« Un coup d'État est un renversement du pouvoir par une personne investie d'une autorité, de façon illégale et souvent brutale. ».
Une version alternative présente le coup d'État comme : « un acte d'autorité consistant dans une atteinte réfléchie, illégale et brusque, aux règles d'organisation, de fonctionnement ou de compétence des autorités constituées, atteinte dirigée, selon un plan préconçu et pour des raisons diverses, par une personne ou par un groupe de personnes réunis en un parti ou un corps ; dans le but soit de s'emparer du pouvoir, soit d'y défendre ou d'y renforcer sa position, soit d'entraîner une simple modification de l'orientation politique du pays »
Albert Vandal définit le coup d'État par : « un acte violent d'une partie des pouvoirs publics contre l'autre ».
On parle d'« auto-coup d'État » quand la dissolution ou la prise de possession des pouvoirs d'un État est réalisée par son dirigeant, généralement un chef d'État ou un chef de gouvernement, jusque-là arrivé et maintenu au pouvoir par des moyens légaux. L'ensemble des pouvoirs est dès lors concentré dans ses seules mains ou avec celles de sa garde rapprochée, et ce, pour une durée indéterminée.
(source Wikipedia)
Une dissolution insensée (voire injustifiée), un gouvernement démissionnaire (mais toujours aux affaires), la nomination du (de la) premier.ère ministre qui se fait attendre, des menaces de motions de censures si un.e ministre du NFP était nommé.e au sein du nouveau gouvernement, tout cela ressemble fortement à un déni de démocratie (et si on veut pousser un peu plus loin l'analogie), à une tentative de coup-d'état de la part du monarque actuellement en place.
Le peuple a voté pour une assemblée de gauche, mais nos « zélées zélites » ont décidé que les électeurs n'avaient pas voix au chapitre.
Il semble que le « pays des lumières » a définitivement disjoncté.
Décidément, ce petit morveux, en plus d'avoir piqué sa crise de nerfs, continue de vouloir tyranniser celles et ceux sans qui il ne serait rien ! Autrefois, on foutait la mauvaise graine en maison de redressement. Mais qu'avons-nous comme solution pour que ce garnement cesse de bousiller la turne ? Le châtiment corporel ? Ce serait lui accorder trop d'importance, à ce sale môme !
Non, la solution qui s'impose actuellement est l'application de l'article 68 de la Constitution Française :
« Le Président de la République ne peut être destitué qu'en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat. La destitution est prononcée par le Parlement constitué en Haute Cour. La proposition de réunion de la Haute Cour adoptée par une des assemblées du Parlement est aussitôt transmise à l'autre qui se prononce dans les quinze jours. La Haute Cour est présidée par le président de l'Assemblée nationale. Elle statue dans un délai d'un mois, à bulletins secrets, sur la destitution. Sa décision est d'effet immédiat. Les décisions prises en application du présent article le sont à la majorité des deux tiers des membres composant l'assemblée concernée ou la Haute Cour. Toute délégation de vote est interdite. Seuls sont recensés les votes favorables à la proposition de réunion de la Haute Cour ou à la destitution. Une loi organique fixe les conditions d'application du présent article. »
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