Trois ans après son arrivée au pouvoir, le président Ali Bongo Ondimba ne cesse de tenir ses promesses faites en matière de réalisation des infrastructures structurantes propices à accélérer le processus d’émergence du Gabon dans le concert des nations du monde.
Et la preuve est en train d’être administrer par une série de visites opérées par des officiels et des journalistes sur les différents sites des chantiers desdites infrastructures.
Et tant pis pour ces médisants invétérés qui, par cécité et surdité volontaires refusent de voir et d’entendre.
Inscrits dans le cadre du Plan stratégique Gabon émergent (PSGE) initié par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba et répondant aux grands axes du Schéma directeur national des infrastructures (SDNI), mis à la disposition du gouvernement par l’Agence nationale des grands travaux (ANGT), les principaux projets infrastructurels de développement voient le jour et se renforcent au fil du temps.
Des projets dont la réalisation vient d’être constatée, une fois de plus et de visu, lors d’une récente visite des officiels et des journalistes sur les sites concernés. Et ce, par Libreville et ses environs dans la province de l’Estuaire ainsi que Franceville dans le Haut-Ogooué.
Aussi, au niveau de ces deux premières étapes d’une série de visites qui se poursuivront sur l’ensemble des autres provinces du pays, l’on note que tous ces projets de développement avancent à grands pas.
Afin de contribuer énormément et à terme à l a modernisation et à l’émergence du Gabon dans le concert des nations du monde. Parmi ces projets donc, notons particulièrement ceux liés à la promotion de l’habitat social et des infrastructures tant sanitaires, énergétiques qu’industrielles.
A cet égard et s’agissant de l’habitat social, bien qu’ayant accusé quelques retards dus aux nombreux dysfonctionnements antérieurs du ministère de tutelle et à l’inconséquence notoire des agents y exerçant, le projet de construction des logements sociaux a bel et bien pris de l’envol.
Aussi, avec le précieux concours de plusieurs partenaires privés et par l’entreprise de la Société nationale immobilière, l’Etat est en train de promouvoir la construction de plusieurs milliers de logements accessibles à toutes les catégories sociales. Le tout pour un premier investissement estimé à plus de 115 milliards de francs CFA.
Des habitations et des parcelles de construction qui sont réalisées par vagues, sur chaque site retenu et à travers toutes les provinces du pays. Ce, dans des environnements sains, aménagés et offrant des cadres modernes de vie.
Avec pour infrastructures d’accompagnement: des voiries, des écoles, des dispensaires, des réseaux d’eau, d’électricité et de téléphone, des unités des sapeurs-pompiers et forces de sécurité ainsi que des infrastructures sportives et culturelles.
Concernant le volet sanitaire, les infrastructures y afférents se caractérisent par leur portée vers la modernité des équipements, la fonctionnalité des services et l’aspect futuriste des bâtiments.
A ce niveau nous citerons, en référence et entre autres, les fleurons que sont d’abord l’ancien Centre hospitalier de Libreville (CHL) qui subit une véritable cure de jouvence et est transformé désormais en Centre hospitalo-universitaire (CHUL).
Ensuite, il y a le Centre hospitalier universitaire d’Agondjé qui, de plus, abritera un institut performant de cancérologie et de neurologie. Par ailleurs, l’on note le futur Centre hospitalo-universitaire d’Owendo qui est actuellement en voie de réalisation et qui disposera de plus, d’un important service spécialisé dans la stomatologie.
Enfin, relevons le futur Centre hospitalo- universitaire qui est en train d’être réalisé à Lambaréné dans le Moyen- Ogooué et se spécialisera dans le traitement des maladies tropicales.
Tout cela, assorti d’une vaste opération de réhabilitation, d’équipement et de modernisation de l’ensemble des hôpitaux régionaux et des divers grands centres sanitaires disséminés à travers le territoire national. Avec en prime, la formation et la spécialisation des médecins, techniciens et agents de santé.
Pour ce qui est des infrastructures énergétiques et sous la conduite du président Ali Bongo Ondimba, l’Etat s’emploie à renforcer considérablement les capacités nationales de production et d’exploitation fructueuses d’électricité et de gaz.
Et pour cela, ce sont imposées la mise en service de la nouvelle centrale thermique d’Owendo et l’augmentation progressive des capacités de production énergétique de la Société d’eau et d’énergie du Gabon (SEEG).
Puis, sont déjà mis en oeuvre le vaste programme de réalisation des puissants barrages hydroélectriques dits du «Grand Poubara » dans la Haut-Ogooué, de «l’Okano» (Woleu-Ntem), et de « l’Impératrice Eugénie » (Ngounié).
Quant aux infrastructures économico-industrielles, on observe, entre autres grandes réalisations, la reprise de l’important projet de la zone franche de Port- Gentil dans l’Ogooué-Maritime, et l’implantation eff ect ive de la zone économique spéciale de Nkok au niveau de l’Estuaire.
Des zones qui, selon les pouvoirs publics nationaux, vont considérablement « booster l’économie gabonaise sur les plans industriel, commercial, résidentiel et des services à forte valeur ajouté. »
De plus, pour une plus grande et meilleure transformation locale de manganèse, est en train d’être construite une importante usine métallurgique dans la ville minière de Moanda, sise dans le Haut-Ogooué.
Lequel complexe industriel est assorti, parallèlement et dans la même ville, de la construction d’une imposante école supérieure spécialisée dans la formation des ingénieurs, techniciens supérieurs et autres professionnels du secteur minier.
Autant de projets infrastructurels initiés par le président Ali Bongo Ondimba, mis en oeuvre par le gouvernement, contrôlés par l’Agence nationale des grands travaux et qui sont effectivement en cours de réalisation ou déjà opérationnels.
Avec en prime et selon plusieurs observateurs avertis, « la création de nombreux et divers emplois, la réduction du chômage, la modernisation et la diversification de l’économie, la consolidation des bases du développement progrès du pays, l’amélioration substantielle des conditions de vie des populations gabonaises. »
Et tout ceci, sans oublier l’accélération du processus d’émergence du Gabon dans le concert des nations développées du monde.