Le double crime de Valérie Triste-twitter : en faisant avec fracas sur le net déborder ses ressentiments personnels, tenant jusque là à sa vie privée, la nouvelle compagne de François Hollande a révélé un caractère malsain, pathétiquement jalouse de l’ex de son amant. Après avoir ravagé sa vie sentimentale, elle a décidé de détruire également d’une façon répugnante et publique, la vie professionnelle de celle qu’elle considère comme une rivale, voire une ennemie !
Pire, elle a aussi profondément desservi le PS et son compagnon lui-même. Cette personne non élue, sans titre ni fonction officielle et dont le comportement paraît aussi hystérique que dangereux n’a pas seulement poignardé dans le dos un député d‘un parti dont son amant fut le 1° secrétaire et désormais le Président de la France, elle a affaibli l’homme et le parti dans son ensemble.
Son « tweetage » de chignon fait beaucoup de mal et de remous car ce que les adversaires de François Hollande n’avaient pas réussi à faire, elle l’a fait, le montrant sous l’aspect d’un dominé, d’un faible, d’un asexué - ce qui dans le contexte de crise économique mondiale ne peut qu’inquiéter les Français et les Européens.
L’obscénité de son geste de femme jalouse et cette exhibition volontaire d’une “scène de ménage“ d’une telle violence démontre publiquement que cette personne n’est pas « normale ». Aucune raison qu’elle le devienne. La situation qu’elle a créée risque d’aller en s’amplifiant.
Où s’arrêtera sa volonté d’éliminer ses adversaires et ceux de « François » ?
Qui sera le prochain sur sa liste ?
Où sa liberté d’expression ou plutôt de nuire s’arrêtera ?
Qui seront les prochaines victimes de son chantage affectif ?
À toutes ces questions effarantes, une seule constatation, cette femme narcissique est malheuresuement indigne et inapte à la fonction morale de « première dame ».
Autre constatation, la méconnaissance des électeurs sur le rôle réel de député puisqu’on accuse Ségolène Royale de parachutage, alors que d’une part, elle préside depuis huit ans, la région Poitou-Charentes et que d’autre part, la constitution stipule que les députés sont les représentants de la nation (et non de la région) et qu’à ce titre, ils votent les lois nationales de notre pays.
De plus, les règles officielles du PS précisent qu’au cas où le député sortant ne se représente pas, le candidat du parti sera automatiquement une femme, au nom de la parité et c’est justement le cas dans cette circonscription où le député-maire de la Rochelle a laissé sa place à une candidate désignée par le PS.
Et depuis le début de la campagne, Maxime Bono soutient loyalement Ségolène Royale de même que les tous élus socialistes … sauf, bien sûr les jospinistes qui tirent à boulet rouge sur l’ancienne candidate à la présidentielle de 2007 …
Enfin, la coutume implicite et républicaine implique que le candidat de gauche arrivé en seconde position, se désiste en faveur du mieux placé … Or, cette lutte fratricide d’un “Eric Besson local“ adoubé par la droite, remet en lumière, les médiocres règlements de comptes internes d’un PS claniste, usé, haineux et machiste.
Dégouté par cette vulgarité ambiante et ce « déshonneur politique » ; au vote “rose“, je vais préférer le vote “blanc“ au second tout des législatives.