Société bis

La société dans laquelle nous vivons est une puissance dégradée, et il faut bien qu'elle se délivre de ce qui l'encombre. Si bien que des gens vont témoigner en eux mêmes, par une situation qui les traverse, de cette crise sociale, et alors le moyen de ne pas aborder les problèmes, le moyen de fuir l' angoisse, de la neutraliser, ce sera tout simplement  d’être "mort" dans une situation de fonctionnaire mort. Il y a trois manières de tenter une absence: par le refus qui est sadique, par la peur qui est masochiste, par l'indifférence qui est la neutralité ( neutre veut dire : ni l'un ni l'autre, Le  " ni- ni" cher à certains" brillants" esprits politiques!!) jusqu'à ce que se crée une angoisse sociale qui, dans la forme, n'a rien à voir avec l'angoisse perso, à laquelle on peut toujours échapper par une qualité, une ascèse. Peu à peu, tous les membres de la société seront pris par l'angoisse d'une façon plus ou moins consciente, ce qui est une nécessité pour imposer  la solidarité comme lutte contre le pire. L'humanité est bien une nature dont la société est le style..