De plus en plus de médecins interviewés pointent ces deux erreurs fatales :
1) L'invalidation du rôle des médecins de proximité en leur interdisant de prescrire les traitements existants : hydroxychloroquine - azithromycine bien sûr mais surtout désormais l'ivermectine, qui a eu des résultats incontestés dans de nombreux pays. Mais ce médicament est dans le domaine public et ne rapporte rien à Big Pharma.
Cette invalidation a trois conséquences :
- Perte du bénéfice thérapeutique qu'apporte la prise en charge par un professionnel de santé. - Qui n'a pas fait l'expérience de se rendre mal en point chez son médecin, et d'en sortir déjà à moitié guéri par le fait même de la consultation ?
- Perte du bénéfice thérapeutique lié à la prise d'un traitement. L'effet réel mais aussi l'effet placebo, jamais négligeable.
- Engorgement des hôpitaux par effet mécanique : si vous fermez la moitié des garages dans un pays, forcément l'autre moitié est débordée !
A contrario, le discours officiel persiste : les patients doivent se cloîtrer chez eux, ce qui est déjà en soi déprimant et immunodéficient, ne pas se soigner ou atténuer les symptômes avec du Doliprane, ce qui empêche la fière de faire son travail, et seulement quand ils sont très mal, se pointer à l'hôpital.
Quant aux médecins, ils doivent se conformer à la doxa sanitaire sans quoi ils s'exposent à un harcèlement moral et à une interdiction d'exercer. L'exécutif vient à cet égard de se doter d'un « conseil national de la certification périodique », par ordonnance du 19 juillet, qui lui permet de bannir tout contrevenant à la doxa sans passer par les longues procédures du Conseil de l'Ordre. Exorbitant.
Concernant l'ivermectine, même l'Institut Pasteur, inféodé à Big Pharma, a reconnu son efficacité dans le traitement du Covid-19. Savez-vous quand ? Le 12 juillet...! D'où la nécessité de liquider en urgence les stocks de vaccins, qui de surcroît arrivaient à péremption en août, septembre, octobre. Et de surcroît, Big Pharma doit aussi sortir ses traitements brevetés à l'automne. Ainsi, Big Pharma n'aura voulu entendre parler ni de l'hydroxychloroquine, ni de l'ivermectine : plutôt laisser les gens mourir que de les traiter avec un médicament qui ne rapporte rien. Pas question de laisser passer quelques milliards que peuvent rapporter des vaccins et des médicaments brevetés. Une pratique patentée pour eux cf. Big Pharma : Labos tout-puissants, 2018. Criminel.
2) Une deuxième faille majeure est l'entretien de la terreur et de la psychose collective : qui sont extrêmement immunodéficientes.
Prenez deux personnes ayant la grippe.
Isolez l'une, dites lui qu'il n'y a pas de traitement, que c'est grave et martelez lui à longueur de journée : "Vous allez peut-être mourir !".
Faites prendre en charge l'autre par un médecin, avec un traitement, et prodiguez lui confiance et soutien moral.
Vous verrez la différence et laquelle des deux développe une forme grave !!
C'est aussi ce qui expliquerait les fameux orages de cytokines, qui ont tant surpris, ainsi que les formes longues de Covid : pas simple de guérir quand l'Etat et les médias vous répètent à longueur de journée que vous êtes atteint par un virus hyper dangereux et hyper létal ! La sérénité, la joie, la confiance sont déterminantes pour l’immunité comme pour la convalescence.
CQFD.
Ces deux erreurs sont monumentales.
A qui profitent-elles ? Big Pharma.
Ainsi, à la grande question des Covidistes : "Et les hôpitaux engorgés ?!"
La réponse est : 1) Parce qu'on a interdit aux médecins de ville et de campagne de faire leur travail ! ; 2) Parce que la peur et la méga-psychose collective, extrêmement immuno-déficientes ; psychose nourrie par autorités et médias, téléguidés par Big Pharma.
Sans ces deux actions, les hôpitaux n'auraient jamais été engorgés !
Ces deux erreurs ont été fatales pour la population, mais elles le seront aussi pour l'exécutif, tant elles mettent en lumière sa manipulation par Big Pharma & Co.
Quant à la question de la surmortalité en 2020, le Conseil scientifique indépendant a procédé à une mise en perspective sur les dernières années. Si on peut observer une légère surmortalité par rapport à 2019, en revanche les chiffres de 2020 équivalent ceux de 2015. Il en va du phénomène des "vagues" de mortalité, qui ont souvent lieu tous les trois, quatre, cinq ans, selon les circonstances : hiver difficile, canicule, grippe sévère... Ce phénomène est ancien et notoire, à l'image des mauvaises tempêtes qui emportent d'un coup les vieilles branches des arbres.
Le souci est que si l'exécutif laisse les médecins prendre en charge les patients et prescrire les traitements, et par ailleurs, cesse le discours mortifère de peur, il est fort probable que tout rentre rapidement dans l'ordre. Ils risquent alors de se faire lyncher pour les immenses préjudices causés. D'où la difficulté de faire marche arrière.
Sachant, par ailleurs, que Big Pharma maintient une pression énorme et continue à les manipuler (comme des marionnettes, les deux jeunots président et ministre de la santé), afin de continuer à vendre du vaccin et à exercer leur grisante toute-puissance.
D'où cette fuite en avant et cette persistance désastreuse dans l'erreur. Tout sauf la remise en question !
Quelques sources :
IHU Méd. - J.-D. Michel - Conférence de synthèse sur la crise sanitaire - 54mn
Témoignage médecin La Rochelle - 13mn
Témoignage Dr L. Montesino - 34 mn
Témoignage Dr Denis Agret - 10mn
Témoignage Dr A. Stuckelberger - 17mn
Lettre Dr Jean Stevens au Conseil de l’Ordre
Docum. Big Pharma : Labos tout-puissants, 2018
Liste condamnations Big Pharma par la Justice
Rapports Dr Reiner Fuellmich
Livre : P. Gotzsche, Remèdes mortels et crime organisé - Comment l'industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé, Pu Laval, 2015
Livre : X. Bazin- Big Pharma démasqué !, G. Tredaniel, 2021
Debriefs du Conseil scientifique. indépendant
Réussite ivermectine en Inde (1)
Réussite ivermectine en Inde (2)
... au Japon
... et dans plusieurs pays latino-américains
Marlene Svazek, présidente du parti FPÖ en Autriche : « Je ne me ferai pas vacciner ! » - 10mn