Bonjour à tous,
Je suis heureuse de vous présenter mon dernier livre : Espoir Aux Frontières de l'Irréparable : 400 pages de témoignages, de réflexions, de partages, et d'espoir malgré l'innommable.
En un mot : aujourd'hui les droits de l'enfants sont furieusement bafoués mais aussi la parole de l'adulte qui veut le protéger. Curieusement, il semble que le monde tourne à l'envers : les juges avec le soutien actif des services sociaux confient les enfants à leur prédateur, enferment les parents protecteurs en prison ou en psychiatrie s'ils insistent trop !!
Dans mon département de l'Eure et loir, je découvre une famille auxquels les services sociaux ont retiré 4 filles, la dernière, il y a deux mois avait un an. Je découvre des rapports mensongers, des abus de pouvoir et le sentiment d'impuissance de la famille, du maire de la commune, du médecin de famille. J'alerte le président des services sociaux, maire de ma commune qui cherche à en savoir plus : "on lui assène qu'il ne verra pas les dossiers car c'est secret professionnel". D'après ma belle-soeur assistante sociale, c'est tout à fait possible.
Résultat : si les rapports donnés au juge sont criblés d'anomalies ou de "forçage du trait", on ne peut rien corriger.
Que reste-t-il comme recours ? la pluspart de ces familles n'ont pas les moyens de se payer un avocat et même pour certains l'aide juridictionelle n'est pas totale. Une famille nombreuse à qui on retire ses enfants, signifie aussi le retrait des allocations familliales, du coup ces pauvres parents ne peuvent plus rembourser la maison, la voiture etc.... c'est la descente aux enfers grâce à qui ? aux services sociaux chargés d'aider les familles !!!
Je viens de ramener du côté de Montbéliard une jeune femme à qui les services sociaux ont déjà pris depuis 7 ans trois enfants, pour des raisons inadmissibles, donc aucune maltraitance. Il lui reste une petite fille de 4 ans.
Vu la réaction de la maitresse, elle était très inquiète. Sa fille était donc scolarisée et nous savons bien qu'à cette âge ce n'est pas obligatoire, elle tombe malade avec la varicelle et s'absente 15 jours, la maîtresse fait un signalement aux services sociaux. Alors qu'elle sait la raison de cette absence. C'est déjà une sorte de harcèlement moral et nous savons que tous les placements commencent par des signalements puis des suivis éducatifs.
Heureusement de plus en plus d'associations sur la France entière viennent en aide à toutes ces familles en détresse.
Je ne manquerai pas de vous relater d'autres histoires et même peut-être vous transmettre des vidéos les relatant.