J’ai trouvé le câble, donc je câble.
Tu vois, ami, j’ignore encore qui tu es, je te connais de rares qualités, on sait ça, on s’en est gavé, de compliments, des défauts honteux maintenant que tu es parti de chez ouam plus allumé qu’un ouistiti without attitude, et surtout amie, lecteur consommateur, je suppose que j’impressionne un peu avec ma thune, mes murs et mes portes-fenêtres, veux-je dire, mon chagrin au travail, mais les larmes, vous savez, c’est une maladie de pédé, on a vainement et dégueulassement tenté de me le faire comprendre, qu’ils aillent d’où ils reviennent.
Car apparemment ils reviennent tous, ils en ramènent tous, avec des mandats de Zeus, avec la langue chargée.
Moi, je n’ai jusqu’ici pas frimé de trop, peut-être que je planquais mon jeu depuis l’inoculation de l’hormone de croissance qui me métamorphoseront bientôt, selon l’effet escompté, en phénomène trop amoché pour certains esthètes.
Si le diable veut bien jouer…
Mais attends, Diable, je publie sur Mediapart.