A gauche, Louis Gallois (900 000 € de salaire fixe en 2009).
En haut, Laurence Parisot et Jean-Marc Ayrault, lors de l’Université d’été du Medef, le 29 août 2012.
En bas, une des manifestations contre la fermeture de PSA Aulnay (93).
- Sous prétexte de compétitivité - cette valeur de droite dédiée à la promotion de la jungle libérale (tout faire pour s’écraser les uns les autres) -, le rapport Gallois rendu public ce 5 novembre propose une nouvelle étape de libéralisation économique et de démantèlement des services publics.
- Le gouvernement est au pied du mur. Après avoir fait voter le traité européen Sarkozy - Merkel, va-t-il, comme on peut le craindre, s’inscrire dans la logique du “choc” voulu par le patronat ?
- Face à l’offensive des principaux responsables de la crise économique et sociale, résister et proposer des mesures de rupture avec l’ordre libéral ne suffit plus. Il faut s’inscrire dans une logique de transformation sociale, écologique et démocratique : un nouvel horizon.
5 novembre 2012
Dossier spécial gallois de Cerises
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