Bonjour!
A l'aube d'un singulier crépuscule, je me souviens.
Je me souviens de tous les malentendus générés ici par mes mots avec mes virtuels co-locuteurs...
Je me souviens des arcanes de la rencontre dès lors que notre idiolecte nous sépare de toute autre langue...
Je me souviens de Queneau et Dubillard...
Alors je tente: parler les choses.
Idioblogue 1:
La vie: fétu infime sur l'océan des impossibles...
La mort: tache insignifiante dans l'univers des improbables...
L'existence: décalage léger dans le vaste champ du non-sens...
L'amour: confetti dans la tourmente de l'expérience...
Pleineaile