Tu as raté ta dernière prestation télévisuelle de grande écoute. Même moi qui t'aime et te suis depuis le début, je t'ai trouvé répréhensible parfois. Je ne t'en veux pas parce que je te sais tellement mieux que cela et je continue de toutes mes forces à t'apporter mon soutien mais …
Tu es notre porte-parole et tu nous dois des comptes. Et il faut avouer que tu n'es pas doué pour les relations « humaines télévisuelles ». Je ne vais pas ici réciter les litanies habituelles que nous opposons aux médias des milliardaires (et vivement le « Média » bien sûr), il n'empêche qu'il te faudrait un communicant de haute tenue à tes côtés !
Je te propose de ne plus t'adresser à tes interlocuteurs de plateau : ils t'énervent, te poussent dans des accès de colère (que nous comprenons , nous, tes camarades) et au bout du compte, cela te dessert !
Léa Salamé propose le Vénézuéla ! Bien ! Tu as des choses à dire sur le Vénézuéla, alors oublie Léa Salamé, quitte le plateau virtuellement et adresse-toi à M. Robert de la Boucherie Sanzot. Ne réponds plus aux interruptions du plateau, reste concis dans ton message. Entends les thèmes apportés par tes interlocuteurs et explique ta pensée aux Français qui t'écoutent à Bonneville La Louvet ! Ne te préoccupe plus de la joute oratoire, manifestement elle te dessert. En tout cas, il faut changer quelque chose dans ton expression. Le peuple est prêt à t'écouter à condition que tu lui parles à lui !
Quand tu réponds à ces chers Val et Castagner, tu ne parles plus au peuple. Je répète mon conseil, entends le thème proposé et explique « aux gens » (comme tu les appelles avec amour) ce que tu en penses. A mon avis, tu seras bien plus efficace et cela nous importe bien plus que tout combat de coq, même gagné !
Courage camarade, et merci d'être le meilleur d'entre nous !