 
    Depuis le 2 Mars, plus rien n'entre dans l'enclave de Gaza, soumise quotidiennement aux bombardements israéliens. Ni nourriture, ni médicaments.
 
    « Le monde assiste à un génocide en direct », vient de dénoncer la secrétaire générale d'Amnesty international, Agnès Callamard, en préface du rapport annuel de l'organisation sur les droits humains dans le monde.
« Dans Gaza, on ne vit plus ; on survit », accuse le Programme d'aide alimentaire mondiale des Nations unies, décrivant les journées des Gazaouis se résumant à chercher eau et nourriture.
Des Gazaouis en proie à un sentiment terrible d'abandon de la part de la communauté internationale, tout particulièrement des États-Unis et de l'Union Européenne.
Enfermés, affamés, bombardés jour et nuit, ils ne savent plus à qui s'en remettre. Aux États-Unis, soutiens indéfectibles et jusqu'au pire de Benjamin Nétanyahou ? À l'Union Européenne ? Elle parle, mais n'agit pas.
Rien de sérieux pour entraver Benjamin Nétanyahou décidé à écraser dans son entièreté le Hamas, le tout pour garder le soutien de ses ministres d'extrême droite visant l'annexion totale de Gaza et de la Cisjordanie. Le mandat d'arrêt de la CPI (Cour Pénale Internationale) court toujours, mais hélas sans effet.
 
    Agrandissement : Illustration 3
 
                    Gaza, une terre de désespoir, sans espoir de paix.
 
    Agrandissement : Illustration 4
 
                     
                 
             
            