Pour ne pas perdre les 65 milliards F.CFA qu'elle veut extorquer à la famille Bongo Ondimba, Chantal Myboto n'a pas hésité à s'adonner à un long strip-tease dans un journal de la meilleure espèce. Ce à quoi nous avons répondu, question par question...
Echos du Nord: Il y a actuellement tout un raffut au sujet de votre fille Onaida dans les médias. Au point que monsieur Ali Bongo Ondimba est intervenu sur les antennes de RFI. Que pouvez-vous dire à nos lecteurs pour les éclairer ?
Chantal Myboto-Sandja-Assiah-Gondjout-Ondzounga : Je vous remercie de me donner l’occasion encore une fois de m’exprimer sur ce sujet. Je voudrais commencer par ce qu’Ali Bongo a dit sur les ondes de RFI. Comme moi, vous l’avez entendu. Je trouve cela dommage et regrettable qu’à ce niveau de responsabilité il puisse manquer de franchise. Onaida est une enfant naturelle d’Omar Bongo Ondimba et de Chantal Myboto. Et à ce titre, dans le droit gabonais, il a les mêmes droits que lui. Encore faut-il qu’il puisse, lui Ali Bongo Ondimba, prouver sa filiation. En revanche, ce que je sais, Onaida étant mineure, à la demande de Pascaline, j’ai signé un document pour reconnaître 26 enfants d’Omar Bongo. Ce document leur permettait d’entrer eux dans la succession et il fallait que ce soit les enfants qui les reconnaissent comme étant leurs frères et sœurs. Je pense que ce document vous l’avez, vous pourrez en produire les copies. Maintenant Ali Bongo Ondimba est une bête traquée et comme toute bête, elle se défend comme elle peut. Ce que je peux comprendre. Je trouve que sa défense est légère et ne correspond pas du tout à celle d’un aîné et de quelqu’un qui veut se positionner comme chef de famille.
Réplique des Fossoyeurs du Gabon : Voilà ce qu'il faut bien appeler un bon raccourci de l'histoire. Nous l'avons déjà dit, le positionnement, ou plutôt le repositionnement de Chantal Myboto dans la famille d'Omar Bongo Ondimba se fait à la fin du mois d'août 2006 à Nice, en France. Toute la famille Bongo Ondimba se retrouve à la Côte d'Azur pour l'anniversaire de Yacine.
Déjà souffrante, Maman Edith Lucie est naturellement absente. Pour combler cette absence, Chantal est sollicitée pour venir jouer le rôle de bouche-trou. Une aubaine pour celle qui, depuis son "mariage" avec son gigolo, tirait déjà le diable par la queue. Elle en profite évidemment pour pouvoir définitivement régler ses problèmes.
Comme condition principale, Chantal exige que pour venir jouer à la maman occasionnelle de la famille, Omar Bongo Ondimba doit accepter que sa fille Onaïda Maïsha Myboto, puisse enfin porter le nom Bongo Ondimba.
Un nom qu'Omar Bongo Ondimba a fait porter, dès 2003, à tous ses enfants, à l'exception de la seule Onaïda Maïsha Myboto. Cela est un fait incontestable et Chantal ne peut apporter la preuve du contraire puisqu'elle a été obligée de faire changer le nom de sa fille de Myboto à Bongo Ondimba par jugement du tribunal de grande instance de Nanterre en novembre 2006. Soit, 3 ans après tous les vrais enfants.
Une fille naturelle qui obtient, par transaction, le port du nom de son père 16 ans après sa naissance et, non pas par vœu de son géniteur, mais par décision de justice, c'est quand même fort de café. Il n'y a que chez les Myboto où de telles gymnastiques patrimonio-filiales sont possibles. En tout cas, Ali Bongo Ondimba porte le nom de son père depuis sa naissance en 1959 à Brazzaville.
La preuve de cette vérité ne se trouve pas dans un tiroir d'un juge ou d'un Consul, mais dans les archives de l'état civil de l'AEF à Nantes, dans la Loire Atlantique. La différence est ainsi limpide : Omar Bongo Ondimba a donné son nom à son fils Ali Bongo Ondimba alors que c'est un juge qui a donné le nom Bongo Ondimba à la fille de Chantal.
C'est dire que contrairement à ce qu'elle a raconté à nos confrères de la meilleure espèce, la signature qu'elle a apposé résulte des accords de Nice. Il s'agit, ni plus ni moins, que de sa contrepartie à l'acceptation par Omar Bongo Ondimba à ce qu'un juge décide du port de son nom par cet enfant.
En tout cas, c'est le seul cas dans ce pays, où l'on voit un enfant portant le nom de son père par décision de justice. Et, pour être bien clair, il ne s'agit pas, comme pour le reste des enfants Bongo Ondimba, du simple ajout Ondimba au patronyme Bongo, mais bien du changement de Onaïda Maïsha Myboto, en Onaïda Maïsha Bongo Ondimba.
Aussi, en cas de contestation de ce qui précède, nous mettons au défi Chantal ou "Echos du Nord" de publier la déclaration contenue dans le registre d'état civil du Consulat du Gabon en France.
Et au cas où ils auraient ont honte de s'y plier, qu'ils nous autorisent solennellement et publiquement à le faire et les Gabonais apprécieront enfin l'ampleur du mensonge qui les habite. Osez donc nous autoriser à publier la déclaration de naissance d'Onaïda Maïsha Myboto !
Echos du Nord : Nous voudrions revenir sur ce qu’Ali Bongo a dit, à savoir que c’est lui qui a insisté pour que Onaida figure sur la liste des héritiers.
Chantal Myboto-Sandja-Assiah-Gondjout-Ondzounga : Ali Bongo Ondimba n’est même pas capable de présenter son acte de naissance à lui et comment peut-il faire en sorte que ce soit lui qui fasse qu’Onaida figure dans le testament. La loi gabonaise est claire. Elle prévoit qu’à partir du moment où un enfant est reconnu par son père, il est tout de suite considéré comme un héritier dans la succession. Je crois que le seul enfant d’Omar Bongo né hors mariage et reconnu dès sa naissance est Onaida. Elle a été reconnue, avant même sa naissance puisqu’elle est née le 18 décembre 1990. Et j’en veux pour preuve l’acte de reconnaissance de l’enfant à naître Bongo ; acte numéro 215 fait à Libreville le 30 novembre 1990 et signé d’Omar Bongo lui-même. Et dès qu’elle est née, elle s’appelait déjà Onaida Bongo. En qualité de quoi peut-il avoir mis Onaida dans la succession ? Les 26 autres, oui, ils ont eu besoin de les mettre dans la succession parce que leur filiation avec Omar Bongo Ondimba n’était pas établie. Voilà la vérité. Parce qu’il fallait faire un lien de filiation entre ceux-là et les autres et cela a été fait devant le notaire, Me Lydie Relongoué, les documents en font foi. Mais vous ne verrez pas Onaida dans la liste de ces documents. Quel est le document qui prouve qu’il a mis Onaida dans la succession ? Que notre soi-disant docteur en droit nous présente le document qu’il a signé pour qu’Onaida soit dans la succession parce que moi je peux présenter le document que j’ai signé pour que les 26 autres soient dans la succession.
Réplique des Fossoyeurs du Gabon : C'est vraiment triste et affligeant d'entendre un ancien maire débiter de telles inepties. Quel beau festival de mensonges doublé d'une formidable méconnaissance du droit Gabonais. Les magistrats et les initiés de la chose pourront aisément le confirmer, il n'existe point, comme elle le chantonne bêtement, un " acte de reconnaissance de l’enfant à naître" dans le droit gabonais.
Le droit gabonais permet au géniteur de ne reconnaître un enfant qu'après sa naissance. La grosse magouille qu'elle est allée manigancer au Consulat de France à Libreville ne regarde pas le droit gabonais. La vraie question est celle de savoir si ces acrobaties juridiques sont applicables au droit gabonais.
S'il est vrai que présentement, Monsieur Ali Bongo Ondimba ne peut apporter la preuve palpable de sa paternité dans la décision d'ajout d'Onaïda dans la succession, il reste que plusieurs frères peuvent le confirmer. Même ceux-là que Chantal citent en exemple.
Mais que Chantal soit rassurée. Pour nous et au regard des responsabilités qui sont les siennes, il est peu probable que Monsieur Ali Bongo Ondimba se préoccupe d'une reconnaissance en ce sens.
Pas plus qu'il n'en attend de la pension alimentaire qu'il verse mensuellement à sa petite sœur et sur laquelle Chantal est restée bien muette. Sans doute parce qu'elle sait que cette pension peut-être aisément prouvée, document à l'appui...
Echos du Nord : Sur l’affaire de Nantes, quels sont les tenants et les aboutissants ?
Chantal Myboto-Sandja-Assiah-Gondjout-Ondzounga : Nous nous sommes retrouvés à Nantes pour une raison simple. Lorsque Omar Bongo décède, ma fille est mineure et en tant que mère, je gère les différents documents qui sont demandés pour elle. Et je vois un peu comment les choses se passent. Et je commence à me dire qu’il est mieux qu’elle sorte de l’indivision. Bien sûr avec son accord. Lorsqu’elle atteint ses 21 ans et devient majeure, je ne peux plus m’en occuper. Alors je lui commets des avocats, dont Me Lubin Ntoutoume à Libreville, et nous demandons qu’elle sorte de l’indivision. Pour qu’elle sorte de l’indivision, je demande à voir les deux mandataires Ali Bongo et sa sœur et qu’on s’entende pour qu’elle puisse sortir. Voyant qu’il n’y avait pas de suite, nous sommes donc venus vers la France. Je tiens à dire que pendant tout ce temps-là aucun des héritiers n’a eu droit à aucun document parce que les deux mandataires ne voulaient pas qu’il y ait des fuites dans la presse. Aujourd’hui, nous voilà sur la place publique. Bref ! Ils étaient héritiers et ne savaient pas de quoi ils héritaient, à quoi cette succession correspondait, quels étaient les actifs de cette succession. Nous sommes venus sur la France. Et nous avons contacté un avocat, Me Eric Moutet, et en cherchant les différents documents nous sommes tombés sur l’acte de notoriété. Cet acte dit clairement qu’Ali Bongo et Pascaline, à eux deux, ont droit à 50%. Pour qu’Onaida puisse sortir de l’indivision, il fallait calculer sa cote part et là nous nous rendons compte que tous les héritiers, à l’exception d’Ali Bongo, avaient fourni leur acte de naissance. Et qu’il disait dans cet acte notarié qu’il compléterait son état civil ultérieurement. Nous sommes le 25 juin 2010. Figurez-vous qu’à ce jour, cinq ans plus tard, nous sommes en 2015, il n’a toujours pas complété son état civil. Tous les enfants en réalité auraient dû, au plus tard le 9 juin 2010, four- nir tous les documents. Car, selon un document de Me Relongoué datant du 26 mars 2010, elle disait je cite : « L’article 713 du Code Civil Gabonais (Loi N°19/89 du 30 décembre 1989, portant adoption de la deuxième partie du Code Civil) stipule : Le successible qui n’a pas pris parti dans un délais de douze mois après l’ouverture de la succession, est réputé avoir renoncé à la succession.» Elle précisait : « La succession de feu Monsieur Omar Bongo Ondimba s’est ouverte le jour de son décès, soit le 8 juin 2009 ; cela fera bientôt 10 mois. » Elle concluait en ces termes : « Ceux des héritiers qui ne se seront pas manifestés dans les deux mois, seront malheureusement considérés, comme ayant renoncés à cette succession. » Alors que dit le docteur en droit à cela ? Je suppose qu’étant donc docteur en droit, je parle de la matière, il comprend les dispositions légales et ne peut qu’en tirer les conséquences. Ali Bongo aujourd’hui liquide des biens. Ali Bongo aujourd’hui prend des décisions. Mais Ali Bongo n’a pas tous les éléments qui lui permettent d’établir sa filiation avec Omar Bongo Ondimba. Alors, il le fait à quel titre ? En tant qu’héritier ou en tant que président de la République ? Si c’est en tant qu’héritier, il a les mêmes droits que tous les autres et donc il ne peut pas le faire sans l’avis de tous les héritiers. Et si c’est en tant que président, il s’est trompé de tribune.
Réplique des Fossoyeurs du Gabon : Tchouoooo!!!! Et voilà où en est Chantal. A l'écouter, nous ne pouvons tirer que deux leçons : soit les conseils de Chantal et sa fille sons distraits pour ne pas suivre le dossier; soit ils sont incompétents. Mais c'est tant mieux ainsi, comme ça ils seront bien surpris par la suite de la succession.
Ce que Chantal et sa fille ignorent, c'est que la note de Me Relongoué n'est pas adressée spécifiquement à Monsieur Ali Bongo Ondimba. La notaire sait infiniment mieux que Chantal à qui cette note était précisément adressée.
Et la surprise de Chantal sera de taille lorsqu'elle découvrira que, pour reprendre son expression, les "torchons" qu'elle a distribués ne permettront jamais à sa fille de rafler les 65 milliards F.CFA qu'elle réclame. Le reste n'est que jérémiade d'une mère affamée...
Echos du Nord : On a constaté à Nantes l’absence de l’avocat de la plai-gnante Onaida. Moult interprétations ont été données. Que s’est-il passé ?
Chantal Myboto-Sandja-Assiah-Gondjout-Ondzounga : Contrairement à nos méthodes du Gabon, en France, les gens sont organisées. Le 23, notre avocat a appris par le tribunal de Nantes que le procès était reporté. Il a jugé inutile de se rendre à Nantes. Je confirme que les avocats d’Ali Bongo ont eu, eux aussi eu la même information. Il semblerait qu’Ali Bongo leur aurait demandé de s’y rendre pour être sûrs du report. Je pense que c’est quelqu’un qui vit dans une angoisse permanente concernant ce procès. Et il sait bien pourquoi.
Réplique des Fossoyeurs du Gabon : Tout est dans l'emploi du conditionnel. Mais lorsque Chantal aura croisé le droit, non pas sous une couette ou dans un bikini d'homme, elle comprendra que lorsqu'on prend la peine de demander quelque chose à une cour, la moindre des courtoisie c'est d'être présent à l'audience. Mais lorsqu'on a tout obtenu à l'usage de son string, c'est le genre de peine qu'on ne peut savoir...
Echos du Nord : Un communiqué signé des enfants Bongo Ondimba demande à mots à peine voilés à Onaida de retirer sa plainte et dit son ingratitude.
Chantal Myboto-Sandja-Assiah-Gondjout-Ondzounga : Vous savez qui sont les parents qui ont produit le communiqué. J’ai vu un communiqué, mais de quels enfants ? Je m’attendais à voir la liste des enfants. En plus, ce communiqué a été posté par un de ses sbires, spécialistes de basses besognes. Est-il conseillé privé de la famille Ondimba ? Comme d’habitude, nous nous retrouvons encore devant le mélange des genres. Ce communiqué ne veut rien dire. A l’analyse de ce communiqué, c’est clairement un appel du pied fait à l’endroit d’Onaida pour se souvenir, subitement, qu’ils forment une famille et qu’ils sont unis par le sang Bongo Ondimba. Pour moi qui connais la famille, c’est une union de façade et de circonstance. J’insiste quand je parle d’union de façade et de circonstance. Et je pèse mes mots.
Réplique des Fossoyeurs du Gabon : Et là Chantal a raison. Il ne peut sérieusement avoir union entre enfants nés, reconnus après naissance et enfant reconnu avant naissance. C'est en effet un grand "mélange des genres". Mais à qui la faute? A la mélangeuse qui ne mélange pas seulement que les genres, mais aussi les gendres...
Echos du Nord : Pourquoi êtes-vous si sûr ? D’où vient votre assurance ?
Chantal Myboto-Sandja-Assiah-Gondjout-Ondzounga : Je prendrai juste un exemple. Ce n’est pas Onaida qui a utilisé le tribunal de Libreville pour sortir Pascaline de la gestion de la succession. Que je sache, cela ne s’est pas fait en famille. Et dans le cas d’espèce, où était le fameux sang Bongo Ondimba ? Je voudrais vous dire que ceux qui savent ne parlent pas. Comme le disait souvent leur père. Qu’il fasse attention à tout ce qu’il avance en ce moment.
Réplique des Fossoyeurs du Gabon : Et la voilà vouloir devenir la mère de Pascaline...
Echos du Nord : Et qu’il vous aurait éjectée. Est-ce exact ? Certains journaux ont contesté la filiation d’Onaida avec Omar Bongo Ondimba.
Chantal Myboto-Sandja-Assiah-Gondjout-Ondzounga : Ce sont des médias aux ordres. J’avoue ne pas lire « La Griffe », car c’est un torchon de la pire espèce. Ce qui m’a choquée, c’est de voir la photo d’Onaida en première page de « L’Union ». Si Ali Bongo Ondimba considérait Onaida comme sa petite sœur et qu’ils sont unis par les liens du sang comme il l’a fait écrire dans ce communiqué, son réflexe en tant que grand frère, et malgré les différends, devait être celui de protéger sa petite sœur. Comme l’ont fait d’autres de ses grands frères. Au passage, je tiens à remercier particulièrement Christian Bongo Ondimba pour le soutien qu’il apporte à sa petite sœur. Voilà ce que moi j’appelle le sens de la responsabilité et le sens de la famille. Ali Bongo n’en a pas. Parce que moi ,je n’aurais jamais exposé un de ses enfants, quels que soient nos dés- accords. Je ne me serais jamais attaquée à l’un d’eux. Mais qu’à cela ne tienne, Onaida, dès sa naissance, s’appelle Bongo et le nom Ondimba a été rajouté par une décision du procureur de la République du parquet de Nanterre. Décision numéro 06/3096 du 27 octobre 2006. En ce sens que le nom du père et donc celui de l’intéressée est Bongo Ondimba, l’intéressée s’appelle Onaida Maisha. Mention apposée à Neuilly-Sur- Seine le 8 novembre 2006 par l’officier de l’état civil. S’ils disent qu’Onaida n’est pas l’en- fant d’Omar Bongo Ondimba, qu’Ali Bongo Ondimba fasse un test ADN et qu’Onaida en fasse un et on verra. Je précise, et j’insiste : je sais qui est réellement l’enfant d’Omar Bongo Ondimba et qui ne l’est pas. Parce que lui- même me l’a dit. Ceux qui savent ne parlent pas.
Réplique des Fossoyeurs du Gabon : Pauvre Chantal ! Si elle pouvait seulement savoir que le rôle d'un torchon c'est de nettoyer. Et nous saluons le travail de notre confrère " La Griffe " pour son rôle de vouloir nettoyer le pays des tuées-tuées de l'acabit de Chantal. Sur ce point, elle a parfaitement raison de ne pas lire " La Griffe " même si elle est bien au courant de tout ce qui y est écrit et en souffre.
Depuis la clôture du fameux débat de filiation de Monsieur Ali Bongo Ondimba avec la production de l'extrait de naissance du chef de l'Etat par les archives de la Mairie de Nantes, la question des tests ADN ne concernent désormais plus que l'enfant dont la photo du géniteur a été publiquement publiée.
La moindre des choses qu'on attend désormais de Chantal, c'est que si elle a encore un semblant de dignité à défendre, c'est de faire des tests, non pas d'ADN, mais plutôt de simple paternité puisque Marcel Sandja est en vie et qu'il n'a jamais contesté nos affirmations. Cela malgré les pressions diaboliques de Zacharie Myboto.
Echos du Nord : Des médias rapportent que vos relations avec Omar Bongo Ondimba avaient pris un froid
Chantal Myboto-Sandja-Assiah-Gondjout-Ondzounga : Les gens parlent de ce qu’ils ne savent pas. J’apprends même dans la presse que c’est mon père qui m’a mise dans ses bras. Ce qui est archi faux. A l’annonce de ma relation avec lui, j’ai vu son désarroi. A trois reprises, Omar Bongo m’a demandé d’être son épouse et je lui ai répondu non à chaque fois. Ali Bongo le sait. Tous les proches d’Omar Bongo le savent et particulièrement lui qui est venu jusqu’à me rendre visite à ma résidence des Charbonnages à l’époque, jusqu’à me dire : « Comment acceptes-tu que le président épouse une étrangère de surcroît la fille d’un chef d’Etat d’un pays frontalier ? » Est-il devenu amnésique au point de laisser ses sbires écrire n’importe quoi ? Il y a des choses que je n’aimerais pas révéler parce que, comme j’ai rappelé, ceux qui savent ne parlent pas. Je répète : ceux qui savent ne parlent pas.
Réplique des Fossoyeurs du Gabon : Pourquoi avoir finalement donné cette interview, puisqu'elle sait tout. Quant à son histoire d'avoir refusé à trois reprises la main d'Omar Bongo Ondimba, il s'agit tout simplement d'un gros bluff.
Question : depuis quand a-t-on vu un homme aller demander la main d'une femme en tenant ces propos : " Dans deux mois, je vais aller épouser ma femme à Oyo. Veux-tu toujours m'épouser ? " C'est en ces termes qu'Omar a demandé la main de Chantal une seule fois, et non trois. Son père Zacharie, témoin de la scène, le sait. Par l'usage de tels propos, Omar Bongo Ondimba savait déjà la réponse qui allait lui être donnée.
Et s'il a choisi de parler ainsi, c'est parce qu'il savait déjà que non seulement Chantal couchait avec Gondjout mais qu'elle attendait surtout un enfant de Sandja.
Tout comme il n'était pas sans savoir que la générosité sexuelle débordante de Chantal avait fini par faire d'elle la seule polyandre de la sous-région. Notamment à travers ses galipettes avec le Congolais Hervé Assah et surtout ses escapades avec sa nouvelle conquête de l'époque qu'était Steeve Ondzounga.
Gérer autant de sous-vêtements d'homme, ne pouvait concourir à en faire la première Dame d'un pays sérieux comme le Gabon, d'où, en bon sage, Omar en a fait une simple roue de secours.