Après la lecture de l'article "Hôpital : le supplice des médecins à diplômes étrangers qui attendent une titularisation" je veux prendre le temps de citer des constatations faites dans mon entourage.
Mon frère né en 1955 ma dit à l'age de 57ans qu'il avait l'age moyens des anesthésistes c'était donc en 2012 il y a 10 ans...Il était anesthésiste réanimateur.
Je constate aussi que les études de médecine sont d'une difficulté telle que pour arriver dans le lot des étudiants qui arrivent à passer la sélection, beaucoup d'étudiants de très très grandes valeurs sont placés en situation d'échec.
Je constate que la couleurs des médecins présent dans les hôpitaux n'est pas souvent due à leur bronzage. Je constate aussi leur compétence et leur dévouement. Or il nous a toujours été dit que nous étions dans un pays riches, et j'imaginais que ces médecins venaient de pays pauvres.
Et donc dans une démarche universaliste et bienveillante je trouvais pas bien de déposséder les pays pauvres des professionnels qu'ils avaient formés et dont ils avaient besoin.
ET maintenant où en sommes nous.
Les étudiants capables ne peuvent plus être formés en nombre, faute de structures et de professeurs en quantité suffisante. Nos jeunes sont écœurés par cette situation.
Fautes de jeunes motivés et brillamment formés, notre pays ne peut que s'appauvrir.
Les titulaires des plus prestigieuses grandes écoles, vont pour une proportion significative travailler de nombreuses années dans des structures étrangères, et souvent à l'étranger, alors que nous avons par nos impôts contribué à leur instruction.
Les gens travaillant dans nos services publiques se sentent de plus en plus maltraités par les contraintes administratives automatisées. Le personnel local, régional, et de plus en plus national a l'interdiction de prendre la moindre initiative d'adaptation du système à la situation présente et prévisible qu'ils constatent. Le sens du travail a disparu par ce fait, à la base, mais aussi dans ce qui devrait être des lieux de décisions. ET cela ne pose pas questions à nos élus et à nos gouvernants?
J'en conclus que nos politiques depuis 40 ou 30 ans au moins sont dans une démarches coupables de contraindre jusqu'à l'épuisement la société française.
Macron, sous prétexte de "simplification", ne fait qu'automatiser les moyens administratifs, judiciaires qui placent tous les citoyens dans des situations ubuesques car incompatibles avec les réalités constatées, les besoins naturels vitaux qui s'imposent à eux.
La "simplification" qu'il prône est de plus en plus une intégration automatique des systèmes; couteuses en énergie, d'une complexité folle, qui prive toutes les personnes qui se disent "responsables" d'agir dans le respect des valeurs fondamentalement humaines. Avec la vaccination et le masquage des jeunes enfants, Non malades! il est dans la même folie que les régimes totalitaires qui disaient emmenés les gens en lieux de travail en y incluant les vieillards et les enfants. On a vu ou cela nous a mené.
Triste année électorale, où ce que je viens d'écrire n'a jamais pu être entendu sur aucun grand média, si peut être 1ou 2 mais pas longtemps..
stop aux phrases creuses, aux mots dénaturés par des emplois abêtissant. Après les refondations; essayer de changer les fondations d'une maison; il nous parle de "renaissance". Demandez à une maman si elle veut vivre la "renaissance" de son enfant quelques temps après? C'est clair!