- Bien entendu, il n'y a rien à voir dira la préfecture de police et quelques fidèles journalistes de renchérir sur la mauvaise réputation du criminel; qu'entendent-ils par là ? oh! mais par là je n'entends pas grand chose (cf. Pierre Dac). Un schéma que nous connaissons tou.te.s n'est-ce-pas ? et pourtant ... La mauvaise foi ! ah! toute foi ne peut-être mauvaise ? Si ? Et si on réfléchissait un peu mais bien.
- Un jeune homme tombe tué par une balle tirée par un policier, il est très loin d'être le premier; comme d' habitude on nous dit qu'il s'agit de légitime défense (police + grand médias). Seulement voilà de nos jours nombre de nos contemporains disposent de smartphones ou autres appareils capables d'enregistrer des images et des sons qui permettent à l'occasion de contredire cette version des faits...
- Voyez-vous le problème ainsi posé ? Quelle interprétation entendez-vous en tirer ? La dite légitime défense n'est-elle qu'une défense habituelle du tireur et de sa hiérarchie ? Et si le mort n'était pas le délinquant que certains médias veulent nous faire croire ?
- Ca fait beaucoup de questions, eh! oui que je m'entends très bien à considérer comme les "vrais" problèmes que très probablement elles sont. Donc nous voyons qu'il y a là plus qu'un grave malentendu et pourtant "on" s'obstine à prendre toutes ces supercheries pour argent comptant. Un autre exemple dans un tout autre domaine : le "délit de solidarité". Un non-sens éthique qui saute aux yeux de toute personne honnête et lucide ... Cela n'a choqué ni l'opinion ni la "grande presse"; pensez donc un président de la république, ses ministres et autres élus ou réputés journalistes n'y ont trouvé rien à redire ! Y-a-t-il un cerveau dans ces corps ? Fort heureusement il existe des braves ( merci Cédric et tou.te.s les autres) qui ont réussi à provoquer un sursaut ! (pour combien de temps ?).
- Ah! le cri du cœur : "on ne peut pas accueillir toue la misère du monde". Mais d'où vient toute cette misère justement ? Des guerres que nous menons pour le moins en grande partie... La grande souffrance est dure à entendre avec les yeux de l'âme surtout quand on s'y entend à ne rien vouloir voir.
- Conclusion provisoire : mettez du cœur dans votre cerveau et rappelez-vous comment on peut mieux faire quand on s'y entend.