Compte tenu :
- de l'âge majoritairement élevé des personnes décédées du Covid et du facteur comorbidité pour les plus jeunes d’entre elles (soit environ 1% de la population en danger létal par rapport au Covid) ;
- des millions de bactéries déjà présentes dans le microbiote intestinal et de la capacité du corps ayant une bonne immunité à neutraliser et "digérer" une bactérie ou un virus néfaste cf. "Le microbe n'est rien, le terrain est tout" ;
- des nombreux moyens existant pour renforcer son immunité, à commencer par des choses aussi basiques qu'une bonne alimentation, bouger, respirer, se ressourcer dans la nature, et aussi, la danse, le chant, le rire, l’art, la fête ! – si tant est que le Gouvernement ne les interdise pas ;
- des moyens identifiés par différents médecins pour soigner le Covid, cf. notamment Michel Dogna : Pourquoi-le-blocage-organisé-de-tous-les-remèdes-efficaces , Le "triptyque gagnant" par la Pr Alexandra Henrion-Caude ;
Je désapprouve la politique actuelle inspirée par la peur et les mesures qui l'accompagnent.
En cas de contamination par le Sars-Cov-2, j'ai confiance de pouvoir faire face avec mon immunité et les moyens identifiés pour traiter le Covid, et :
1) Je renonce à aller en réanimation, la peur de manquer de lits en réanimation demeurant l'argument central autour duquel s'articule l'action du Gouvernement depuis le début de la crise.
Je n’ai pas envie d’attraper le Covid, pas plus qu’une grippe ou une gastro, mais au "il ne faut surtout pas l'attraper" et à l'anxiété nourrie par le Gouvernement - manipulé par le Conseil scientifique dont 9 membres sur 10 sont parties liées à l'industrie pharmaceutique, avide d'encaisser les milliards du vaccin -, je préfère le :
"Si jamais je l'attrape, j'en profite pour renforcer et étendre mon immunité et construire ainsi l'immunité collective".
2) Je n'attends surtout pas après un vaccin (les 8 nouveaux vaccins imposés aux nouveaux nés depuis 2018 sont un scandale), "vaches à lait" de l'industrie pharmaceutique, une des plus rentables au monde, et qui dilapide des financements publics qui pourraient être infiniment plus utiles dans d'autres domaines.
Je me concentre sur les puissantes ressources naturelles existantes ainsi que les traitements déjà à disposition, bon marchés et dans le domaine public ce qui insupporte Big Pharma.
J’ai confiance que, tout en continuant à travailler à identifier la genèse de ce virus et sa nature, nous pouvons vivre confiants, libres et responsables, avec une deuxième ou une troisième vague.
La crise du Covid est aussi une occasion d’une élévation de conscience dans un rapport moins duel au monde, à la nature et à notre corps.
Thomas DILAN