Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Trop nombreux sont encore les Français qui ne se sentent pas concernés par la politique ; et le ras le bol du peuple, qui s’exaspère à force de manger son pain de misère, finira bien par briser, le miroir politique qui reflète la réalité concrète de la décrépitude sociale générée par le monde des sphères gouvernantes d’en haut. Ce n’est sans doute pas la politique de Monsieur Sarkozy qui va changer les choses. Réforme des heures supplémentaires, franchise médicale, franchise sociale, toutes ces propositions de ruptures pour lesquelles plus de la moitié des Français ont voté, comment l’autre moitié peut elle défendre un humanisme social lorsqu’une majorité prône la moralisation du capitalisme, et que l’on souhaite inaugurer l’ère du capitalisme familiale, dans ce genre d’humanité les plus défavoriser sont considérés comme une tare sociale qui empoisonne la vie des riches. Le capitalisme c’est bâti par la domination du plus fort sur le plus faible, comment croire à un capitalisme à visage humain lorsque l’on sait que la main d’œuvre roumaine coûte dix fois moins chère que la main d’œuvre française. Les syndicalistes ont défendus le partage du temps de travail, et aujourd’hui le gouvernement les entraîne sur la pente glissante des régressions sociales. Peut on raisonnablement penser qu la France va de l’avant ? Mr Sarkozy n’est t’il pas au sein de l’Europe le gouverneur de la province France, comme l’a dit récemment Mr Le Pen ? La mondialisation c’est le règne du grand capital, mais c’est aussi la fin de l’humanisme sociale, si nous petites gens du peuple ne reprenons pas entre nos mains notre destin nous finirons comme compte pour rien. Un renouveau socialiste doit se lever pour faire face à un capitalisme outrancier et décomplexé pour qui les plus défavorisés ne représentent que la tare de la société.
Slaite
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