dire... perplexe. Du coup quand il n'y a de moins en moins de féminin dans les discours, dans les écrits, dans les paroles, c'est un peu comme si je ne faisait pas partie de ce qui est dit.

J'ai souvent été montrée du doigt parce que je n'étais pas trop douée en orthographe (en même temps c'était moins grave que d'être nulle en math), en fait j'ai appris, réappris, réréappris l'orthographe, la grammaire, parce qu'à un moment, il le faut, (ou pas), pour devenir crédible.

Mais, quand j'entends dire que de féminiser quelques mots de temps en temps, que de suivre les règles déjà existantes seraient trop difficile, que j'entends, je vois que nous disparaissons, qu'on se réfère aux règles du verbe avoir, si compliquées, plutôt qu'à celle du verbe être, ça veut dire pour moi que c'est difficile pour les hommes de prendre en considération les femmes.

Ils me semble que cette déclaration de masculinité d’État est passée inaperçue, qu'elle n'a pas soulevé tant d'indignations, et a été adoptée même au-delà des vieilles règles de grammaire classique qui laissaient apparaître de temps en temps un accord au féminin. Tendez l'oreille, il n'est pas rare d'entendre des phrases telle que : « la décision que j'ai pris », « Madame x est très pertinent »...Mille petits détails i qui absentent les femmes, les catégorisent, particulièrement quand on parle des métiers, si l'infirmière occulte les infirmiers, l'agriculteur occulte les agricultrices...

Alors je ne suis pas la police de la langue, je suis curieuse d'apprendre de nouveau mots, de nouvelles tournures, j'adore les analyses des linguistes atterré·esii je suis juste en train de me questionner sur cette disparation massive de mots et d'accords au féminin. Je n'arrive toujours pas à comprendre l'argument : « c'est trop difficile », franchement dans la langue et grammaire française, qu'est ce que vous trouvez simple ? Et les dyslexiques que vous prenez soudain en considération, leur avez-vous posé la question de ce qui leur simplifierai la vie ?

Bon, je range ma colère dans ma poche et mets mon mouchoir par dessus, mais je vous demande un petit pas, juste mettre un petit peu de féminin de temps en temps dans vos mots, pour que ne nous disparaissions pas de nos pensées.

Qui tient l'arme ?

Parce que concrètement, l'urgence des hommes politiques, ce n'est pas de vouloir prendre en compte les VSS, ce n'est pas d'avoir peur de mecs avec des kalach, non, c'est d'avoir peur de femmes avec un voile !

Ce mois-ci, on a manifesté pour le droit des femmes et contre le racisme. Ces luttes conjointes se rejoignent et s'allient aux autres, par leur rejet d'une domination, usurpée. Leur argent contre notre soumission, leur argent contre notre espoir. Ils s'érigent en vainqueurs d'une compétition dont ils formulent les règles. Mais ils ont un talon d'Achille. Si ces milliardaires ont besoin de nous convaincre en achetant des médias en prenant la main sur le « mainstream », c'est bien qu'ils ont besoin de convaincre un certain nombre d'entre nous pour maintenir leur position. Seuls, ils ne sont rien. Il sont minoritaires, cela a déjà été dit.

Je me demande si nous ne ressemblons pas aux grec·ques qui vénéraient les dieux et les déesses de l'olympe qui croyaient-ils, elles, décidaient de leur sort ? Mille ans de civilisations grecques, une multitudes de constructions sociales, résumées en un mot « démocratie ». Ce mot magique qui reflète plusieurs configurations, fait référence à plein de réels, de possibles ou d'imaginaires.

A propos de déesses, je ne peux m'empêcher de penser aux icônes qu'on nous présentent, de Joséphine Baker à Norma Jeane Baker aujourd'hui ce sont Gisèle Pélicot, Gisèle Halimi, qui comme d'autres si mal traitées dans leurs vies, sont parfois louées, sans laisser de place à leur réelles revendications. Le calme, le charme, la beauté, la pondération sont mis à l'honneur, elles savent que leurs révoltes seraient qualifiées d'hystérie, de laideur, d'inconséquence, alors elle n'ont pas seulement fait ce qu'elle ont pu faire, ce que la société leur autorisait, mais ont profité d'une minuscule ouverture pour ouvrir plein de portes.

Il parait qu'il faut lutter contre l'islamisme, ce mot veut dire (d'après le site du cnrtl),  la religion des musulmans. Soyons clair·es, que penserions nous d'être enjoint par une société qui se proclame laïque de lutter contre les signes publiques de catholicisme, comme quand les cloches des églises envahissent notre espace sonore. Il y aurait des phénomène qui envahissent l'espace public, qui seraient plus grave que d'autres. Les "bonnes sœurs" voilées ne poseraient aucun problème, le catholicisme, qui a couvert le viol de nombreux enfants,  a-t-il pardonné les auteurs, au nom de la confession liée à un secret nécessaire et suffisant en lui même. Il faut quand même se rendre à une évidence historique, ni le judaïsme, ni l'islamisme n'ont eu d'influence majeure dans l'histoire de France. Par contre le catholicisme a bien coopéré à un pouvoir royaliste que la Révolution a combattu, et il a fallu encore une centaine d'années pour qu'une république tienne un peu le coup, et s'arme d'une loi de laïcité pour cantonner le catholicisme à sa place. Aujourd'hui, le monarchisme catholique tente d'annuler ce processus tente de s'affirmer en continuant de nous faire croire qu'il existe "un ennemis intérieur".

Alors, on se retrouve confronté à un vieux problème, c'est assez malin, enfin jusqu'à un certain point, celui qui révèle plus leur état de pensée que celui de qui que ce soit d'autre. Le danger, c'est les femmes.

Youpi !

Ils ont raison, les femmes ont été souvent à l'origine ou motrices de révolutions, qui les a souvent très vite oubliées, voire dénigrées. Pour la faire courte, je dirais bien, qu'il serait temps que la ceux et celles qui veulent lutter contre toutes sortes de dominations, prennent en compte des revendications de femmes.

On a mis plus d'un siècle à se débarrasser de la loi qui interdisait aux femmes de porter un pantalon, (oui, et d'obtenir le droit de vote, le droit non pas de travailler mais d'être payée pour son travail (parfois), le droit de disposer de son argent, le droit d'élever ses enfants, de tant et tant de droits), est-ce qu'il faudra encore perdre du temps pour lutter contre celle de porter un foulard ? alors que tant d'autres droits nous sont encore refusés ? Ont-ils déjà promulgué une loi, une loi,vraiment une loi, pas un code de reconnaissance sur des normes vestimentaires concernant des hommes ?

Je note au passage, oui, la langue est ma marotte, en écoutant les diatribes de ceux qui soutiennent cette loi, on ne parle pas de « femmes », mais de « filles ». Oui, des enfants que ces braves employé·es de la république, voudraient protéger à leur insu. La boucle est bouclée, voyez ci-dessus, ce que des femmes et des hommes demandent.

Alors m'est venu une idée, avec ce qu'ils appellent une polémique qui traine depuis trop longtemps, sur le voile ou le foulard, c'est de porter moi-même un foulard sur la tête. J'en ai un très joli rouge à pois blancs que ma marraine m'a offert il y a plus de … beaucoup de temps (je vous jure, c'est vrai), que je mets aux manif, et que j'essaie de porter de plus en plus souvent. (Vous voyez, je ne demande pas que les hommes soient pendus, émasculés, torturés sur la place publique, cela ne réside que dans vos fantasmes, non pas dans nos revendications.)

De fil en aiguille, je me suis dit que si on était nombreuses, voire nombreux, à porter un foulard sur la tête dans la rue, ça pourrait marquer, simplement, sans que ça nous coûte de l'argent, une solidarité féministe et antifasciste. Nul besoin que ce soit un keffieh, un foulard Hermès solidaire peut faire l'affaire. Voilà la fichue guerre que je propose.

J'en suis là de mes réflexions incomplètes et complexes. Mais on peut aller plus loin que de porter un foulard. Bien sûre avec modération et présumé·es innocent·es.

i- Par exemple, par curiosité et peut-être masochisme, j'avais écouté les discours de passation entre MM. Attal et Barnier, dont les femmes et le féminin sont quasiment absent, si ce n'est pour le premier de remercier ses collaboratrices et pour chacun d'entre eux de louer abondement leur mère. Mais pour prolonger le jeu, vous pouvez écouter n'importe quel discours et chercher la femme.

ii- Les linguistes atterré·es : Le français va très bien merci » ed :Tracts Gallimard N°49

iiiDavid Graeber & David Wengrow : Au commencement était... Une nouvelle histoire de l'humanité ed :Les Liens qui Libèrent

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