Sur l'Expo-Evènement PIAF à la BnF,
Objet: un parolier oublié: Rene ROUZAUD
Le samedi 23 mai dernier, je suis allé visiter l’Expo-évènement sur Edith PIAF à la BnF .
La scénographie de l’exposition est parfaite de part sa variété et les diversesillustrations, néanmoins, la dernière photo de PIAF sous cortisone, m’a choqué car on préférerait repartir sur un meilleur souvenir.
Etant l’ayant-droit de mon oncle René ROUZAUD pour la SACEM (n° 832.447.01), il est de mon devoir de défendre sa mémoire, c’est le motif de cette lettre car son nom n’est pas cité dans toute l’exposition, ni dans le catalogue général.
Or, Edith PIAF et René ROUZAUD ont été très amis depuis 1951 avec lamagnifique déclaration d’amour de « Avant nous » sur une musique de Marguerite MONNOT.
« Mister Callaghan » en 1953 sur une musique d’Eric SPEAR
En 1954, deux autres chansons d’amour remarquables aussi : « Heureuse » et surtout « La Goualante du Pauvre Jean » qui fit le tour du monde.
« Enfin le Printemps » toujours sur une musique de Marguerite MONNOT en 1955.
Pour être exhaustif, il faut citer encore: « J'en ai tant vu »sur une musique de Michel EMER en 1963.
René ROUZAUD a écrit les paroles d’au moins six chansons que PIAF a interprétées; l’une d’entre elles aurait pu figurer dans l’exposition, ce qui justifie mon intervention.
J’aurais aimé vous confier pour cette exposition : quatre lettres remarquables dePIAF, un télégramme, une photo Harcourt dédicacée avec « Pour René avec tout mon coeur Edith »), des vinyles, des petits formats…
Je regrette que vous ne m’ayez pas contacté par la SACEM, car il suffit de taper sur
GOOGLE «René ROUZAUD » pour obtenir, denombreux renseignements.