Avec le printemps qui arrive et le soleil, la grippe A ne fait plus l'actualité. Les services communication de l'Etat génèrent suffisamment de nouvelles fraîches, toutes plus stupides les unes les autres, pour maintenir un bruit médiatique suffisant pour masquer le doux ronronnements des affaires bien huilées qui continuent dans les salons feutrés du pouvoir/business.
La banque JP Morgan a estimé que le vaccin de la grippe A augmenterait de 10 milliards de dollars le bénéfices des sociétés pharmaceutiques !
Le coût pour les français sera probablement autour de 2 milliards d'Euro au minimum !
Des statistiques estiment que le nombre de morts liés à cette maladie serait de maximum 10,000 dans le monde, ce chiffre englobe aussi les personnes fragilisées par d'autres maladies et particulièrement vulnérables même à un simple rhume. La grippe saisonnière tue +/- 500,000 personnes par an !
Des statistiques fiables concernant les effets secondaires des vaccins sont pratiquement introuvables.
Petite explication rapide concernant les adjuvants dont on nous a copieusement parlés dans les médias sans jamais prendre la peine de nous expliquer leurs utilités. En réalité, notre système immunitaire est encore très mal connu. L'injection d'une souche virale vaccinale n'est pas du tout comparable au circuit normal d'une infection, notre organisme n'a pas été prévu pour ce cas de figure et peut tout simplement passé à coté de cet envahisseur. Pour éviter ce problème, nos glorieux scientifiques des labos pharmaceutiques ont imaginé une stratégie beaucoup plus brutale, injecter un cocktail massif de substances nocives destinées a provoqué une inflammation maximale. On appelle ça un contexte stimulant. Le rôle de ces adjuvants est de « mettre le feu » en espérant que notre organisme alerté choisira la bonne cible ! Détecter le bon envahisseur et générer une réponse correcte est une opération délicate. La moindre erreur de codage peut dérégler cette mécanique. De plus, il devient courant de nous vacciner simultanément contre plusieurs maladies. La nature n'a pas vraiment prévu ce cas de figure, devoir détecter deux ou trois maladies, faire le tri avec les adjuvants dans lesquelles on retrouve aussi, par exemple, du squalène qui est présent dans nos cellules, et ensuite, générer une réponse correcte !
La progression des maladies auto-immunes est un fait bien réel. Je ne me permettrais pas de suggérer une relation avec les vaccins.
Mais j'aimerais élargir le débat car la grippe A n'est que la cerise sur le gâteau que le santé business dévore tout les ans. Depuis une vingtaines d'année, nous avons droit à des campagnes de presse financée par le contribuable pour nous inciter ou nous obliger dans le cas de nos enfants a diverses vaccinations. Des données sur l'efficacité de ces campagnes sont également presque introuvables. La vaccination contre le papilloma virus protège par exemple seulement contre quelques souches de ce virus alors qu'il en existe des centaines, on nous explique aussi que nous pourrons juger l'efficacité de celui-ci dans une vingtaine d'année. Alors que le vaccin ROR (rougeole, Oreillons et rubéole) est de plus en plus généralisé en France et dans le monde, les cas de rougeole ne semblent pas diminués et certaines données provenant des pays anglo-saxons montrent même une augmentation de ceux-ci, dans certaines épidémies dans des écoles, 80% des élèves étaient vaccinés !
On pourrait également parler de l'hépatite B mais le sujet a été abondamment traité.
Il serait probablement stupide de nier l'utilité de la méthode vaccinale mais quand celle-ci devient la vache à lait de la santé business que devons-nous penser ?
Peut-on continuer à faire confiance à tout les éminents professeurs qui défilent sur les plateaux de télé ou à la radio quand on sait qu'ils sont dans tout les cas plus ou moins liés aux firmes pharmaceutiques ?
Que devons-nous penser quand notre ministre de la santé devient le VRP de luxe de ce business ?
Que devons-nous penser des centaines de millions d'euros de médicaments qui s'entassent dans des entrepôts en attendant la grande épidémie ? (Médicaments dont l'efficacité est grandement sujette à caution).
Que devons-nous penser de l'OMS qui passe en alerte maximum pandémie dès septembre et dont la présidente n'a pas jugé utile de se faire vacciner ?
Nous pourrions continuer la liste des questions mais je suis certain que les lecteurs de Mediapart sont assez grands pour se les poser.
Mais j'aimerais terminer par celle-ci, le déficit de la santé est-il une fatalité ou un simple moyen de continuer à enrichir l'oligarchie ?
Pour ceux d'entre-vous intéressés par la problématique vaccinale, je vous recommande le site du docteur Marc Girard