C'est pas "ferme ta gueule" que Samir aurait du dire, mais fermez vos gueules. A ce faire vilipander de la sorte par une bande de journalistes people, il aurait même pu pousser jusqu'au bras d'honneur. Il aurait surtout du se rendre compte avant d'oser une telle riposte, que les journalistes de nos jours ont un courage tout relatif; ils aboient quand ils sont beaucoup et ne mordent jamais la main des bourreaux des temps modernes. Entre le twitte de Valerie et le "doigt" où je pense de Samir, une journée entière s'est écoulée sans une minute de pédagogie, c'est vrai que des sujets tel que le renflouement des banques espagnoles, la sortie de la Grèce de la zone euro, les affaires Sarkosy ... qui s'en souci. Vous pleurez comme des vierges dépucelées un soir de cuite. On vous dit de vous taire, vous l'avez tous les jours la parole, alors pourquoi nous saoulez de sujet sans interêt et sans lendemain à longueur de journée? Aller que diable, un peu de courage quitte à la mordre, la main, qui vous nourrit, dites les vérités qui dérangent. Pour les plus courageux, je pense que Mr Plenel pourra toujours vous trouvez une place chez les indépendants. Si les salissures du cambouis de la réalité, vous freinent à ce point. Laisser parler les derniers Hommes médiatiques de France: Soral, Meyssan, les journalistes de médiapart, Dieudonné (condamné à l'exil de l'écran plat injustement car non condamné juridiquement) et beaucoup d'autre volontaire prêt à dire une autre vérité, la vérité qui gêne au début mais qui soulage à la fin.
Billet de blog 14 juin 2012
Les journalistes n'aiment pas se faire fermer leurs gueules (pourtant avec se qu'ils en font).
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