Personnellement, avec les femmes, je ne sais plus où donner de la tête : la L qui me dit quand même « Bonjour » le matin, et même parfois me sourit, à qui je n’ose encore, et ça me tue de le dire, ouvrir mon âme amoureuse, la flamboyante Camille, seule fille d’Étampes à oser s’afficher avec moi, à me toucher l’épaule, à me sourire, aïe, ça fait de nouveau mal…. Et puis, tout dernièrement, comme cela devait arriver, j’ai été foudroyé par la beauté, mariée à une assurance de roc, and Roll, d’une journaliste de Mediapart de qui j’ai (in)volontairement provoqué un joyeux rire joliment contenu. Ben, c’est vrai, Abonnez-vous, qui c’est-y donc qui l’a inventé, l’argent ? Et la politique ? Qui c’est qui l’a pondue, celle-là ?
Mobile comme une pointe,
Fort comme un gorille géant,
J’aime à m’asseoir, mais en Orient.
Je kiffe me dire mieux que je ne suis sans savoir/trop/pourquoi.
Sot comme le prochain bâtard,
Rebelle et rêveur solitaire et auteur,
L’éveil après le réveil l’alcool et la sueur ;
Mais en attendant, je note que le parâtre a peur.
Être si méchant et insidieux hypocrite
Me bassiner avec les détails du caveau de tes voisins
Alors qu’on déjeune, tous deux étonnés du raffinement de ta lasagne surgelée,
Ne pouvant réprimer ton index obscène de jouer avec le bord du set
Pas de bouchon de liège sur la table, ça va, hein ?
Moi, tu sais, je prends prochainement un RER mystère,
Voir du monde, du monde dehors, hors de tes murs ;
J’ignore, après 52 ans, ce qui te rend si menteur, soit, sourd,
Mais comme je suis fatigué de courir derrière la carotte,
Tiens, le voilà, mon lapin à moi, moi l’âne bâté, je laisse ce billet à des gens qui ne feront pas semblant de ne pas l’avoir lu. Oui, parle à mon cul.