Toujours tenter, derrière les symptômes, d'identifier la maladie ; derrière les faux-semblants, la réalité (Louis Pasteur).
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Messe austéritaire
Le gouvernement évoque la dette et la guerre commerciale lancée par Washington pour défendre un nouveau plan de réduction des dépenses publiques de 40 à 50 milliards d'euros. Première cible : les budgets sociaux.
Toujours tenter, derrière les symptômes, d'identifier la maladie ; derrière les faux-semblants, la réalité (Louis Pasteur).
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Grande messe austéritaire.
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Le gouvernement évoque la dette et la guerre commerciale lancée par Washington pour défendre un nouveau plan de réduction des dépenses publiques de 40 à 50 milliards d'euros. Première cible : les budgets sociaux.
Combien de postes en moins à l'hôpital au risque d'allonger les temps d'attente des patients aux urgences ? Combien d'enfants en difficulté scolaire parce que leur professeur absent n'est pas remplacé ? Combien de fins de mois toujours plus difficiles pour les travailleurs comme pour les retraités ? En annonçant cette réduction de 40 milliards d'euros des dépenses publiques en 2026, le gouvernement s'apprête encore à dégrader la qualité des services publics.
Ce même gouvernement a d'ores et déjà écarté l'hypothèse d'une hausse des impôts pour les plus riches, en particulier la remise en vigueur de l'ISF. Attention, une censure pourrait bien survenir.
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