Professeur de Philosophie, Fondateur et Directeur éditorial des Éditions M-Éditer, Vice-président de Philosophia
Abonné·e de Mediapart
Le devoir ne procède ni de Dieu ni de la société, mais de moi, sujet autonome
Le devoir ne vient ni de Dieu ni de la société : il révèle en nous une transcendance immanente, une dimension métaphysique intérieure qui fonde toute exigence morale. Ainsi, l’universalité du jugement moral ne se démontre pas : elle se manifeste dans l’expérience même du devoir, qui nous renvoie à cette racine métaphysique intime d’où surgit toute exigence éthique authentique.
Professeur de Philosophie, Fondateur et Directeur éditorial des Éditions M-Éditer, Vice-président de Philosophia
Abonné·e de Mediapart
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Le devoir ne procède ni de Dieu ni de la société, mais de moi, sujet transcendantal autonome, Jean-Marie Frey 🙋 🚀 https://youtube.com/shorts/grVvWXSDvxI #citation extraite de : Les secrets du jugement moral, Jean-Marie Frey 🙋 🚀 https://www.youtube.com/watch?v=UCKn8MI__7k 📋 Présentation : nous formons couramment des jugements portant sur la distinction du bien et du mal, et nous ne pensons pas qu'une compétence spéciale soit requise pour le faire. Le jugement moral n'est pas une affaire de spécialiste ! Quelle est alors la nature de ce jugement ?
Sommaire : 1) La pierre de touche du jugement moral 1.1 Les règles techniques 1.2 Les règles civiles 1.3 Les conseils de la prudence 1.4 L’impératif catégorique 2) La racine du jugement moral 2.1 La société 2.2 Dieu 2.3 Le moi métaphysique
