Constat. Deux groupes apparaissent clairement parmi les personnes vaccinées :
- celles qui n'ont "rien senti", "pas eu pas le début d'un effet secondaire", certaines disant même avoir eu le "sentiment d'avoir reçu un placebo" ;
- a contrario d'un autre groupe de personnes vaccinées qui, elles, ont eu des effets secondaires très nets.
La réalité largement observée sur le terrain de ces deux groupes pose une interrogation : quid de l'importance de la présence de placebos dans les vaccins : 1/4, 1/3... 1/2 ?
Surtout au début de la vaccination ; plus d'effets secondaires semblent en effet avoir été observés sur les retardataires et récalcitrants de septembre-octobre. - Prime à la soumission et à l'inféodation !
L'importance de ces placebos expliquerait pourquoi le vaccin empêche si peu la contamination comme la transmission : la 5ème vague tonitrue alors que le pays est à plus de 70% de vaccinés, auxquels il faut ajouter les personnes ayant eu le Covid et qui sont immunisées. Soit une inefficacité jamais vue pour un "vaccin". Un constat pour le moins troublant, qui pourtant ne fend pas l'arrogance des principaux responsables : Véran, Delfraissy, Macron...
A qui profite cette 5ème vague ? A la 3ème dose ! Et M. Delfraissy d'annoncer l'évolution vers un vaccin saisonnier. Un remake du vaccin saisonnier contre la grippe mais s'adressant désormais à l'ensemble de la population mondiale ! Une situation de rente phénoménale ! Absolument inédite. Probablement la plus grosse prédation économique jamais réussie.
Les seuls effets certains observés sont les effets secondaires. Et dans la perspective d'une présence importante de placebos, cela signifierait donc une proportion très élevée d'effets secondaires.
L'accalmie de l'été ? Qui peut affirmer que celle-ci a véritablement été permise par le vaccin et n'est pas simplement liée au fait saisonnier comme en 2020 ?
Eu égard au cynisme patenté de Pfizer & co, le recours à un placebo ne surprendrait guère. Ils connaissent bien le pouvoir de cet effet. Qui n'a pas été témoin de la transformation de personnes après avoir été vaccinées : d'un coup elles se sentent libérées, en sécurité, et retrouvent légèreté et bonne humeur !
La logique consistant à placer un nombre important de placebos parmi les doses est simple : étant encore en phase de test, il importait de minimiser les risques pour ne pas effrayer, et pouvoir entraîner le reste du monde dans la vaccination de masse.
Et ne pas connaître, par exemple, le destin d'Astra Zeneca, qui n'a manifestement pas pris les mêmes précautions et qui a rapidement été radié du marché. Les Big Pharma sont des stratèges et ne laissent rien au hasard. On l'avait aussi vu avec le traitement réservé à l'immunité naturelle obtenue après avoir été malade du Covid. Bien qu'il soit avéré que cette immunité est bien plus puissante que celle obtenue par le vaccin, il n'était pas question de laisser ce sauf-conduit, cette alternative au vaccin. Cela aurait pu faire des émules : des quantités de personnes acceptant de se faire contaminer et d'être malades pour être débarrassées ! L'emprise psychologique et économique aurait alors cessé, et des milliards seraient partis en fumée. Non. Pas question. D'où la propagande mensongère pour imposer une dose même aux ex-malades !
Il est facile de vérifier entre vaccin et placebo : faire procéder à des analyses sanguines aux personnes vaccinées et observer les taux de D-dimères et de CRP notamment, dont il est observé des niveaux très élevés chez les personnes ayant des effets secondaires. Il serait alors possible de voir si il y a ou pas un distinguo entre deux groupes : d'un côté, un groupe avec un niveau anormalement très élevé de ces indicateurs ; de l'autre, un niveau normal. Ceci validerait l'hypothèse du groupe placebo.
Compte tenu de l'importance de l'enjeu, effectuer cette démarche s'impose.